This, my friends, this will be a war to end all wars!
Discours de Théodore Roosevelt devant le congrès.
1914.
Octobre 1914
Cela fait maintenant presque 3 mois que la guerre dure et elle s'eternisera à coup sur.
Le chef d'état-major visitant les troupes avant leur départ pour le front.
Le front canadien est pour l'instant laissé de côté malgré l'invasion du nord-ouest que nous subissons et qui devient inquiétante.
Mais ailleurs la situation est meilleure:
Dans le maryland nous avons réussi à stabiliser le front mais les pertes des deux côtés ont été monstrueuses.
En virginie occidentale nous continuons à pousser sur les deux flancs du dispositif ennemi avec toujours en ligne de mire Big Lick. Nous ammenons en renfort un nouveau corps et une division de rangers. L'ennemi aussi rameute des soldats.
Nous sommes surpris par la résistance des unités de miliciens ennemis.
Ces soldats soient âgés soit très jeunes se battent avec acharnement pour défendre leurs maisons. De très jeunes soldats, fanatisés, repoussent bien souvent l'avancés des soldats professionnels ennemis.
Dans le Kentucky l'armée du général Pershing a défintivement pris pied de l'autre coté du fleuve. La faiblesse du dispositif ennemi nous incite à l'optimisme. Prochaine étape Lexington!
Juste à coté à l'ouest Louisville est tombé obligeant les rebelles à colmater la brèche en catastrophe.
Avec des progressions de parfois 25km l'état-major est ravi! Mais nul doute que Jonnhy Reb même en loque et sans rien à manger nous fera payer au prix fort chaque mètre de terrain.
Depuis Aout nous estimons avoir perdu plus de 250000 hommes tués, blessés ou fait prisonniers.
Combien de temps pourrons nous supporter de telles pertes?
Le service de santé des armées est déplorable et les hommes meurent plus de maladies et de manque de soin que par la faute des balles ennemis.
Prise en charge de blessés sur le front mexicain.
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch