

Jean sarkozy a été nommé premier ministre.
L'ouverture s'est poursuivi avec la nomination d'olivier besancenot au ministère du travail.
Ségolène à pris le voile et s'est retiré à l'abbaye du chabichou.
Martine Aubry cherche un quatrième pour faire une belote et accessoirement une primaire.
Bref tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Mais en fait la révolte gronde!

En Mai 2011 après sa condamnation à perpétuité pour stationnement gênant, Dominique de Villepin prend le maquis.
En juillet 2011 le peuple se soulève et marche sur l'élysée.

Nicolas reste pourtant confiant.
-"Ils ne viendront pas nous chercher" assure t'il à Carla.
-"C'est ce que disais les Ceauşescu" rétorque celle ci.
Et elle avait raison.
Aidé par les gardes de l'élysée lassé d'attraper la gale dans leur baraquement et par Eric Besson qui sentant le vent tourner a retourné sa veste Villepin penètre triomphalement dans le Palais.
Les fidèles du sarkozysme se réfugient à l'aéroport militaire de Villacoublay, protégé par quelques mercenaires auvergnats restés fidèles à Hortefeux.
Alors que la foule assiège Nicolas espère toujours en sa bonne étoile.
"Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire.
Il avait l'offensive et presque la victoire ;
Il tenait Villepin acculé sur un bois,
Sa lunette à la main, il observait parfois
Le centre du combat, point obscur où tressaille
La mêlée, effroyable et vivante broussaille,
Et parfois l'horizon, sombre et déchiré.
Soudain, joyeux, il dit : "Bertrand !" - C'était Copé"
Alors Nicolas comprend qu'il doit fuir.

Dernière défense à Villacoublay.
Le colonel Khadafi annonce qu'il est prêt à accueillir le Président déchu tout comme le régime Ouzbèke.
Pourtant alors qu'il se trouve dans son avion en vol vers les Etats-Unis Nicolas se rappelle que les ingénieurs lui avait fabriqué une puissante machine à remonter dans le temps pour lui permettre d'apparaitre en photo devant le mur en 89.
Si il parvient à la faire fonctionner il pourra revenir en arrière et empecher la révolution!
Mais alors qu'il appuit sur le bouton retenti le rire diabolique d'Eric Besson qui avait saboté la machine...
To be continued.