AAR GGWAW LE COIN DES ALLIES, EFELLE HISMAGIL AUTORISéS.

[Boudi]

Pas assez de landsers pour respecter le ratio de 2 pour 1 pour conquérir la province, après combat. Et les problèmes d'effectifs vont empirer, en Allemagne.

[jmlo]

Ptête aussi un manque d'artillerie ( à 1 contre 3 ça parait difficile d'obtenir un bon résultat )

[Leaz]

En tout cas tu devrais quand même rester sur la défensive le temps que l'Urss atteigne son plein potentiel (43 ?) sinon je crains la contre attaque fatale aprés un assaut raté, et c'est a mon avis ce qu'attend patiemment efelle.

[Boudi]

Eté 1942, chapitre 2.

Après la victoire enregistrée en Pologne orientale, la stavka est réunie dans les murs du Kremlin, à Moscou. Un déménagement vers Minsk est d'ailleurs envisagé, le front étant maintenant distant de plus de 1000 km.

Le Maréchal Leazinsky défend son argumentation avec passion et conviction. "Il est maintenant nécessaire de faire une pause dans notre offensive générale, camarades. Nous sommes victorieux, mais nos lignes de ravitaillement sont démesurées. Il faut prendre le temps de reconstituer les stocks de munitions et de ravitaillement et de reconstruire le réseau ferré. Sinon, nous allons subir une violente contre-offensive qui risque de nous renvoyer loin en arrière."

Silence autour de l'énorme table sur laquelle repose une immense carte de l'Europe, où chaque armée est précisément positionnée. De Joukov à Timoshenko en passant par Vatoutine, les regards se fixent sur le Vodj. Staline va parler.

"Temporiser, oui l'idée m'a aussi effleuré. Nos armées sont effectivement exsangues, épuisées par 9 mois d'offensives ininterrompues. Elles ont fait reculer les fascistes sur la moitié d'un continent, et nos hommes, d'après les rapports du NKVD, sont épuisés. S'arrêter serait sage."

Les regards des Maréchaux se croisent, seuls les yeux bougent, les têtes, elles, restent immobiles. Tout le monde est à la fois surpris et satisfait, le Vodj a entendu raison. Les hommes vont pouvoir récupérer, le matériel être rassemblé.

Mais Staline tape du poing sur la table. "S'arrêter ? Alors que l'ennemi est à bout de souffle et qu'il a presque reculé dans sa tanière ? Lui laisser le temps de souffler, de se réorganiser, alors qu'il n'en peut plus ? Jamais ! Ses usines, ses ressources sont maintenant à portée de canons ! La Pologne occidentale, la Hongrie peuvent être occupées ! L'offensive se poursuivra jusqu'à ce que la bête fasciste soit terrassée dans son repère ! Donnez vos ordres à vos armées : à l'ouest toute !".

[Elvis]

De l'audace, encore de l'audace, toujours de l audace !


Il faut fusiller le Marechal Leazinsky pour defaitisme et lacheté devant l'ennemi !

[Boudi]

Eté 1942, chapitre 3.

Après débat avec son état-major, Joukov se convainc que la Pologne occidentale est une meilleure cible que la Hongrie. Elle recèle 2 centres de ressources au lieu d'un seul, et comporte aussi une usine. Elle est en outre moins enclavée, et un peu plus difficile à encercler à l'occasion d'une contre-attaque, mais c'est très relatif. Car le voila, le souci majeur : l'encerclement. Après occupation de la Pologne occidentale, nos troupes sont faciles à encercler, par un raid des panzers, pour l'instant concentrés en Roumanie. Leur vélocité leur permet sans problème de rejoindre la Baltique, par un tout droit au nord, à travers la Pologne orientale.

Joukov établit donc son plan ainsi, en fonction de sa principale contrainte : la faiblesse de son ravitaillement combinée à la destruction du réseau ferré, en Biélorussie, Pologne, Ukraine...

- Attaque de la Pologne occidentale par toute les troupes présentes en Pologne orientale et destruction des infrastructures : usines, mines, agriculture, réseau ferroviaire,

- Entrée en Prusse orientale par nos troupes stationnées aux Pays baltes, afin d'organiser une voie de replis supplémentaire, mais certes bien précaire, pour notre fer de lance,

- Réparation à minima du réseau ferré dans les Républiques Socialistes et en Pologne, afin :
1) d'acheminer un minimum de supply en Pologne occidentale pour assurer une ligne de défense,
2) Concentrer des forces en Ukraine afin d'attaquer la Roumanie si l'Allemagne découvre trop son précieux allié en contre-attaquant en Pologne. Si les puits de Ploesti tombent, ça en est fini à terme de cette guerre que nous ont imposée les fascistes.

Mais Joukov n'est pas dupe. Il s'agit d'un gambit. Nos troupes en Pologne sont des unités sacrifiées en puissance, en échange de la destruction des centres de ressources qui alimentent l'Allemagne, cette dernière en ayant un besoin plus que vital. Les bombardements alliés participesnt aussi à la pénurie en matières premières du Reich.

Staline aura son offensive. En échange Joukov lui arrache une promesse : celle de tout faire auprès des Alliés pour obtenir un land lease conséquent, chiffré à 40 supply, soit 3 à 4 fois l'aide moyenne actuelle, pour l'automne 1942.

Il est temps de passer à l'action. La préparation d l'attaque :



L'exécution du plan : l'ennemi encaisse une nouvelle défaite. Le Vodj exulte ! Il aurait même exécuté (non pas Leazinsky) quelques pas de polka à la réception du message déchiffré.



Mais cette victoire aboutit à une situation plus que précaire pour nos Frontoviki. Ils font face à toute la Wehrmacht et la probabilité d'être encerclés est immense.



Comme nous pouvons le voir ici :



La situation si précaire du ravitaillement, vu en image, avec filtre ravitaillement. Quelques camions là où il devrait y en avoir des dizaines.



Les dés sont jetés. Maintenant il faut penser à l'avenir et à produire, avec un petit effort sur la recherche (11 points de production). Nous devons aussi recompléter notre artillerie, qui a le plus souffert.



Divisions blindées et brigades d'artillerie devraient ainsi rapidement recevoir de nouveaux matériels :



Les effectifs :



Une idée de notre retard par rapport à l'Allemagne, mais rien de catastrophique :







Et enfin, à l'opposé du Globe, les Chinois réservent une nouvelle surprise aux troupes du Mikado. La Mandchourie et ses trois précieux centres de ressources, absolument vitaux pour l'économie de guerre japonaise était bien mal défendue.



Certes il s'agit là aussi d'un sacrifice, nous ne donnons pas cher des troupes chinoises face à la réaction nippone. Elles seront elles aussi encerclées, puis détruites. Qu'importe : le sac de la Mandchourie est une catastrophe pour Tokyo.

Vue générale de l'Europe, fin de l'été 1942 :

[Lafrite]

1942 : Le réveil du géant

Théâtre du Pacifique

Après la lâche attaque japonaise l'US Navy rassemble ses forces et entend bien karcheriser l'affront japonais.

Elle inaugure une première série de riposte avec la première sortie et première victoire de l'aéro-navale dans le Pacifique Nord



Les marins sont galvanisés par cette entrée en la matière et un audacieux destroyer se faufile près des côte Philippines tout juste récemment occupées pour aligner un cargo.



Théâtre Européen

Les forces aéro-navales présentes en Méditerranée ne sont pas en reste. La marine italienne, acculée dans ses ports, n'a plus d'abri viable.

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Tant au Nord qu'au Sud de l'Europe, le bombardement des infrastructures continue inlassablement.



La guerre de l'Atlantique n'est pas encore gagnée mais l'ennemi faibli peu à peu.



Et malgré des pertes la logistique alliée tient le coup




Dans l'industrie, notre effort de guerre ne cesse de se développer, rations militaires et fuel s'empilent dans nos stocks.



Il faut se donner des priorités d'investissement, l'espionnage compensera là où il le peut

[Boudi]

Ah génial !

[jmlo]

50 cargos en 42 c'est bien

[Emp_Palpatine]

En Prusse Occidentale en 1942?!
Et ben, ça se passe mal pour les axistes...

[Boudi]

En Prusse Occidentale en 1942?!
Et ben, ça se passe mal pour les axistes...

Non juste orientale pour l'instant, sinon je serais à Hambourg. C'est la Pologne qui en l'occurrence est occidentale. Je suis (j'étais) sur l'Oder.

Bon ne nous affolons pas, Efelle vient de me faire valdinguer 500km en arrière, comme prévu.

[Urial]

oui il a fait une joli contre attaque

[Boudi]

Ah, il vous en parle déjà ?

[Emp_Palpatine]

Moui, effectivement... j'étais un peu gourmant, je considérais qu'être sur la frontière germano-polonaise c'était déjà occuper un bout de Poznanie et autres joyeusetés de Prusse Occidentale.

[Lafrite]

N'empêche normalement à cette date il devrait être aux portes de Moscou Et comme contre toute attente il a laissé intact (ou pas vu) mon convoi de Mourmansk je goinfre les troupes soviet de 30 unités de blé et de pétrole par tour.