L'ennemi va nous affronter a quelques lieux de Sparte.
Ses forces seront divisés au début du combat, nous allons essayer d'en tirer profit.
Composés maintenant de 3 unités de Phalange notre armée ressemble enfin a une véritable armée macédonienne, et les chances que nous nous fassions prendre de flanc sont moindre. Nous placons trés classiquement les phalanges au centre, les unités de tirailleurs en avant et les archers en retrait. Le géneral ainsi qu'une levée de citoyens hoplites vont rester un peu en retrait pour se porter là où l'ennemi décidera d'attaquer.
Un premier détachement de hoplite est envoyé dans notre direction, ils ont l'air esseulé et l'occasion est parfaite pour amoindrir l'ennemi avant que le gros de ses forces n'arrive.
Hélas nous n'arrivons pas a briser rapidement leur moral, et tandis que le combat s'étternise et que la cavalerie lourde du géneral perd de plus en plus d'hommes, la première armée grecque arrive en face de nos lignes. Il s'agit de tirailleurs et d'unités de tir principalement, avec une unité de hoplite citoyenne.
Les renforts venus de Sparte arrivent en ordre dispersé sur le flanc gauche, tandis que le géneral tente vainement de mettre en déroute quelques tirailleurs.
De fiers guerriers Sparte, prés de deux unités au complète arrivent sur notre flanc gauche et déjà la levée de citoyens hoplite est prise a parti ainsi que la phalange du flanc gauche. Encore une mauvaise nouvelle ce sont des phalanges énemis que nous voyons au loin et qui se dirigent sur notre phalange droite.
Les archers crétois, bien disciplinés assènent leur traditionnelle pluie de flèche enflammées, mais ils sont déjà bien amoindris par les précédents combat.
Le général tente alors une charge dans le dos des guerriers spartiate, c'est sûrement notre seule chance contre ces guerriers hors norme.
Les deux phalanges sur le flanc droit entrent en contacte, nous ne pouvons qu'espérer qu'ils tiennent le plus longtemps possible mais nous retrouvons les mercenaires, toujours aussi compétent. A long terme la phalange ennemi prendra l'avantage. Il faut que le flanc gauche cède !
Les levés de hoplites sont envoyés se soustraire a la phalange du flanc gauche, avec l'appui de celle du centre pour essayer de prendre de coté les spartiates.
Hélas la tentative va rapidement ouvrir tout un flan a notre ennemis. Engagés dans un combat long et pénible contre les spartiate leur arrière est complètement dépourvue et une autre unité de spartiate s'apprête a prendre a revers la phalange !
Nous essayons par tout les moyens de briser le flanc droit ennemis mais la phalange mercenaire oppose une résistance acharnée avec l'appuis d'une unité de levée hoplites grecques. Nos tirailleurs ayant tiré tout leurs javelots viennent se joindre au combat.
Le géneral est alors nerveux. Nerveux mais confiant, la supériorité numérique sur le flanc droit est incontestable, et même si la situation est critique sur le flanc gauche un retournement leur serait fatal ! Hélas les tirailleurs sont de bien piètre combattant et se font prendre sous une pluie de javelots, ils vont rapidement commencer a fuir le champs de bataille.
Les mercenaires ennemis, toujours aussi vaillant résistent farouchement et commencent même a reprendre l'avantage !
Ca y est ! Ils craquent, mais c'est au tour de notre flanc gauche pris a revers par une charge brutale de l'infanterie d'élite des Lakédemoniens de fuir. Ils ne sont plus que 3 mais continuent de prendrent en chasse nos troupes !
Tout cela n'aura servis a rien, et les spartiate engagés depuis le début contre le flanc gauche nous mènent toujours la vie dur.
Et ils vont tenir, et tenir.. ne lâchant jamais, ces hommes sont des fou ! Des sanguinaires éduqués dans la seule vue du sang, préférant mourir pour défendre leur cité que de laisser un pouce de terrain.
Las ! Notre général est brisé, il fuit le champs de bataille et le reliquat du centre cède définitivement quand les dernières troupes grecques les prennent de flanc.
Le résultat est moins défaitiste, finalement nos troupes ont fais beaucoup de morts, et parmi leurs meilleurs unités. Mais notre propre armée est décimée, réduite a moins de 300 hommes. Encore un nouveau repli sur Corinthe ou de nouvelles levées d'hoplite citoyenne ont lieu pour venir recompleter notre armée.