Mémoires de Guerre du Marechal Elvis - 1812
Posté : jeu. janv. 31, 2008 9:56 pm
Quel voyage épouvantable….
3 semaines dans cette calèche, ballotté, trimballé, secoué sur les routes de France, d’Allemagne et de Pologne…
Ankylosé et engourdi, notre héros s’extirpe tant bien que mal du véhicule, aidé par son fidèle aide camp, le Colonel Urial…
Tentant de retrouver l’usage de ses membres endoloris, le Maréchal Elvis était encore dans ses rêveries qui l’avaient accompagnées tout au long de son voyage.
Il y a moins d’un mois, le Maréchal Elvis profitait encore des faveurs de la comtesse Marie Bucaille. Cette belle jeune femme avait su lui faire oublier les images violentes des différents champs de bataille où il avait traîné son sabre. Il avait même commencé à apprécier les frasques de la vie parisienne, préférant désormais s’enivrer du parfum de sa maîtresse que celui de la poudre et de la sueur qui l’avait pourtant accompagné pendant des années…
Mais voilà cette idylle devait prendre fin, l’Empereur le rappelait à ses cotés pour de nouvelles aventures.
C’est ainsi qu’il l’apprit lorsqu’un petit matin, un courrier lui était parvenu :
« Maréchal,
Nous souhaitons vous voir au plus vite à nos côtés.
Ce que cet incapable de Talleyrand ne parvient à obtenir du Tsar Alexandre, nous l’obtiendrons, tout comme nous avons obtenu la Paix en Europe, par la force des armes.
Et pour cela, nous avons besoin d’élément de valeurs.
Venez donc toutes affaires cessantes
Napoléon 1er… »
Le temps de récupérer son sabre et sa paire de pistolet, d’embrasser la belle Marie, lui promettant de revenir sain et sauf, Elvis retrouvait le colonel Urial qui prestement avait déjà attelé un équipage à la calèche qui allait l’emmener à travers l’Europe, l’emmener vers de nouvelles aventures….
La Comtesse Marie Bucaille, une bonne raison de revenir vivant...
3 semaines dans cette calèche, ballotté, trimballé, secoué sur les routes de France, d’Allemagne et de Pologne…
Ankylosé et engourdi, notre héros s’extirpe tant bien que mal du véhicule, aidé par son fidèle aide camp, le Colonel Urial…
Tentant de retrouver l’usage de ses membres endoloris, le Maréchal Elvis était encore dans ses rêveries qui l’avaient accompagnées tout au long de son voyage.
Il y a moins d’un mois, le Maréchal Elvis profitait encore des faveurs de la comtesse Marie Bucaille. Cette belle jeune femme avait su lui faire oublier les images violentes des différents champs de bataille où il avait traîné son sabre. Il avait même commencé à apprécier les frasques de la vie parisienne, préférant désormais s’enivrer du parfum de sa maîtresse que celui de la poudre et de la sueur qui l’avait pourtant accompagné pendant des années…
Mais voilà cette idylle devait prendre fin, l’Empereur le rappelait à ses cotés pour de nouvelles aventures.
C’est ainsi qu’il l’apprit lorsqu’un petit matin, un courrier lui était parvenu :
« Maréchal,
Nous souhaitons vous voir au plus vite à nos côtés.
Ce que cet incapable de Talleyrand ne parvient à obtenir du Tsar Alexandre, nous l’obtiendrons, tout comme nous avons obtenu la Paix en Europe, par la force des armes.
Et pour cela, nous avons besoin d’élément de valeurs.
Venez donc toutes affaires cessantes
Napoléon 1er… »
Le temps de récupérer son sabre et sa paire de pistolet, d’embrasser la belle Marie, lui promettant de revenir sain et sauf, Elvis retrouvait le colonel Urial qui prestement avait déjà attelé un équipage à la calèche qui allait l’emmener à travers l’Europe, l’emmener vers de nouvelles aventures….
La Comtesse Marie Bucaille, une bonne raison de revenir vivant...