Re: Platzschutzstaffel Pitomnik
Posté : jeu. août 29, 2019 8:32 am
Nous voilà sanglé et prêt à en découdre.
Décollage rapide et mise en formation, on est encore entre chien et loup la visu n’’est pas très bonne
Très vite je me pose des questions, Elvis ne parle pas beaucoup
et il a failli me gerber sur les bottes juste avant le décollage, je lui demande
il me répond que ça doit être les œufs douteux du matin.
On ne parle pas trop comme a l’habitude a la radio il me semble « ailleurs »
On est concentré et nous, suivons le plan de vol
Fatigué de la veille au soir ou on a discuté tard dans la nuit de politique
certains ne doutant pas de la victoire du Reich, d’autres ; de commencer à douter…
Mais bien sur personne ne moufte sur les exactions commises par les einsatz,
c’est tabou personne n’en parle, sauf quand on est en petit comité.
Je regarde ces étendues de neige a perte de vue je pense a mon frère, ou est -il ?
On capte la radio d’une kette de stuka revenant de mission, mais on ne voit rien.
nous montons à 3000 mètres et on somnole jusqu’au point 2 ou on commence à resserrer notre surveillance surtout ou nord.
Bien en formation serré, tellement serré que j’arrive à voir la blancheur cadavérique d’Elvis
Ça va lui je lui demande ? il me répond que tout est ok d’un signe de la main …
Arrivés au point 4 on voit de la fumée épaisse sur Aksay ça barde la en dessous
Je ne peux que penser de nouveau à mon frère qui est peut-être juste en dessous de moi.
Sur la zone ou des bombers nous ont été signaler, on se met à faire des cercles au sud-ouest d’Aksay.
Elvis se met à virer il a repéré quelque chose mais ne parle pas, je ne voie rien.
Je lui colle donc aux fesses.
Un box de bombers russe est repéré ce sont des PE2
Je regarde Elvis, il s’avance par derrière dans leur 6 je me dit que ça va être chaud.
Puis arriver à distance de sécurité il vire, je le suis et recommence plusieurs fois la même manœuvre
Je lui parle à la radio mais il ne répond toujours pas et il est assez éloigné sur le côté du box
Je lui lance de me couvrir et je passe à l’attaque.
Pas dans les 6 j’attaque par le haut en leur piquant dessus ou de face ou sur le côté
Je me rends compte qu’Elvis est dans mes 9h et on attaque ensemble.
Malheureusement je m’y prends très mal j’arrive à toucher 2 PE2 mais je suis loin d’en avoir descendu un,
ça fume c a perd du fuel mais ça reste en formation.
Je vois Elvis attaquer la place du mort dans le box, il touche, vire et disparait.
Au moment où je tente une passe dans les 6 je me fait avoiner,
encore un trompe la mort les mitrailleurs des PE2 sont plus qu’énervés …
je le savais qu’il ne fallait pas le faire
Sans demander mon reste, je reprends de l’altitude en regardant les bombers bien en formation s’éloigner
cela promet pour attaquer des viermots bien défendus ...
je ne peux rien faire. plus d’Elvis.
Très contrarie ! rien n’a la radio rien dans le ciel je file vers pitomnik.
Pousse un soulagement quand je passe la limite du kessel.
Je pense a mon compagnon, j’espère qu’il n’a pas été touche lors de l’attaque.
Pas vu d’explosion au sol, je me dis qu’il aura pu se poser du bon côté du front en cas de problème.
Je survole et je cherche un 109, rien énervé et inquiet j’oublie que je suis encore à 300 km/h.
Quand je veux me poser comme un sauvage au break, j’ai failli me prendre le seuil de piste en pleine face ! j
e ne remets pas de gaz, la piste est assez longue, je casse la vitesse tant que je peux
Et pose les roues à 260 ! …
Me voilà posé, je cours je cherche Elvis savoir s’il est rentré.
Je ne vois pas d’autre 109 je questionne, personne n’a rien vu, c’est le chaos total.
Tout le monde court dans tous les sens, partout des blessés des morts, pas une trace d’un gradé
Je file vers un hangar et je tombe sur un mécanicien.
Qui me confirme qu’un 109 s’est pose il y a 10 minutes, mais ne sais pas où est le pilote.
Il m’indique une baraque ou serait les huiles, « ceux qui restent au chaud » me lance-t-il avec un regard
Qui en dit long …
Je file vers le braquement alors que la neige recommence a tomber et que des obus tombent à quelques kilomètres de la …
Elvis fait son compte rendu et est tout étonné de me voir !
J’étais persuade de t’avoir vu tomber me lance t’il.
Je lui explique que j’ai pris du plomb, mais le zinc est intact,
Il me confirme avoir un problème avec son FUG7, cela me rassure
Ni lui ni moi n’avons descendu un bombardier, j’en touche un sans rien lui faire,
un autre ou si le pilote a réussi a ramener sa machine il sera chanceux
et Elvis touche 2 fois également sans aucun dégât.
Il est temps du repos, mais surtout de prendre des nouvelles du front.
Décollage rapide et mise en formation, on est encore entre chien et loup la visu n’’est pas très bonne
Très vite je me pose des questions, Elvis ne parle pas beaucoup
et il a failli me gerber sur les bottes juste avant le décollage, je lui demande
il me répond que ça doit être les œufs douteux du matin.
On ne parle pas trop comme a l’habitude a la radio il me semble « ailleurs »
On est concentré et nous, suivons le plan de vol
Fatigué de la veille au soir ou on a discuté tard dans la nuit de politique
certains ne doutant pas de la victoire du Reich, d’autres ; de commencer à douter…
Mais bien sur personne ne moufte sur les exactions commises par les einsatz,
c’est tabou personne n’en parle, sauf quand on est en petit comité.
Je regarde ces étendues de neige a perte de vue je pense a mon frère, ou est -il ?
On capte la radio d’une kette de stuka revenant de mission, mais on ne voit rien.
nous montons à 3000 mètres et on somnole jusqu’au point 2 ou on commence à resserrer notre surveillance surtout ou nord.
Bien en formation serré, tellement serré que j’arrive à voir la blancheur cadavérique d’Elvis
Ça va lui je lui demande ? il me répond que tout est ok d’un signe de la main …
Arrivés au point 4 on voit de la fumée épaisse sur Aksay ça barde la en dessous
Je ne peux que penser de nouveau à mon frère qui est peut-être juste en dessous de moi.
Sur la zone ou des bombers nous ont été signaler, on se met à faire des cercles au sud-ouest d’Aksay.
Elvis se met à virer il a repéré quelque chose mais ne parle pas, je ne voie rien.
Je lui colle donc aux fesses.
Un box de bombers russe est repéré ce sont des PE2
Je regarde Elvis, il s’avance par derrière dans leur 6 je me dit que ça va être chaud.
Puis arriver à distance de sécurité il vire, je le suis et recommence plusieurs fois la même manœuvre
Je lui parle à la radio mais il ne répond toujours pas et il est assez éloigné sur le côté du box
Je lui lance de me couvrir et je passe à l’attaque.
Pas dans les 6 j’attaque par le haut en leur piquant dessus ou de face ou sur le côté
Je me rends compte qu’Elvis est dans mes 9h et on attaque ensemble.
Malheureusement je m’y prends très mal j’arrive à toucher 2 PE2 mais je suis loin d’en avoir descendu un,
ça fume c a perd du fuel mais ça reste en formation.
Je vois Elvis attaquer la place du mort dans le box, il touche, vire et disparait.
Au moment où je tente une passe dans les 6 je me fait avoiner,
encore un trompe la mort les mitrailleurs des PE2 sont plus qu’énervés …
je le savais qu’il ne fallait pas le faire
Sans demander mon reste, je reprends de l’altitude en regardant les bombers bien en formation s’éloigner
cela promet pour attaquer des viermots bien défendus ...
je ne peux rien faire. plus d’Elvis.
Très contrarie ! rien n’a la radio rien dans le ciel je file vers pitomnik.
Pousse un soulagement quand je passe la limite du kessel.
Je pense a mon compagnon, j’espère qu’il n’a pas été touche lors de l’attaque.
Pas vu d’explosion au sol, je me dis qu’il aura pu se poser du bon côté du front en cas de problème.
Je survole et je cherche un 109, rien énervé et inquiet j’oublie que je suis encore à 300 km/h.
Quand je veux me poser comme un sauvage au break, j’ai failli me prendre le seuil de piste en pleine face ! j
e ne remets pas de gaz, la piste est assez longue, je casse la vitesse tant que je peux
Et pose les roues à 260 ! …
Me voilà posé, je cours je cherche Elvis savoir s’il est rentré.
Je ne vois pas d’autre 109 je questionne, personne n’a rien vu, c’est le chaos total.
Tout le monde court dans tous les sens, partout des blessés des morts, pas une trace d’un gradé
Je file vers un hangar et je tombe sur un mécanicien.
Qui me confirme qu’un 109 s’est pose il y a 10 minutes, mais ne sais pas où est le pilote.
Il m’indique une baraque ou serait les huiles, « ceux qui restent au chaud » me lance-t-il avec un regard
Qui en dit long …
Je file vers le braquement alors que la neige recommence a tomber et que des obus tombent à quelques kilomètres de la …
Elvis fait son compte rendu et est tout étonné de me voir !
J’étais persuade de t’avoir vu tomber me lance t’il.
Je lui explique que j’ai pris du plomb, mais le zinc est intact,
Il me confirme avoir un problème avec son FUG7, cela me rassure
Ni lui ni moi n’avons descendu un bombardier, j’en touche un sans rien lui faire,
un autre ou si le pilote a réussi a ramener sa machine il sera chanceux
et Elvis touche 2 fois également sans aucun dégât.
Il est temps du repos, mais surtout de prendre des nouvelles du front.