Juillet 1943.
Le saillant de Koursk doit etre détruit, et avec lui les armées soviétiques qui s'y trouvent.
Sur le front sud du saillant, La poussée principale est réalisée par la 4e Panzerarmee du général Hoth forte de onze divisions dont six mécanisées. Elle vise la petite ville d'Oboyan qui est le trajet le plus direct pour atteindre Koursk.
Parmi ces 11 divisions se trouve la 1ère Pzdiv SS dans laquelle sert l'Untersturmfürher Wittmann. La 13ème compagnie qu'il commande, équipée en partie de chars lourds Tigre, a reçut l'ordre de se frayer un passage dans les lignes russe vers Oboyan.
Avec un support d'infanterie mécanisée, les forces blindées s'élancent....
La progression commence facilement.
Le terrain est un vrai billard, assez plat, sans véritablement de végétation. Quelques arbres et un hameau sur notre droite (au milieu de la carte) constituent les seuls points remarquables de la carte.
L'objectif se trouve en bout de carte, avec un objectif intermediaire situé au centre.
Les premiers tours se déroulent sans problème.
Le soviet est invisible.
A l'approche de l'objectif intermediaire
(centre de la carte), un tir de fumigènes ennemi intervient.
Nos panzer sont en tete de la progression et se heurtent soudain a de l'infanterie soviétique en petit nombre dissimulée dans des tranchées.
Utilisant toutes leurs armes de bord, les chars attaquent les positions ennemies sans subir de dommages. Les soviétiques opposent une résistance opiniatre, se laissant parfois ensevelir dans leurs tranchée par les chars Tigres
(voir capture d'écran de Griff plus haut).
Les blindés continuent leur progression pour sortir du rideau de fumée russe. L'infanterie mécanisée reglera son sort à l'infanterie russe....
Un groupe de T34 fait son apparition sur le flanc droit de notre progression. Les chars soviétiques sont immédiatement engagés par nos panzer qui en détruisent un pendant que les autres se replient.....
Panzer Vorwärts!!!!!
" Le fait que mon chien m'aime plus que je ne l'aime ... me remplit toujours d'un sentiment de honte."
Pr Konrad Lorenz - Prix Nobel
"les profits des spéculateurs [sont] toujours privatisés, tandis que leurs pertes sont invariablement nationalisées"
"Quand l'argent parle, la vérité se tait"
"Au moins, en 29, ils avaient la décence de se défenestrer..."