Aérodrome de cachy ,
La température est un peu fraiche il y a un peu de soleil
La visu est bonne ce jour, va nous voir surement voler
J’enfile un falzar et me dirige dans notre popote, j’ai faim
Aussi vais-je ingurgiter quelques tartines bien épaisses avec un bon jus.
Je me dirige vers le bureau du boss , je file aussi vite que possible, pour voir le tableau,
Des missions du jour,
Ça sera la triplette, je vole avec aime Lefèvre et Thibault Lemaire.
Je suis en n°2, aujourd’hui c’est du libre : de la patrouille de zone ;
Ca fait maintenant, 2 bonnes semaines, que je suis sur le front d’Amiens,
Je viens juste d’être incorporer, et je vole tous les jours.
Ils ont grand besoin de pilote, bien leur en a pris,
Je fais mon boulot, j’abats des ennemis,
j’ai toujours rêver de voler , et maintenant je le fait pour défendre mon pays ,
Ici a Cachy au sud-est d’Amiens, on est pas très loin du front , et depuis que l’on est la
On a réussi a repérer le coin, les avions allemand sont nombreux, mais pour la plupart
La jasta 5 la jasta 6 et des incursion de la 2 ,équipes eux d’albatros d2 , sont fréquentes
Bien que lors de mes patrouilles, je n’en ai point encore rencontres.
Mais des pilotes de notre escadrille ont en déjà descendu.
Quad a moi me 8 victoires sont essentiellement des eindecker
Le « fléau » qui n’en ai plus un, les combats font rage tous les jours
Et régulièrement, nous avons une chaise vide au mess, des pilotes meurent en faisant leur devoir
L’escadrille est commandée par serge girodon, qui malheureusement vole de moins en moins
Des rumeurs d’ailleurs courent sur son départ imminent.
Bref le ciel est asse accueillant au premier regard, j’ai le temps de flâner un peu
Je passe voir les mécanos et après avoir fait le point me dirige vers les champs de maïs qui
N’a pas été encore coupe,j'enmene avec moi le journal qui date un peu , mais cela fais de la lecture ...
J’ai le temps je ne décolle qu’un peu avant 13 heures.
Apres avoir été méditer, quelques temps dans le champs de maïs qui surplombe un peu les baraquement de cachy ,
je me prépare mentalement et rejoins ma chambre enfile ma tenue
Me couvre bien, la haut il fais asse frisquet.
Quoi que ces derniers jours, on ne vole pas très haut .
Les eindecker font des incursions très basses, ils passent la ligne de front à moins de 500 mètre,
Puis reprennent de l‘altitude, pour venir ou mitrailler nos soldats dans les tranchée.
Ou pire frappé nos saucisses … ont en as d’ailleurs perdu une hier.
Le pauvre observateur, heureusement il était ce jour-là, seul, a, réussis, a ,sauter avec son parachute .
Mais comme une fois sur deux, en ce moment , ce dernier s’est mis en torche et le pauvre lieutenant la frite ,
S’est fracture les 2 jambes et les 2 bras , il n’est pas près de remonter dans une saucisse …
J’entends des cris, ça cours autour des zincs, ça se détend me dit-je avant le départ …
Pfouii, ces tarés du génie, on encore fais une farce a Thibault, cette fois ça chauffe, Thibault est
Rouge de colère, ils ont rasé son fidèle chien « griffon » le pauvre l’a l’air d’un rat géant maintenant ,
c’est asse folklo de voir Thibault courir avec une grosse clef à molette
Apres après le sergent elvis et le maréchal des logis urial ….. (humour hein )
Bon … je file vers mon fidèle Nieuport, tout va bien le moteur va bientôt tourner
On attend la fusée verte salvatrice, nous somme tous les trois river regard à droite
Un œil, jeté vers la chaussette qui nous indique le vent, il ne change pas de direction
La fusée a été tirée ; et retombe comme si elle s’était trouvée retombée, lors d’une fête
Foraine de village … pour elle rien ne change …
Contact, Bertrand mon plus fidèle meccano, lance l’hélice le moteur pétarade
Je laisse partir le chef et gaz à fond j’enquille.
Je joue du palonnier et pousse direct sur le manche pour lever la béquille,
Ça roule bien ; et déjà je tire doucement sur le manche et de nouveau ressent,
Cette sensation, de planer, de liberté, seul mon moteur rotatif, qui m’hurle a la figure et me crache des gouttes de ricin, me ramène « dans mon siège en osier ».
Un coup d’œil en arrière pour m’assurer que le 3 a bien décoller lui aussi
Et c’est parti on enquille tous les trois un virage droit, cette fois ci, j’aurai plus le temps
De méditer, comme je le fais longuement à chaque vol, car c’est vrai que l’on est souvent tranquille
A voler dans nos ligne, les schleu, bien qu’en ce moment, l’incursion des fléaux sont asses
Courante, nous laisse asse tranquille, pour cela, ce qui est contraire à nous, qui volons
Très souvent, chez nous, même si pour l’instant, ceux sont eux qui occupe cette partie de la France
On, aime bien à leur rappeler : que au final, ce sont eux, qui sont chez nous, et c’est donc très souvent, qu’on les nargue ; et les provoque, de leur côtes du front !
Pas le temps de se laisser aller dans cette douce torpeur, qui ronronne
On est encore très près de l’aérodrome et on entend parfaitement le signal d’alarme
Cette sirène qui se déclenche, un coup d’œil et on voit que ça courre dans tous les sens
Serais- ce notre aérodrome, ou cet usine que je survole maintenant et qui est a quelques centaines de mètre de notre point d’envol ?
Au final je repère vite ces 3 eindecker en approche
Ca y est, comme a chaque fois, mon palpitant se met en mode turbo ,
Comment expliquer, cette sensation, qui m’électrise, et c’est ce moment-là qu’il faut savoir gérer
A ne pas partir bille en tête , comme le font beaucoup de pilote
Savoir gérer l’adrénaline, car c’est bien de cela qu’il s’agit.
En fait je commence a essayer de chercher vraiment leur direction pour une interception
Possible je prends donc mon temps pour surveiller
Le chef fais surement comme moi on est encore tous ensemble juste au moment ou celui-ci bascule
Avec Thibault qui le suis ,
Les eindecker ont surement vu notre triplette et voilà qu’il plonge
Merde j’aperçois bien leur manège et a qui ils en veulent
Je plonge également, je surveille mon compte tour, le moteur tient bon .
L’avion est fragile, mais bien manié est redoutable.
Il faut le piloter, tout en finesse sous peine d’arracher l’aileron et surtout l’aile basse,
Alors, avec mes centaines d’heure sur Nieuport 17, qui est mon avion préfère,
En fait c’est le fleuron de l’armée française.
Déjà Thibault et le chef ont pris chacun le leur et le mix va s’engager ,
On est supérieur aux eindecker mais attention bien manie celui-ci est redoutable
Bien manies il tourne mieux, il ne faut donc pas rentrer dans son jeu.
Il s’agit d’un gauchissement d’aile pour le eindcker , il est donc bien plus solide que notre Nieuport
Il faut voir ce magnifique oiseau, qui nous a fait peur pendant nombre de mois .
Mais j’ai eu la chance, non pas de le piloter, mais de monter dans son cockpit et de l’observer
Quand je me suis rendu l’ors de mon écolage
Je plonge en essayant de me mettre direct dans les fesses du premier que j’ai pris pour cible
Ça doit être le leader de la formation
C’est chose fait, il est tout surpris de me voir arriver si vite, il en fait des lignes, pour prévenir ses compères qu’il va être en difficultés, dommage pour lui, mon instinct de chasseur prends le pas
J’arme ma Vickers et lâche une bordée, qui atterri sur l’aile droite je vois bien l’impact
Il me semble que j’ai touché le moteur car il crache du ricin !
Et c’est fini il plonge il va percuter, il est sans doute mort j’ai sans doute aussi touche le pilote
Passer mon coup d’adrénaline, comme si je venais de lâche la purée avec une vulgaire
Cantinière, habitue au soubresaut des officier d’un état majors….
Je reprends vite mes esprit ; et essaye d’analyser, les deux autres, son épart
Un est au tapis, le deuxième est également out au sol abattu, par Lefèvre
Et je ne vois plus Thibault … sans doute, je comprends maintenant qu’il a été touche en apercevant
Le troisième eindecker qui se carapate, avec Lefèvre aux fesses je décide donc de suivre
Cet satané boche a réussis a avoir un dès notre !
Je suis donc mais sui un peu distancer et continu tout doucement en reprenant de l’altitude
J’jusqu’au moment ou d’un seul coup, alors que j’étais occupe a observer les ballons a ma droite et a ma gauche , et somme toute aussi a regarder ce qui se passais dans les tranchée que j’étais en train de survoler
Au moment ou j’émerge vers les lignes ennemis, merde je ne cois plus le duo en poursuite !
Alors j’entame direct un virage et j’observe ,
Rien mon cerveau est un peu enfume, cela aurais dû me tinter, que au moins c’est qu’il sont descendu ! Mais je ne me doutais pas qu’il aurait repris le sens de nos lignes
Je perds donc un temps fou avant de décider de plonger vers mes lignes
Pendant ce temps Lefèvre est au prise avec le boshe c’est sur.
Mais je les reprends vite de visu les deux qui s’enroule je plonge au moment ou lefevre est en difficulte , il est temps que j’arrive
Avec ma hauteur c’est facile de prendre de la vitesse et d’arriver pile dans les fesses du bandit
[vous remarquer dans cette derniere l'aile qui est encore en train de tomber ,alors
que l'avion est déjà au sol , il m'est déjà arriver, d'entamer un combat, a très haute altitude,
d'abattre un avion ; et quelques minutes plus tard, 3000 mètre plus bas , des debrits me tombe dessus , débris de ce même avion , qui ,d'ailleurs ,peuvent vous endommager un moteur
la gestion des objets dans l'espace, est très bien faite; et un objet ,dans le ciel, ne tombera ,pas de la même manière, si le vent est plus ou moins fort ,
il faut plus de dix minutes ,a une aile comme celle la ,pour descendre de 5000 mètre par exemple.]
C’en est fini de ce dernier boshe !
Apres, avec Lefèvre ont décide de rentrer fissa a la base, il a été touché,
je suis presque a cours de munition, vaut mieux en rester là pour aujourd’hui !
ca sera pour ce jour 3 victoires pour nous
2 pour moi
et une pour thibault
le gradé, qui se promenais tranquillement, venant, certainement d'Amiens, vers
notre aérodrome , en sera quitte pour une grosse frayeur .
d'ailleurs, il sera a l'attente de notre arrive, a l'aérodrome pour nous remercier.
)
je me dis que au moins si je le fais 
Il n'était ni crédible, ni intéressant.