Urial a écrit :sur celle ci on voit bien que je suis pas en basket et qu'il y a de belles cocottes
wouai, wouai....aucune faute URial
photo très sympa
Etant donné l'état actuel de l'agriculture dans le monde, on sait qu'on pourrait nourrir 12 milliards d'individus sans difficultés. Pour le dire autrement : tout enfant qui meurt de faim est en réalité assassiné !! (J.Ziegler rapporteur auprès de l'ONU).
On dirait presque qu'Urial s'appréte malencontreusement à refaire le portrait à coup de plombs au rouquin juste derrière lui.
"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
J'y ai passé 3mn j'ai donc laissé trainer Beeeeeaucoup de décor moderne autour de vous. Et pour effacer les chaises modernes devant vous, alors là, il m'aurait fallu le bas de vos jambes, notamment celles de votre fille de saloon. C'est pour ça que je l'ai collée sur les jambes d'une qui était dans le décor.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) » https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
1) Rajoute un bandeau sur l'œil et ça sera parfait!
2) les vêtements sont superbes mais presque trop neufs, une bonne couche de poussière de l'Ouest sauvage leur donnera cette touche d'authenticité!
I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.
Ouais enfin acheter des fringues neuves hors de prix pour s'amuser aussitôt à foutre de la poussiére dessus par soucis d'authenticité, faudrait quand même être un grand malade
Passe partout je sais pas mais Griffon veut bien faire le père fouras et Jmlo fera La Boule.
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch