Acte II : La campagne d'Epirée
Maintenant débarrassés de ces satanés grecques toute notre attention doit se porter contre le royaume d'Epirée. Pyrrhus, le grand général ayant mis en déroute nos armées à Pella, serait d'après nos espions en Italie. Apparemment des contentieux l'oppose avec les romains, les nouveaux maitres de l'italie. Ils ont conquis les cités de la grande grèce et même les Etrusques ! Ceux là même qui avaient autrefois dominés la petite cité du Latinium.
Quoi qu'il en soit, nous n'avons aucune ambition sur l'Italie, c'est une lubie de Grecques ! Les véritables richesses du monde sont a l'est.. en orient ! Et pour l'instant surtout.. au nord dans notre capitale toujours occupée.
Malgré l'absence de Pyrrhus les membres de sa famille harcèlent toujours nos forces et menacent de plus en plus la cité de Démetrias. Notre armée, encore a Rhodes, est envoyée aussitot vers le continent.
Hélas ils n'arriveront pas a temps et ce qui devait arriver, arriva :
Si Démetrias tombe c'est toute la grèce qui est menacée, cette cité contrôle les côtes célèbres où Léonidas vaincus les perses, aux thermopyles.
Nous ne disposons que de hoplites pour les arrêter, deux corps de levées citoyenne et deux d'hoplites classiques, ainsi que des tirailleurs bien inutile dans un siège..
Les troupes sont disposés de part et d'autres de la porte :
Au loin nous apperçevons une phalange ! Pire, deux corps de cavalerie lourde sont prêt a charger dans la porte ! Mais notre stratégie de contrôle des portes est éxcellente et le capitaine est confiant sur la capacités de ses hommes a repousser l'ennemi en bon ordre, quand il se sera trop avancer dans le goulot de la porte d'entrée.
Hélas, trois fois hélas ! Les levées placés sur les flancs et censés coupés l'ennemi en deux se révèlent de piètres combattant et nos hoplites sont déjà débordés par le flot. Les hommes entendent au loin le son de la corne qui annonce la charge de la cavalerie et redoublent d'effort. Déjà des soldats ennemis fuient, espérons qu'ils démoraliseront leur anciens camardes de combats !
Mais ils ne céderont pas, et nos hommes, débordés par le nombre, les charges de cavalerie et leur terrible phalange, tombent un à un, avec bravoure et honneur.
Le ciel s'est terriblement assombris au dessus de la grèce et le tonnerre vient du nord, prêt a fondre sur Athènes et les îles. Notre seul espoir réside dans l'armée royale, a peine débarquée dans l'attique et qui s'avance pour une reconquête qui s'annonce dur et longue des terres de nos ancêtres. C'est une bien sombre période pour la macédoine qui se retrouve en exil avec pour principale ville l'ancien bastion de nos pire ennemis les grecques !