Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Je me dévoue pour aider l'empire à sortir du marasme que les troubles provoquent. Troubles sans doute provoqués par les Britanniques à qui l'étranglement de notre commerce ne suffit plus !
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Début mars 1860
Le gouvernement accueille un nouveau ministre de l'intérieur, le comte von Druss zu Dharan. Dès sa prise de fonction, il fait donner de la carotte et du bâton. Cela suffira-t-il à pacifier les ouvriers révoltés?
Peut-être pas, aussi comptons-nous calmer les cercles libéraux avec une révision du suffrage censitaire pour le vote de la chambre haute, qui serait un peu plus généreux à l'avenir. Le comte von Greiffenau exulte à cette idée, reste à savoir si la commission d'experts trouvera un compromis viable. On notera d'ailleurs que ce cher Charles-Ferdinand von Buol s'est remis de ses problèmes de santé et n'a finalement pas quitté sa fonction de ministre-président.
La démographie faisant son effet, j'accorde également l'autorisation nécessaire à l'établissement d'un port de pêche en Illyrie. L'Autriche reste autosuffisante en produits agricoles, un peu de marge ne fera cependant pas de mal.
Fin mars 1860
Une délégation serbe m'a remis aujourd'hui un document qui m'a l'air fort important. Malheureusement, je n'ai pu trouver personne à la chancellerie capable de traduire leur dialecte, je remettrai donc une décision à plus tard.
Les réformes du comte von Druss zu Dharan portent quelques fruits modestes. L'état de grève reste cependant la norme dans les provinces tumultueuses.
Début avril 1860
Il semblerait que j'aie manqué quelque chose avec cette délégation serbe ... la Voïvodie du Banat et de Temeschwar est dissoute et rattachée au Royaume de Hongrie. Aurait-il fallu que je fasse quelque chose? Enfin, l'affaire est maintenant réglée!
Quelques centaines de lieues plus au Sud, Sir Arthur Room a annoncé la finition du train transillyrien, qui desservira l'intégralité de la côte adriatique. Ordem e progresso!
Fin avril 1860
Des semaines bien calmes! Rien à signaler, mis à part le 58e essai du comte von Efelleturm d'arriver à une paix avec le Royaume-Uni.
Début mai 1860
La fabrique de munitions de Zagreb est terminée, et un ingénieur de Salzbourg présente le concept d'un moteur à quatre temps à l'université technique.
Malgré ces accents paisibles, les temps présents sont dédiés au fer et au sang. Les nationalistes italiens ont fini par s'accorder (momentanément), le roi de Sardaigne-Piémont, espoir de toute l'Italie, nous a déclaré la guerre!
Nos armées en Lombardie, préparées à ce genre de malhonnêtetés, reçoivent l'ordre de marcher vers Turin, en passent par Alexandrie. Les armées à Prague et au Monténégro viendront dans un second temps renforcer ce dispositif, tandis que les très larges défenses côtières restent en place.
Fin mai 1860
D'entrée, nos troupes bousculent les armées du prince Ferdinand Marie Albert Amédée Philibert Vincent de Savoie. La cavalerie légère évite le pire en couvrant la retraite.
Le général von Schlik pousse vers le Sud, une attaque sur Turin serait trop risquée pour l'instant. Le maréchal von Radetz reste en arrière pour assiéger Alexandrie.
Inquiétant: l'Allemagne et la Russie sont enclin à supporter les revendications italiennes, qui prévoient l'annexion de la Lombardie-Vénétie et la formation d'un royaume italien regroupant toutes les principautés existantes. Garibaldi aurait débarqué à Gênes pour entrainer ses compatriotes au combat.
Début juin 1860
Las! Les bataillons de von Schlik avancent à peine dans la campagne italienne. Partout, des redoutes et autres points de résistance forcent à s'arrêter, attendre l'artillerie, donner l'assaut à l'arme blanche ... Il vaut mieux procéder systématiquement, et justement, les calibres lourds de von Radetz ont fait des ravages à Alexandrie. Une attaque coordonnée devrait nous offrir ce noeud de communication vital.
La guerre n'est pas une raison pour négliger nos autres affaires courantes! Sous l'égide du baron Graujäger, nous érigeons une banque centrale et suivons ainsi la nouvelle mode du monde des finances.
Considérons aussi notre nouvelle fabrique de cartouches, qui connait un succès fou. De nombreuses principautés allemandes achètent nos munitions de grande qualité, le fisc s'en réjouit, tout comme Sir Arthur Room.
Et n'oublions pas nos proto-colonies, toujours alimentées par un flux de marchands allant grandissant!
Fin juin 1860
Après un bref, mais sanglant combat, Alexandrie tombe entre nos mains.
Une belle prise de guerre! La région est riche: industrie textile, fabrique de conserves, des champs de blé à perte de vue et une mine de fer très productive. Nous ne sommes cependant pas là pour nous enrichir, mais bien pour donner une leçon à Victor-Emmanuel, roi de Sardaigne-Piémont.
Suivant une concertation par télégraphe, von Radetz marche vers le Sud, et von Schlik, fraichement promu maréchal d'artillerie, vers l'Ouest. Von Heß arrive déjà d'Illyrie pour combler le vide qui se formera à Alexandrie.
Et en Autriche? Un sursaut de M.Budi-Budi! Il investit dans des mines de lignite, fort bien!
Début juillet 1860
En cet été 1860, le sang coule à flots, une triple bataille a lieu dans les plaines d'Italie du Nord. D'abord, von Heß intercepte des carabinieri à cheval, qui voulaient reprendre en douce Alexandrie. Bien plus importante, la victoire du maréchal Radetzky von Radetz, qui du haut de ses 94 ans inflige une terrible défaite au prince de Savoie!
Le flanc ligurien est donc sûr, le frais émoulu maréchal von Schlik peut montrer ce qu'il sait faire. Ce sera une bataille compliquée que celle qui aura lieu devant Turin, elle demandera de la patience, de l'endurance et beaucoup de morts autrichiens. Cependant, elle se termine en victoire, l'ennemi se replie au soir!
Voilà une situation avantageuse, et von Heß serait bête de ne pas l'exploiter. Il donne l'accolade à von Radetz en Ligurie. Il faut battre le fer tant qu'il est chaud.
Le prince Elviszörszkögtzkyszervar voit dans ce tourbillon guerrier une bonne occasion de placer l'un de ses protégés. Au cours d'un dîner commun, ponctué de cerises frites à la d’Aumont, le comte Tassilo Festetics de Tolna s'assurera un commandement militaire en Hongrie.
Mais quelles cerises! J'ordonne à mon cuisiner de se faire montrer la procédure pour qu'il puisse les servir dans mon salon. La recette est une véritable hymne au goût:
Fin juillet 1860
Les Italiens ont le sang chaud! Sortie de la garnison de Turin, partisans dans le Piémont, et pour bien faire une attaque menée par le roi lui-même.
Rien qui pourrait déstabiliser notre poigne d'acier sur la région. Avec deux sièges en cours à Gênes et Turin, nous disposons toujours d'une marge de manoeuvre importante, avec deux armées "volantes" prêtes à intervenir un peu partout. Les Italiens sont sur le point d'être saignés.
Le gouvernement accueille un nouveau ministre de l'intérieur, le comte von Druss zu Dharan. Dès sa prise de fonction, il fait donner de la carotte et du bâton. Cela suffira-t-il à pacifier les ouvriers révoltés?
Peut-être pas, aussi comptons-nous calmer les cercles libéraux avec une révision du suffrage censitaire pour le vote de la chambre haute, qui serait un peu plus généreux à l'avenir. Le comte von Greiffenau exulte à cette idée, reste à savoir si la commission d'experts trouvera un compromis viable. On notera d'ailleurs que ce cher Charles-Ferdinand von Buol s'est remis de ses problèmes de santé et n'a finalement pas quitté sa fonction de ministre-président.
La démographie faisant son effet, j'accorde également l'autorisation nécessaire à l'établissement d'un port de pêche en Illyrie. L'Autriche reste autosuffisante en produits agricoles, un peu de marge ne fera cependant pas de mal.
Fin mars 1860
Une délégation serbe m'a remis aujourd'hui un document qui m'a l'air fort important. Malheureusement, je n'ai pu trouver personne à la chancellerie capable de traduire leur dialecte, je remettrai donc une décision à plus tard.
Les réformes du comte von Druss zu Dharan portent quelques fruits modestes. L'état de grève reste cependant la norme dans les provinces tumultueuses.
Début avril 1860
Il semblerait que j'aie manqué quelque chose avec cette délégation serbe ... la Voïvodie du Banat et de Temeschwar est dissoute et rattachée au Royaume de Hongrie. Aurait-il fallu que je fasse quelque chose? Enfin, l'affaire est maintenant réglée!
Quelques centaines de lieues plus au Sud, Sir Arthur Room a annoncé la finition du train transillyrien, qui desservira l'intégralité de la côte adriatique. Ordem e progresso!
Fin avril 1860
Des semaines bien calmes! Rien à signaler, mis à part le 58e essai du comte von Efelleturm d'arriver à une paix avec le Royaume-Uni.
Début mai 1860
La fabrique de munitions de Zagreb est terminée, et un ingénieur de Salzbourg présente le concept d'un moteur à quatre temps à l'université technique.
Malgré ces accents paisibles, les temps présents sont dédiés au fer et au sang. Les nationalistes italiens ont fini par s'accorder (momentanément), le roi de Sardaigne-Piémont, espoir de toute l'Italie, nous a déclaré la guerre!
Nos armées en Lombardie, préparées à ce genre de malhonnêtetés, reçoivent l'ordre de marcher vers Turin, en passent par Alexandrie. Les armées à Prague et au Monténégro viendront dans un second temps renforcer ce dispositif, tandis que les très larges défenses côtières restent en place.
Fin mai 1860
D'entrée, nos troupes bousculent les armées du prince Ferdinand Marie Albert Amédée Philibert Vincent de Savoie. La cavalerie légère évite le pire en couvrant la retraite.
Le général von Schlik pousse vers le Sud, une attaque sur Turin serait trop risquée pour l'instant. Le maréchal von Radetz reste en arrière pour assiéger Alexandrie.
Inquiétant: l'Allemagne et la Russie sont enclin à supporter les revendications italiennes, qui prévoient l'annexion de la Lombardie-Vénétie et la formation d'un royaume italien regroupant toutes les principautés existantes. Garibaldi aurait débarqué à Gênes pour entrainer ses compatriotes au combat.
Début juin 1860
Las! Les bataillons de von Schlik avancent à peine dans la campagne italienne. Partout, des redoutes et autres points de résistance forcent à s'arrêter, attendre l'artillerie, donner l'assaut à l'arme blanche ... Il vaut mieux procéder systématiquement, et justement, les calibres lourds de von Radetz ont fait des ravages à Alexandrie. Une attaque coordonnée devrait nous offrir ce noeud de communication vital.
La guerre n'est pas une raison pour négliger nos autres affaires courantes! Sous l'égide du baron Graujäger, nous érigeons une banque centrale et suivons ainsi la nouvelle mode du monde des finances.
Considérons aussi notre nouvelle fabrique de cartouches, qui connait un succès fou. De nombreuses principautés allemandes achètent nos munitions de grande qualité, le fisc s'en réjouit, tout comme Sir Arthur Room.
Et n'oublions pas nos proto-colonies, toujours alimentées par un flux de marchands allant grandissant!
Fin juin 1860
Après un bref, mais sanglant combat, Alexandrie tombe entre nos mains.
Une belle prise de guerre! La région est riche: industrie textile, fabrique de conserves, des champs de blé à perte de vue et une mine de fer très productive. Nous ne sommes cependant pas là pour nous enrichir, mais bien pour donner une leçon à Victor-Emmanuel, roi de Sardaigne-Piémont.
Suivant une concertation par télégraphe, von Radetz marche vers le Sud, et von Schlik, fraichement promu maréchal d'artillerie, vers l'Ouest. Von Heß arrive déjà d'Illyrie pour combler le vide qui se formera à Alexandrie.
Et en Autriche? Un sursaut de M.Budi-Budi! Il investit dans des mines de lignite, fort bien!
Début juillet 1860
En cet été 1860, le sang coule à flots, une triple bataille a lieu dans les plaines d'Italie du Nord. D'abord, von Heß intercepte des carabinieri à cheval, qui voulaient reprendre en douce Alexandrie. Bien plus importante, la victoire du maréchal Radetzky von Radetz, qui du haut de ses 94 ans inflige une terrible défaite au prince de Savoie!
Le flanc ligurien est donc sûr, le frais émoulu maréchal von Schlik peut montrer ce qu'il sait faire. Ce sera une bataille compliquée que celle qui aura lieu devant Turin, elle demandera de la patience, de l'endurance et beaucoup de morts autrichiens. Cependant, elle se termine en victoire, l'ennemi se replie au soir!
Voilà une situation avantageuse, et von Heß serait bête de ne pas l'exploiter. Il donne l'accolade à von Radetz en Ligurie. Il faut battre le fer tant qu'il est chaud.
Le prince Elviszörszkögtzkyszervar voit dans ce tourbillon guerrier une bonne occasion de placer l'un de ses protégés. Au cours d'un dîner commun, ponctué de cerises frites à la d’Aumont, le comte Tassilo Festetics de Tolna s'assurera un commandement militaire en Hongrie.
Mais quelles cerises! J'ordonne à mon cuisiner de se faire montrer la procédure pour qu'il puisse les servir dans mon salon. La recette est une véritable hymne au goût:
Posez douze cuillerées de confiture de cerises, chacune sur un large pain à chanter, humectez avec de l'eau un second pain à chanter et appliquez-le sur le premier en sens contraire ; vos cerises ainsi enveloppées, vous les tremperez dans une pâte à frire faite avec du beurre au lieu d'huile, et à laquelle vous aurez ajouté un peu de vin de Madère et de ratafia de noyaux; faites-leur prendre une belle couleur dans une friture moyennement chaude ; vous les égoutterez, les poudrerez de sucre fin, et les servirez.
Fin juillet 1860
Les Italiens ont le sang chaud! Sortie de la garnison de Turin, partisans dans le Piémont, et pour bien faire une attaque menée par le roi lui-même.
Rien qui pourrait déstabiliser notre poigne d'acier sur la région. Avec deux sièges en cours à Gênes et Turin, nous disposons toujours d'une marge de manoeuvre importante, avec deux armées "volantes" prêtes à intervenir un peu partout. Les Italiens sont sur le point d'être saignés.
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- Serenissimus augustus a Deo coronatus magnus pacificus imperator
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Quels sont nos objectifs dans la guerre contre l Italie ?
Il semblerait que les italiens bénéficient d un soutien international, mais il faut également prendre des mesures pour qu'ils abandonnent leur prétentions sur nos provinces....
Pour la guerre avec l Angleterre, comment ce fait il qu il n y a pas eu encore de paix automatique (en cas d absence d'actions militaires durant plusieurs mois : on se bat toujours quelque part contre les britanniques ?)
Nous devrions simplement offrir une paix blanche ; il n est pas certain que les offres précédente, injustement favorables a la couronne britannique, favorisent une décision positive a Londres...
Il semblerait que les italiens bénéficient d un soutien international, mais il faut également prendre des mesures pour qu'ils abandonnent leur prétentions sur nos provinces....
Pour la guerre avec l Angleterre, comment ce fait il qu il n y a pas eu encore de paix automatique (en cas d absence d'actions militaires durant plusieurs mois : on se bat toujours quelque part contre les britanniques ?)
Nous devrions simplement offrir une paix blanche ; il n est pas certain que les offres précédente, injustement favorables a la couronne britannique, favorisent une décision positive a Londres...
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
En Sardaigne-Piémont, il ne s'agit que de repousser l'ennemi et le forcer à une paix n'incluant pas la sécession de nos provinces italiennes. Cela implique pour l'état-major de neutraliser ses forces et ses centres industriels.
Le soutien international ne s'est pas traduit par une alliance militaire, heureusement. Nous n'avons cependant pas de possibilité de faire abjurer les Italiens, ils garderont leurs prétentions, quoi que nous fassions.
En ce qui concerne le Royaume-Uni, je ne comprends pas vraiment la chose. Il n'y a même plus de flotte britannique qui croise devant nos côtes, jamais. Donc pas d'action de blocus. Une paix blanche aurait dû être automatiquement décrétée depuis des mois. Peut-être nos demandes de paix? Ou alors nos alliés, qui eux profitent de ces paix automatiques et redéclarent la guerre dans la foulée par solidarité?
Un paix blanche, pourquoi pas, je vais transmettre un memorandum au comte von Efelleturm!
Le soutien international ne s'est pas traduit par une alliance militaire, heureusement. Nous n'avons cependant pas de possibilité de faire abjurer les Italiens, ils garderont leurs prétentions, quoi que nous fassions.
En ce qui concerne le Royaume-Uni, je ne comprends pas vraiment la chose. Il n'y a même plus de flotte britannique qui croise devant nos côtes, jamais. Donc pas d'action de blocus. Une paix blanche aurait dû être automatiquement décrétée depuis des mois. Peut-être nos demandes de paix? Ou alors nos alliés, qui eux profitent de ces paix automatiques et redéclarent la guerre dans la foulée par solidarité?
Un paix blanche, pourquoi pas, je vais transmettre un memorandum au comte von Efelleturm!
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Perfide albion avec leur bière dégueulasse et leur cuisine infâme, on ne peut rien attendre d'eux.
- DarthMath
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Aaaahh ... on va enfin pouvoir s'expliquer avec eux !! Pas de pitié pour les Ritals !! La Lombardie est à nous, de droit divin !! C'est le vieux Charles qui l'a dit, dans le temps !!
"You know, in this world, there's two kinds of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..."
"If you work for a living, why do you kill yourself working ?"
Liste des AARs
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
DarthMath a écrit :Aaaahh ... on va enfin pouvoir s'expliquer avec eux !! Pas de pitié pour les Ritals !! La Lombardie est à nous, de droit divin !! C'est le vieux Charles qui l'a dit, dans le temps !!
Que de haine, messiresefelle a écrit :Perfide albion avec leur bière dégueulasse et leur cuisine infâme, on ne peut rien attendre d'eux.
Tiens d'ailleurs historiquement, les provinces de Lombardie-Vénétie étaient tellement riches qu'elles généraient un tiers des impôts en Autriche. Ce n'est pas le cas dans PoN, mais elles ne sont pas pour autant insignifiantes économiquement. La soie notamment est vraiment très utile pour satisfaire les classes plus aisées et ainsi gonfler le marché national.
- DarthMath
- Empereur intergalactique
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Il faut ré-occuper et annexer totalement le Piémont et la Ligurie !! Dieu le veut !!
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Ouf, c'est pas impossible, il faudrait qu'en temps de paix je fabrique une jolie revendication territoriale, et qu'ensuite je leur pète les rotules. Ce n'est pas forcément une mauvaise idée, le royaume de Sardaigne-Piémont sera de toutes manières toujours mon ennemi juré, ils ne lacheront jamais leurs prétentions sur la Lombardie-Vénétie et je ne serais pas étonné de les voir revenir à la charge tous les dix ans.
Je sais pas si la France va apprécier par contre
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- jmlo
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Il y a des rumeurs à Vienne sur les soucis de Sir Arthur Room avec l'administration fiscale...
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Début août 1860
Devant Turin, les forces sardes tentent un ultime sursaut. Avec près de 200 000 hommes armés, cette offensive de la dernière chance est cependant bien trop faible pour s'opposer à la fine fleur de l'empire d'Autriche. La bataille tourne au désastre pour les patriotes italiens.
Sans trop de surprise, le roi de Sardaigne-Piémont nous offre la paix, avec 368 000 couronnes de réparations de guerre, payables en or massif. C'est beaucoup pour une économie de taille moyenne, les payements seront étalés sur huit ans. Avide de paix et conscient de la probabilité d'une intervention étrangère, j'accepte.
C'est une pluie de médailles qui s'abat sur les généraux victorieux. Frédéric von und zu Liechtenstein est promu maréchal.
Aux États-Unis, le colonel Edwin Drake introduit une nouvelle méthode de forage, utilisant de l'eau salée. Son puits de pétrole à Titusville est une avancée significative dans une industrie encore jeune.
Fin août 1860
Les troupes autrichiennes se retirent cérémonieusement du Piémont, non sans parader. L'Empereur en personne s'est déplacé à Milan pour saluer les officiers. À cette occasion, le maréchal Radetzky von Radetz annonce qu'il ira en pension. Il avait commencé sa carrière militaire comme cadet au second régiment de cuirassier, en 1784. À l'âge de 94 ans, personne ne pourra lui reprocher de n'avoir fait son possible pour l'Autriche.
Son successeur, le comte Alfred von Henikstein, est un maréchal-lieutenant prometteur, plein de fougue, mais fort arrogant. Il devra faire ses preuves sur le champ de bataille.
Après l'ouverture d'une usine de biens manufacturés en-dehors des régions contestées par des mouvements sociaux, la Mundus AG de M. Budi-Budi cherche à investir dans une mine de houille au coeur de l'Autriche, juste à côté de Vienne. Nous ne demandons pas mieux.
De plus, le comte von Stratte zu Kömsz voudrait mieux sécuriser Presbourg et la côte adriatique. Les biens manufacturés étant disponibles en quantités suffisantes, un programme de fortification est mis en place.
Début septembre 1860
Avec l'apport des nouveaux ports de pêche, la production nationale a bien progressé. Nous disposons maintenant d'une marge de production importante. Les excédents se chiffrent en milliers de tonnes, qui sont mis à disposition des usines de conserves et exportés dans le monde entier.
En ce qui concerne nos colonies, nos avancées sont mineures. Sans troupes sur place, nous sommes condamnés à une pénétration coloniale limitée (35% maximum). D'autres puissances sont présentes également, il s'agit donc bien d'une course contre le temps, à laquelle nous participons les pieds liés.
Fin septembre 1860
Les États-Unis d'Amérique ont déclaré la guerre à l'Espagne! Les marchands de toutes nations tremblent pour leurs affaires. Suite au blocus britannique continu, nous ne sommes pas concernés directement. De plus, il semblerait que le Venezuela veuille régler des comptes avec le Royaume-Uni. Qu'ils y aillent!
Les étincelles fusent de partout. Napoléon III fait pression sur la Belgique pour qu'elle renvoie des ministres qui ne lui plaisent pas. Un acte d'une arrogance sans précédent!
Une dynamique plus positive secoue l'Autriche. En effet, mon cher frère Juan Maria Lopez-Olivares, "El jmlo", a eu l'idée de se venger de ses frasques sud-américaines en glosant sur la solvabilité de Sir Arthur Room dans des cercles informés. Depuis, il n'a pas obtenu un seul crédit, stoppant brusquement l'ascension de la Room Schienen-Korporation. M. Budi-Budi ne demandait pas mieux, et après son projet de mine de houille près de Vienne, le voilà qui veut ouvrir une mine de fer près de Salzbourg.
Début octobre 1860
Après la défaite contre l'Autriche, il s'agit de déterminer le coupable. Qui a enterré les chances d'unification en Italie? La Sardaigne-Piémont, dont les armées ont été battues? Ou les Deux-Siciles, qui ne sont pas intervenues?
Que de conflits! Au moins les Français et les Belges ont-ils réussi à s'insulter sans faire parler les armes. Au dire général, l'échange de notes publiques a tourné à l'avantage de la France, dont les diplomates ont brillamment tiré parti pour asseoir leur position.
Motivés par la bonne pêche, des investisseurs financent une nouvelle conserverie.
Prospérera-t-elle? Rien n'est moins sûr, car la locomotive économique de l'Europe, le Royaume-Uni, fait face à une sévère crise.
Fin octobre 1860
La crise économique britannique touche de plein fouet nos spéculateurs. Les cours de la couronne autrichienne s'effondrent, les banques vacillent, tout le monde cherche à sauver son pécule.
L'inflation explose et atteint 6% en deux semaines seulement. Le comte von Greiffenau suggère des subventions publiques pour le charbon, les biens manufacturés et l'acier. Je signe les trois décrets, les caisses de l'état sont bien remplies.
Au vu de ces problèmes, les prises de bec italiennes ne pèsent pas beaucoup. Toutefois, je lis en travers le rapport du comte von Efelleturm, qui relate une victoire diplomatique sarde.
Début novembre 1860
Le manque de crédits et de capital étrangle nos industriels. Il a fallu une annonce du ministre des finances pour regagner un peu de confiance dans la banque centrale. Le flux d'argent recommence à couler, non sans occasionner une inflation malvenue.
Fin novembre 1860
En guise de reprise symbolique, la Room Schienen-Korporation annonce des chemins de fer vers Sarajevo. Leur utilité sera pourtant plus militaire qu'économique, car il n'y a pas grand-chose dans cette région à part de l'agriculture de subsistance.
Je pensais que le comte von Efelleturm avait trop bu ... occupé par la dégustation de petits diablotins de blanc-manger aux avelines, celui-ci m'avait interrompu en annonçant une guerre entre la Sardaigne-Piémont et la France. Mais que veulent-ils bien faire en France avec leur armée embryonnaire? Annexer les Basses-Alpes?
Début décembre 1860
Le prince Elviszörszkögtzkyszervar m'a demandé d'envoyer une proposition de paix blanche au Royaume-Uni. Après consultation du comte von Efelleturm, nous ne pouvons selon les usages diplomatiques ne rien offrir en contrepartie, mais nous pourrions limiter cette contrepartie au strict minimum, à savoir des réparations de guerre équivalent à 109 000 couronnes. C'est chose faite!
Fin décembre 1860
La pêche gagne encore en importance, elle sera un facteur déterminant pour alimenter une population qui n'en finit pas de croitre. Selon les scientifiques de l'université de Vienne, la population mondiale serait passée d'un milliard à un milliard et demi d'individus au cours de la première moitié du siècle. 50% en 50 ans! Du jamais vu.
Il n'y pas que l'alimentation qui demande de plus en plus d'efforts, le charbon est tout aussi important. Une mine vient d'ouvrir près de Salzbourg, nous serons donc moins dépendants d'imports. Nos espoirs se situent cependant plutôt dans une augmentation de productivité des mines existantes. Plusieurs procédés techniques sont prometteurs et probablement réalisables à moyen terme.
Début janvier 1861
Une nouvelle année s'annonce! Et elle débute avec un pied-de-nez britannique. Pas de paix, malgré une crise économique de plus en plus pesante.
Le baron von Lockenfeld en profite pour m'arracher quelques fonds pour la recherche de modèles navals.
Si déjà les Britanniques refusent toute paix, autant être préparés ...
Devant Turin, les forces sardes tentent un ultime sursaut. Avec près de 200 000 hommes armés, cette offensive de la dernière chance est cependant bien trop faible pour s'opposer à la fine fleur de l'empire d'Autriche. La bataille tourne au désastre pour les patriotes italiens.
Sans trop de surprise, le roi de Sardaigne-Piémont nous offre la paix, avec 368 000 couronnes de réparations de guerre, payables en or massif. C'est beaucoup pour une économie de taille moyenne, les payements seront étalés sur huit ans. Avide de paix et conscient de la probabilité d'une intervention étrangère, j'accepte.
C'est une pluie de médailles qui s'abat sur les généraux victorieux. Frédéric von und zu Liechtenstein est promu maréchal.
Aux États-Unis, le colonel Edwin Drake introduit une nouvelle méthode de forage, utilisant de l'eau salée. Son puits de pétrole à Titusville est une avancée significative dans une industrie encore jeune.
Fin août 1860
Les troupes autrichiennes se retirent cérémonieusement du Piémont, non sans parader. L'Empereur en personne s'est déplacé à Milan pour saluer les officiers. À cette occasion, le maréchal Radetzky von Radetz annonce qu'il ira en pension. Il avait commencé sa carrière militaire comme cadet au second régiment de cuirassier, en 1784. À l'âge de 94 ans, personne ne pourra lui reprocher de n'avoir fait son possible pour l'Autriche.
Son successeur, le comte Alfred von Henikstein, est un maréchal-lieutenant prometteur, plein de fougue, mais fort arrogant. Il devra faire ses preuves sur le champ de bataille.
Après l'ouverture d'une usine de biens manufacturés en-dehors des régions contestées par des mouvements sociaux, la Mundus AG de M. Budi-Budi cherche à investir dans une mine de houille au coeur de l'Autriche, juste à côté de Vienne. Nous ne demandons pas mieux.
De plus, le comte von Stratte zu Kömsz voudrait mieux sécuriser Presbourg et la côte adriatique. Les biens manufacturés étant disponibles en quantités suffisantes, un programme de fortification est mis en place.
Début septembre 1860
Avec l'apport des nouveaux ports de pêche, la production nationale a bien progressé. Nous disposons maintenant d'une marge de production importante. Les excédents se chiffrent en milliers de tonnes, qui sont mis à disposition des usines de conserves et exportés dans le monde entier.
En ce qui concerne nos colonies, nos avancées sont mineures. Sans troupes sur place, nous sommes condamnés à une pénétration coloniale limitée (35% maximum). D'autres puissances sont présentes également, il s'agit donc bien d'une course contre le temps, à laquelle nous participons les pieds liés.
Fin septembre 1860
Les États-Unis d'Amérique ont déclaré la guerre à l'Espagne! Les marchands de toutes nations tremblent pour leurs affaires. Suite au blocus britannique continu, nous ne sommes pas concernés directement. De plus, il semblerait que le Venezuela veuille régler des comptes avec le Royaume-Uni. Qu'ils y aillent!
Les étincelles fusent de partout. Napoléon III fait pression sur la Belgique pour qu'elle renvoie des ministres qui ne lui plaisent pas. Un acte d'une arrogance sans précédent!
Une dynamique plus positive secoue l'Autriche. En effet, mon cher frère Juan Maria Lopez-Olivares, "El jmlo", a eu l'idée de se venger de ses frasques sud-américaines en glosant sur la solvabilité de Sir Arthur Room dans des cercles informés. Depuis, il n'a pas obtenu un seul crédit, stoppant brusquement l'ascension de la Room Schienen-Korporation. M. Budi-Budi ne demandait pas mieux, et après son projet de mine de houille près de Vienne, le voilà qui veut ouvrir une mine de fer près de Salzbourg.
Début octobre 1860
Après la défaite contre l'Autriche, il s'agit de déterminer le coupable. Qui a enterré les chances d'unification en Italie? La Sardaigne-Piémont, dont les armées ont été battues? Ou les Deux-Siciles, qui ne sont pas intervenues?
Que de conflits! Au moins les Français et les Belges ont-ils réussi à s'insulter sans faire parler les armes. Au dire général, l'échange de notes publiques a tourné à l'avantage de la France, dont les diplomates ont brillamment tiré parti pour asseoir leur position.
Motivés par la bonne pêche, des investisseurs financent une nouvelle conserverie.
Prospérera-t-elle? Rien n'est moins sûr, car la locomotive économique de l'Europe, le Royaume-Uni, fait face à une sévère crise.
Fin octobre 1860
La crise économique britannique touche de plein fouet nos spéculateurs. Les cours de la couronne autrichienne s'effondrent, les banques vacillent, tout le monde cherche à sauver son pécule.
L'inflation explose et atteint 6% en deux semaines seulement. Le comte von Greiffenau suggère des subventions publiques pour le charbon, les biens manufacturés et l'acier. Je signe les trois décrets, les caisses de l'état sont bien remplies.
Au vu de ces problèmes, les prises de bec italiennes ne pèsent pas beaucoup. Toutefois, je lis en travers le rapport du comte von Efelleturm, qui relate une victoire diplomatique sarde.
Début novembre 1860
Le manque de crédits et de capital étrangle nos industriels. Il a fallu une annonce du ministre des finances pour regagner un peu de confiance dans la banque centrale. Le flux d'argent recommence à couler, non sans occasionner une inflation malvenue.
Fin novembre 1860
En guise de reprise symbolique, la Room Schienen-Korporation annonce des chemins de fer vers Sarajevo. Leur utilité sera pourtant plus militaire qu'économique, car il n'y a pas grand-chose dans cette région à part de l'agriculture de subsistance.
Je pensais que le comte von Efelleturm avait trop bu ... occupé par la dégustation de petits diablotins de blanc-manger aux avelines, celui-ci m'avait interrompu en annonçant une guerre entre la Sardaigne-Piémont et la France. Mais que veulent-ils bien faire en France avec leur armée embryonnaire? Annexer les Basses-Alpes?
Début décembre 1860
Le prince Elviszörszkögtzkyszervar m'a demandé d'envoyer une proposition de paix blanche au Royaume-Uni. Après consultation du comte von Efelleturm, nous ne pouvons selon les usages diplomatiques ne rien offrir en contrepartie, mais nous pourrions limiter cette contrepartie au strict minimum, à savoir des réparations de guerre équivalent à 109 000 couronnes. C'est chose faite!
Fin décembre 1860
La pêche gagne encore en importance, elle sera un facteur déterminant pour alimenter une population qui n'en finit pas de croitre. Selon les scientifiques de l'université de Vienne, la population mondiale serait passée d'un milliard à un milliard et demi d'individus au cours de la première moitié du siècle. 50% en 50 ans! Du jamais vu.
Il n'y pas que l'alimentation qui demande de plus en plus d'efforts, le charbon est tout aussi important. Une mine vient d'ouvrir près de Salzbourg, nous serons donc moins dépendants d'imports. Nos espoirs se situent cependant plutôt dans une augmentation de productivité des mines existantes. Plusieurs procédés techniques sont prometteurs et probablement réalisables à moyen terme.
Début janvier 1861
Une nouvelle année s'annonce! Et elle débute avec un pied-de-nez britannique. Pas de paix, malgré une crise économique de plus en plus pesante.
Le baron von Lockenfeld en profite pour m'arracher quelques fonds pour la recherche de modèles navals.
Si déjà les Britanniques refusent toute paix, autant être préparés ...
- griffon
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
J'ai toujours été un fervent admirateur de la K.u.K Kriegsmarine !
(un peu moins depuis l'hiver dernier )
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Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
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- DarthMath
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Dire qu'on n'a même pas récupéré Alexandria ... 350.000 couronnes, est-ce là le prix du sang de nos valeureux soldats ? Je suis très désappointé ... :gary oldman:
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"If you work for a living, why do you kill yourself working ?"
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
On est peu nu face à la flotte anglaise au meilleur de sa forme historique quand mêmegriffon a écrit :J'ai toujours été un fervent admirateur de la K.u.K Kriegsmarine !
(un peu moins depuis l'hiver dernier )
C'est pas du Paradox ici messire, il faut des revendications pour annexer, chèrement acquises en temps de paixDarthMath a écrit :Dire qu'on n'a même pas récupéré Alexandria ... 350.000 couronnes, est-ce là le prix du sang de nos valeureux soldats ? Je suis très désappointé ... :gary oldman:
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
von Aasen a écrit :
Début janvier 1861
Une nouvelle année s'annonce! Et elle débute avec un pied-de-nez britannique. Pas de paix, malgré une crise économique de plus en plus pesante.
Si déjà les Britanniques refusent toute paix, autant être préparés ...
Je pense qu il faut cesser l envoi de demande de paix au Royaume Uni, qui doit prendre cela pour de la faiblesse....
De toute facons, ils rejettent autotmatiquement toutes nos missives...
Laissons les mijoter, et attendons de recevoir leur offre....
il faut soit mener une guerre totale pour les mettre a genoux, ou alors jouer profil bas et eviter toute action militaire, et diplomatique ?, afin de provoquer une paix blanche automatique
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)