Teaser
:Jag: :50.000 connections avnt le prochain post:
L'infâme licorne que fit tonner le général Gueli Alekseï Thrawnovitch sur nos glorieuses troupes alors que nous étions prêt à mater une fois pour toute les noires terres de la Russie.
Telle est la fureur que la France est prête à encaisser pour liberer les peuples de leurs tyrans et de leur obscurantisme qui condamnerait, à terme, notre glorieuse civilisation européenne - nul obus, qu'il est 20 livres ou plus, ne nous fera reculer !
mad a écrit :
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Quelle bonne blague !
"On commence par dire: cela est impossible pour se dispenser de le tenter, et cela devient impossible, en effet, parce qu'on ne le tente pas", Charles Fourier.
"Personne, par la guerre, ne devient grand", Yoda, L'Empire contre-attaque.
Moscow ! Moscow !
Comme une vague, le cri est repris par chaque rang français. Mais pour prendre Moscou, nous devrons d'abord éliminer l'armée russe qui nous barre le chemin - et qui dispose de moyens conséquents ...
L'Etat Major Français a depeché sur place une unité d'artillerie, 3 régiments de cavalerie (des lanciers polonais et hollandais, principalement) et 12 régiments d'infanterie.
Les troupes russes semblent sensiblement composés de la même maniére. Deux unités d'infanterie ont été localisés à proximité du village bordant notre flan gauche, tandis que deux autres unités tiennent solidement une bute plus au nord. Le gros de l'armée russe se trouve à plus de 800 métres de nos positions - pourarriver jusqu'à eux, nous devrons franchir un premier gué, marcher à découvert sur une plaine aride sur prés de de 500m, puis franchir un dernier gué surmonté par un monticule où nous attendra l'infanterie ennemie.
Le chemin sera long à parcourir, d'autant plus que si on ne compte que 2 régiments de cavalerie chez les russes, on trouve néanmoins 2 groupes d'artilleries trés bien positionnés. Les fusées et, plus dangereux encore, les obus de 20 livres des licornes auront tout loisier de s'abattre sur nos unités quand nous essayerons de franchir ce no-man's land. Alors que nous sommes à 600 métres des positions adverses, le carnage commence.
La plupart de nos unités traversent le gué et s'engagent sur le terrain dégagé, qui s'avére mortel.
Quatre régiments restent en arriére sur notre flanc gauche et auront pour mission de déloger les russes du village (s'ils en ont la possibilité) ou d'éviter tout débordement. ce sera également notre reserve ultime au cas où l'attaque sur le front principal échouait...
Merci Du coup je vais continuer dans la même veine ...
Sur notre flanc droit, toutes nos positions sont écrasées par les tirs de licornes et autres fusées russes - impossible de rester plus longtemps sur place, sous peine de perdre un nombre incalculable d'hommes. Les chevaux, effrayés, ruent en tout sens et les cavaliers ont le plus grand mal à maintenir leur montures.
Sur notre flanc droit, justement, les cuirassiers russes s'approchent de notre position. Ce sera le premier affrontement de la bataille de Borodino et nous y lançons toutes nos troupes sur place : 2 lignes d'infanterie de ligne et un compagnie de voltigeurs qui suivent nos 3 compagnies de cuirassiers, lanciers hollandais et lanciers polonais.
Ce sont les troupes à cheval qui s'affrontent d'abord, tandis que, sans aucun état d'âme, l'artillerie russe envoie ses obus sur la mélée, emportant Français et Russes unis dans la mort. Au moins 3 lignes d'infanterie russes (dont 2 lignes de mousquetaires) semblent aussi faire route vers la zone tandis que d'autres troupes restent en arriére, l'arme au pied.
La cavalerie russe est anéantie, mais nous perdons nous même 90% de notre cavalerie - seule une unité survit et ira un peu plus au nord tenter, sans succés, de s'en prendre à l'Etat Major et à l'artillerie russe. Le flanc gauche du Général Gueli Alekseï Thrawnovitch est severement enfoncé, même si nos pertes sont également trés importantes - et les obus adverses ne rendent pas notre situation plus aisée.
Concommittement à cet engagement, nos unités composant notre aîle gauche vont alors mener l'offensive sur la ville de Borodino afin de mettre à mal le dispositif défensif russe dans le secteur...
Edit : petites corrections lexicales sur les bons conseils de Darthmath
Modifié en dernier par mad le mar. mars 22, 2011 12:44 am, modifié 4 fois.
jagermeister a écrit :Pour les russes c'est la bataille de la Moskova.
Vu qu'il s'est rien passé à Borodino.
M'en fous, c'est raconté par les Français
Tu me fais de plus en plus penser au "Professeur Rolin a toujours quelque chose à dire"
En plus il le dit en deux exemplaires.
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
jagermeister a écrit :Pour les russes c'est la bataille de la Moskova.
Vu qu'il s'est rien passé à Borodino.
Ah c'est marrant, moi je croyais qu'en russe c'était Бородинская битва soit bataille de Borodino.
"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
jagermeister a écrit :Pour les russes c'est la bataille de la Moskova.
Vu qu'il s'est rien passé à Borodino.
Il me semble que la bataille du 7 septembre 1812 est de la Moskova pour les Français et de Borodino pour les Russes.
D'ailleurs, Ney fut prince de la Moskova et non de Borodino.
Sinon, la dernière vidéo est très plaisante, avec son fond musical décalé par rapport à l'époque, tout en étant très expressif.
"On commence par dire: cela est impossible pour se dispenser de le tenter, et cela devient impossible, en effet, parce qu'on ne le tente pas", Charles Fourier.
"Personne, par la guerre, ne devient grand", Yoda, L'Empire contre-attaque.