Bataille ouverte ?
Pontus
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Re: Pontus
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
- griffon
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Re: Pontus
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Re: Pontus
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Re: Pontus
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Re: Pontus
Mais qui sortira vainqueur ?
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Re: Pontus
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Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
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Re: Pontus
Quel charnier
C'est une issue inattendue et équitable... Il est dit que je garde le champ de bataille mais je n'en veux pas, cette terre est maudite
Concernant la stratégie, je n'en avais pas avant la bataille. Une seule tactique, utiliser mes nombreux légers pour affaiblir les chevaliers adverses et si possible réfugier les légers en terrain difficile. A l'issue du déploiement j'ai pensé que mon aile gauche de cavalerie était au moins égale à celle de Griffon séparée des chevaliers tireurs plus nombreux par une zone de caillasse. J'ai donc pris la décision autant pour éviter les tirs sur mes précieux cataphractes que par espoir de vaincre l'aile adverse d'offrir une bataille de cavalerie à gauche. Mon centre de biffe lourde romaine se tenant en réserve pour intercepter les chevaliers qui contourneraient la caillasse pour soutenir les nobles en armure. A droite j'essayais de harceler les Roxolans et de les attendre en terrain difficile avec mon inf moyenne grecque et mes thraces pour faire de longs sillons dans les armures adverses.
Mes centraux romains ont pu engager les chevaliers qui venaient soutenir le combat de cavalerie ou j'étais empêtré plutôt favorablement après des débuts encourageant. A quatre unités contre une puis deux unités de chevaliers mes similis romains se sont très bien comportés. La bataille était serré mais les unités griffoniennes était plus près de défaillir que les miennes et à un moment cela arriva (surtout au centre et à gauche), mais mes propres unités était plus éparses et la ligne n'était plus tenu. On pensait alors avoir bataille gagné mais c'était mal connaître Griffon...
Tel Alexandre chargeant Darius, il suffira d'une charge rhoxolane de flanc non couverte au centre pour faire fuir une unité et en contaminer deux autres qui fuirent peu après... mon avance s'était réduite et mes nombreux légers qui avait épuisé leur munitions depuis longtemps était peu utile à ce moment ou presque tous les ennemis étaient au cac. Au niveau des unités en état de combattre, on était à égalité et chacun proche de la déroute.
Ce ne fut alors qu'une intense boucherie avec le résultat que l'on connaît
C'est une issue inattendue et équitable... Il est dit que je garde le champ de bataille mais je n'en veux pas, cette terre est maudite
Concernant la stratégie, je n'en avais pas avant la bataille. Une seule tactique, utiliser mes nombreux légers pour affaiblir les chevaliers adverses et si possible réfugier les légers en terrain difficile. A l'issue du déploiement j'ai pensé que mon aile gauche de cavalerie était au moins égale à celle de Griffon séparée des chevaliers tireurs plus nombreux par une zone de caillasse. J'ai donc pris la décision autant pour éviter les tirs sur mes précieux cataphractes que par espoir de vaincre l'aile adverse d'offrir une bataille de cavalerie à gauche. Mon centre de biffe lourde romaine se tenant en réserve pour intercepter les chevaliers qui contourneraient la caillasse pour soutenir les nobles en armure. A droite j'essayais de harceler les Roxolans et de les attendre en terrain difficile avec mon inf moyenne grecque et mes thraces pour faire de longs sillons dans les armures adverses.
Mes centraux romains ont pu engager les chevaliers qui venaient soutenir le combat de cavalerie ou j'étais empêtré plutôt favorablement après des débuts encourageant. A quatre unités contre une puis deux unités de chevaliers mes similis romains se sont très bien comportés. La bataille était serré mais les unités griffoniennes était plus près de défaillir que les miennes et à un moment cela arriva (surtout au centre et à gauche), mais mes propres unités était plus éparses et la ligne n'était plus tenu. On pensait alors avoir bataille gagné mais c'était mal connaître Griffon...
Tel Alexandre chargeant Darius, il suffira d'une charge rhoxolane de flanc non couverte au centre pour faire fuir une unité et en contaminer deux autres qui fuirent peu après... mon avance s'était réduite et mes nombreux légers qui avait épuisé leur munitions depuis longtemps était peu utile à ce moment ou presque tous les ennemis étaient au cac. Au niveau des unités en état de combattre, on était à égalité et chacun proche de la déroute.
Ce ne fut alors qu'une intense boucherie avec le résultat que l'on connaît
Modifié en dernier par rooom le ven. avr. 20, 2018 2:43 pm, modifié 1 fois.
L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde
Frédéric Bastiat
Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
Friedrich Hayek
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Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
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Re: Pontus
Magnifique carnage qui ouvre les portes de vos territoires aux voisins avides de conquêtes.