Avril 1755 - Des tensions en Nouvelle Angleterre
Les relations entre les colonies françaises et anglaises se sont fortement détériorées au cours de l'année 1754, donnant lieu à plusieurs accrochages de petite envergure. La politique européenne est à l'avantage de la couronne d'Angleterre, mais les esprits s'échauffent quand même... Si la situation devait dégénérer en Europe, nul doute que le gouverneur français saisira l'occasion pour envahir nos territoires.
Sa majesté confie la sécurité de ses possession au major général Sir Edward BRADDOCK, stationné à Fairfax avec nos forces. Très vite il convoque l'état major, et nous idenfitfions deux points de faiblesse : la nouvelle Écosse, et la vallée de l'Ohio. Les ordres sont donnés :
Sir Braddock marchera sur Frederricktowne, une position fortifiée en frontière de l'Ohio. Là, il attendra la fonte des dernières neiges. Pendant ce temps, le lieutenant-colonel Washington (un fils de planteur qui s'est illustré aucours de ces dernières années, en faisant entre autre éxécuter un espion français infiltré sous les traits d'un de leurs officiers... Il est autant aimé de nos hommes que haï des français) entrainera les recrues des colonies. Il devra être prêt à faire mouvement en juillet au plus tard.

En nouvelle Écosse, le lieutenant-colonel Robbert Monckton devra sécuriser la frontière avec l'Acadie dés la fonte des neiges.

Le bilan de nos forces n'est pas satisfaisant, et des courriers sont dépêchés auprès du Roi Georges pour que des forces se tiennent prêtes à nous renforcer si la guerre devait éclater.








