Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Il ne faut pas forcément se fier aux besoins exprimés pour ce qui est de la nourriture apparemment. Mais je n'ai pas testé la chose. ^^
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Je tenterai de réduire les exportations de nourriture pour commencer, ce n'est de toutes façons pas ce qui fait rentrer beaucoup d'argent. Il me reste aussi beaucoup d'agriculture à développer, je vais cependant encore un moment me concentrer sur l'industrie.
Et puis les révoltes, il y a l'armée pour s'en occuper, non?
Et puis les révoltes, il y a l'armée pour s'en occuper, non?
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Bravo Von tu as réussi à me faire réinstaller le jeu, j'ai tenu 3 tours...
Je vais me contenter de te lire en fait
Je vais me contenter de te lire en fait
L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde
Frédéric Bastiat
Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
Friedrich Hayek
Frédéric Bastiat
Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
Friedrich Hayek
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
À ce point? Une fois qu'on maitrise l'interface, je trouve que ça va, du moins dans l'immédiat.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Début septembre 1851
Nos capitalistes ont encore surestimé leurs capacités! Une fois de plus, la banque centrale émet de nouvelles liquidités, le marché du crédit est sauvé, et l'inflation augmente ...
L'offensive diplomatique a eu des retours mitigés. Deux accords commerciaux sont signés, trois refusés. Il y a pire, mais c'est quand même un camouflet. Nous sommes réélus comme prévu à la tête de la Confédération Germanique, la plus-ou-moins héritière du Saint-Empire, lors de la Bundesversammlung au palais Thurn und Taxis, à Francfort-sur-le-Main.
Fin septembre 1851
Tout le monde déteste l'Argentine, et ce pour une sombre histoire de shampooing ... enfin je crois.
Nous allons d'ailleurs nous en rapprocher, de cet Argentine, enfin un peu du moins. Les chantiers de Trieste ont enfin fini de construire la nouvelle flotte marchande prévue pour le commerce avec l'Amérique latine. Sous les hourras de la population en liesse, ces fiers navires s'apprêtent à entamer leur long chemin.
Henry Bessemer présente au monde avide d'inventions sa nouvelle création: un processus d'oxydation de l'acier, qui retire une bonne partie des impuretés encore présentes dans le matériel. Voilà un savant au sens pratique! Les aciéries européennes se ruent sur cette lucrative innovation.
Maintenant que la bourse s'est remise des appétits en capitaux un peu trop grands de l'industrie, une nouvelle investition peut être envisagée. Cette fois, c'est une des régions les plus pauvres qui obtiendra du nouveau bétail, la Transylvanie. Il n'aura pas été facile de convaincre M. Budi-Budi, qui n'a que faire de développement régional. Il a fallu un dîner de choix pour le faire changer d'avis regardez moi cela!
De quoi faire convertir le Pape au protestantisme!
C'est que l'Empereur est d'humeur généreuse, il libère aussi des fonds pour l'armée. Des régiments d'infanterie et de cavalerie sont levés pour la réserve, et une nouvelle médaille est crée pour récompenser les plus braves, et/ou permettre à nos gentilhommes d'orner leur poitrine de quelques grammes d'or supplémentaires pour plaire aux demoiselles.
Début octobre 1850
Les États-Unis jouent du muscle, flairant la proie facile, ma patrie l'Espagne! Tout cela pour la misérable île de Puerto Rico. Si elle en valait la peine, je m'y serais exilé. En parlant de Caraïbes ... les vents n'ont pas été propices à nos marchands, c'est à peine si les nouveaux navires ont quitté la Méditerranée. Ils finiront bien par arriver ...
Prague nous télégraphie des problèmes majeurs dans la 1ère armée, le fleuron de l'Empire. Le maréchal von Mittrowitz serait un peu gâteux et incapable de commander une si grande troupe, surtout qu'elle a été arrondie par le nouveau XIIIe corps d'infanterie. Il faut alléger la tâche et mieux répartir les corps d'armées. Le XIIIe corps reçoit un ordre de marche vers Vienne pour s'y réorganiser et y former l'embryon d'une nouvelle armée.
Nouvelle déception militaire: les ministères rejettent l'idée d'une nouvelle médaille commandée par mes soins! Comment osent-ils, qui leur a demandé leur avis? L'Autriche se fait la risée des cercles bien informés ... cet acte d'insubordination aura de sévères conséquences!
Nos capitalistes ont encore surestimé leurs capacités! Une fois de plus, la banque centrale émet de nouvelles liquidités, le marché du crédit est sauvé, et l'inflation augmente ...
L'offensive diplomatique a eu des retours mitigés. Deux accords commerciaux sont signés, trois refusés. Il y a pire, mais c'est quand même un camouflet. Nous sommes réélus comme prévu à la tête de la Confédération Germanique, la plus-ou-moins héritière du Saint-Empire, lors de la Bundesversammlung au palais Thurn und Taxis, à Francfort-sur-le-Main.
Fin septembre 1851
Tout le monde déteste l'Argentine, et ce pour une sombre histoire de shampooing ... enfin je crois.
Nous allons d'ailleurs nous en rapprocher, de cet Argentine, enfin un peu du moins. Les chantiers de Trieste ont enfin fini de construire la nouvelle flotte marchande prévue pour le commerce avec l'Amérique latine. Sous les hourras de la population en liesse, ces fiers navires s'apprêtent à entamer leur long chemin.
Henry Bessemer présente au monde avide d'inventions sa nouvelle création: un processus d'oxydation de l'acier, qui retire une bonne partie des impuretés encore présentes dans le matériel. Voilà un savant au sens pratique! Les aciéries européennes se ruent sur cette lucrative innovation.
Maintenant que la bourse s'est remise des appétits en capitaux un peu trop grands de l'industrie, une nouvelle investition peut être envisagée. Cette fois, c'est une des régions les plus pauvres qui obtiendra du nouveau bétail, la Transylvanie. Il n'aura pas été facile de convaincre M. Budi-Budi, qui n'a que faire de développement régional. Il a fallu un dîner de choix pour le faire changer d'avis regardez moi cela!
Soupe aux morilles.
Petites carpes frites.
Pommes de terre.
Épaules d'agneau, légumes.
Tourte au godiveau.
Pigeons rôtis, au jus.
Salade de saison.
Asperges sauce au beurre.
Glace.
Dessert.
Petites carpes frites.
Pommes de terre.
Épaules d'agneau, légumes.
Tourte au godiveau.
Pigeons rôtis, au jus.
Salade de saison.
Asperges sauce au beurre.
Glace.
Dessert.
De quoi faire convertir le Pape au protestantisme!
C'est que l'Empereur est d'humeur généreuse, il libère aussi des fonds pour l'armée. Des régiments d'infanterie et de cavalerie sont levés pour la réserve, et une nouvelle médaille est crée pour récompenser les plus braves, et/ou permettre à nos gentilhommes d'orner leur poitrine de quelques grammes d'or supplémentaires pour plaire aux demoiselles.
Début octobre 1850
Les États-Unis jouent du muscle, flairant la proie facile, ma patrie l'Espagne! Tout cela pour la misérable île de Puerto Rico. Si elle en valait la peine, je m'y serais exilé. En parlant de Caraïbes ... les vents n'ont pas été propices à nos marchands, c'est à peine si les nouveaux navires ont quitté la Méditerranée. Ils finiront bien par arriver ...
Prague nous télégraphie des problèmes majeurs dans la 1ère armée, le fleuron de l'Empire. Le maréchal von Mittrowitz serait un peu gâteux et incapable de commander une si grande troupe, surtout qu'elle a été arrondie par le nouveau XIIIe corps d'infanterie. Il faut alléger la tâche et mieux répartir les corps d'armées. Le XIIIe corps reçoit un ordre de marche vers Vienne pour s'y réorganiser et y former l'embryon d'une nouvelle armée.
Nouvelle déception militaire: les ministères rejettent l'idée d'une nouvelle médaille commandée par mes soins! Comment osent-ils, qui leur a demandé leur avis? L'Autriche se fait la risée des cercles bien informés ... cet acte d'insubordination aura de sévères conséquences!
- buzz l'éclair
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Je découvre cet AAR lancé il y a peu. Bravo !
Pride of Nations est installé depuis longtemps sur mon PC (en raison d'achat d'un pack le comprenant), je l'ai lancé une fois avant de délaisser. Pour un peu, en vous lisant, j'aurais presque envie de refaire un tour dedans...
Pride of Nations est installé depuis longtemps sur mon PC (en raison d'achat d'un pack le comprenant), je l'ai lancé une fois avant de délaisser. Pour un peu, en vous lisant, j'aurais presque envie de refaire un tour dedans...
"On commence par dire: cela est impossible pour se dispenser de le tenter, et cela devient impossible, en effet, parce qu'on ne le tente pas", Charles Fourier.
"Personne, par la guerre, ne devient grand", Yoda, L'Empire contre-attaque.
"Personne, par la guerre, ne devient grand", Yoda, L'Empire contre-attaque.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Merci buzz En l'état c'est du très bon, le point crucial sera de savoir si l'IA ou un bug va dynamiter la partie sur le long terme, ou si le dernier patch a pansé les plaies les plus béantes.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Fin octobre 1850
Le Tsar Nicolas Ier propose de visiter Vienne, c'est avec plaisir que nous invitons cet ami de la réaction venir goûter aus plaisir de la capitale culturelle du monde.
Petit coup d'oeil vers la Bohême-Moravie pour souligner ses succès commerciaux. L'industrie textile est le pilier de nos exportations. Très prisés, les vêtements de cette région sont gages de qualité.
C'est avec grand enthousiasme que nous lisons les nouvelles d'Emile-Richard Thrawn, armateur illyrien aux moeurs douteuses mais aux poches bien remplies. En effet, le pavillon autrichien bat désormais dans les Caraïbes! Les cuisines de la bourgeoisie comme de la noblesse sont en train d'hyperventiler tous leurs souhaits irréalisables ces derniers mois. Café de première main, sucre cubain, papayes dominicaines et bananes colombiennes, rien ne manque!
Le Comte von Druss zu Dharan n'arrête pas de nous poursuivre avec ces visions d'Autriche à la pointe de l'industrialisation, demandant d'ouvrir de nouvelles usines dans sa Bohême chérie. Et bien, il aura des usines, mais pas en Bohême! M. Budi-Budi se déclare prêt à l'issue d'un charmant dîner:
Début novembre 1850
Coup de théâtre! Les Prussiens attaquent les Pays-Bas! La 3e armée sous le commandement du général Ernst von Pfuel est en Rhénanie et a passé la frontière au matin du 9 novembre. Les télégraphes chauffent dans tous les ministères!
Faut-il intervenir? Impossible, s'agite le comte von Efelleturm, sans traité défensif, nous n'avons aucune légitimité d'intervenir! Et la défense de nos intérêts, ne compte-t-elle pas? Selon lui, non ... Saisissons-donc l'opportunité pour lier les états allemands à nous, ceux qui tremblent devant l'appétit de l'ogre prussien, le Bade et la Bavière en particulier.
Une extraction de pierres précieuses est mise en projet en Bohême à peu de frais, et sans l'intermédiaire de l'omniprésent M. Budi-Budi. Voici une indigestion savament évitée!
Le Standard ouvre son journal avec plusieurs articles sur les progrès scientifiques étonnants de notre temps. La chimie moderne a découvert la nitroglycérine, dont les vertus destructrices pourraient changer la donne autant dans nos mines qu'au sein de nos armées. On parle aussi d'essais visant à blinder des navires de bois en plaçant des plaques d'acier aux points névralgiques. Ne risquent-ils pas de couler avec cette méthode?
Fin novembre 1850
Les armées prussiennes envahissent la province de Zélande, les Néerlandais se retirent dans leurs forteresses, d'où ils coordonnent une féroce résistance. L'armée des Pays-Bas est mobilisée en toute hâte, les volontaires sont si nombreux que les bureaux de recrutement peinent à suivre. Les fusils, les cartouches, les bottes, les uniformes, les chevaux, tout manque!
Des télégrammes suppliants les puissances européennes d'intervenir partent chaque jour d'Amsterdam, personne ne répond autrement que par quelques sympathiques voeux de victoire. Les Pays-Bas sont livrés à eux-mêmes. Vienne aussi reste de marbre, et nous nous étonnons tous de l'agressivité berlinoise. Que cherchent-ils aux Pays-Bas? Mystère ...
Je préfère me tourner vers des thèmes plus prosaïques, comme le commerce en Méditerranée. Bien que nous y disposions de la plus grande flotte commerciale, à égal avec la Grèce et l'Espagne, le flux de marchandises est devenu trop grand pour les navires disponibles. Une nouvelle flotte est commandée au chantier naval de Trieste, Emile-Richard Thrawn s'accordera probablement une double portion de rillettes en entendant cela.
Le Tsar Nicolas Ier propose de visiter Vienne, c'est avec plaisir que nous invitons cet ami de la réaction venir goûter aus plaisir de la capitale culturelle du monde.
Petit coup d'oeil vers la Bohême-Moravie pour souligner ses succès commerciaux. L'industrie textile est le pilier de nos exportations. Très prisés, les vêtements de cette région sont gages de qualité.
C'est avec grand enthousiasme que nous lisons les nouvelles d'Emile-Richard Thrawn, armateur illyrien aux moeurs douteuses mais aux poches bien remplies. En effet, le pavillon autrichien bat désormais dans les Caraïbes! Les cuisines de la bourgeoisie comme de la noblesse sont en train d'hyperventiler tous leurs souhaits irréalisables ces derniers mois. Café de première main, sucre cubain, papayes dominicaines et bananes colombiennes, rien ne manque!
Le Comte von Druss zu Dharan n'arrête pas de nous poursuivre avec ces visions d'Autriche à la pointe de l'industrialisation, demandant d'ouvrir de nouvelles usines dans sa Bohême chérie. Et bien, il aura des usines, mais pas en Bohême! M. Budi-Budi se déclare prêt à l'issue d'un charmant dîner:
Soupe à l'oseille.
Salade d'anchois.
Perches au vin blanc.
Poupeton maigre.
Truite grillée, à l'huile.
Salade de légumes.
Asperges sauce au beurre.
Beignets de crème.
Dessert.
à ouvrir une belle manufacture dans les faubourgs de Salzbourg.Salade d'anchois.
Perches au vin blanc.
Poupeton maigre.
Truite grillée, à l'huile.
Salade de légumes.
Asperges sauce au beurre.
Beignets de crème.
Dessert.
Début novembre 1850
Coup de théâtre! Les Prussiens attaquent les Pays-Bas! La 3e armée sous le commandement du général Ernst von Pfuel est en Rhénanie et a passé la frontière au matin du 9 novembre. Les télégraphes chauffent dans tous les ministères!
Faut-il intervenir? Impossible, s'agite le comte von Efelleturm, sans traité défensif, nous n'avons aucune légitimité d'intervenir! Et la défense de nos intérêts, ne compte-t-elle pas? Selon lui, non ... Saisissons-donc l'opportunité pour lier les états allemands à nous, ceux qui tremblent devant l'appétit de l'ogre prussien, le Bade et la Bavière en particulier.
Une extraction de pierres précieuses est mise en projet en Bohême à peu de frais, et sans l'intermédiaire de l'omniprésent M. Budi-Budi. Voici une indigestion savament évitée!
Le Standard ouvre son journal avec plusieurs articles sur les progrès scientifiques étonnants de notre temps. La chimie moderne a découvert la nitroglycérine, dont les vertus destructrices pourraient changer la donne autant dans nos mines qu'au sein de nos armées. On parle aussi d'essais visant à blinder des navires de bois en plaçant des plaques d'acier aux points névralgiques. Ne risquent-ils pas de couler avec cette méthode?
Fin novembre 1850
Les armées prussiennes envahissent la province de Zélande, les Néerlandais se retirent dans leurs forteresses, d'où ils coordonnent une féroce résistance. L'armée des Pays-Bas est mobilisée en toute hâte, les volontaires sont si nombreux que les bureaux de recrutement peinent à suivre. Les fusils, les cartouches, les bottes, les uniformes, les chevaux, tout manque!
Des télégrammes suppliants les puissances européennes d'intervenir partent chaque jour d'Amsterdam, personne ne répond autrement que par quelques sympathiques voeux de victoire. Les Pays-Bas sont livrés à eux-mêmes. Vienne aussi reste de marbre, et nous nous étonnons tous de l'agressivité berlinoise. Que cherchent-ils aux Pays-Bas? Mystère ...
Je préfère me tourner vers des thèmes plus prosaïques, comme le commerce en Méditerranée. Bien que nous y disposions de la plus grande flotte commerciale, à égal avec la Grèce et l'Espagne, le flux de marchandises est devenu trop grand pour les navires disponibles. Une nouvelle flotte est commandée au chantier naval de Trieste, Emile-Richard Thrawn s'accordera probablement une double portion de rillettes en entendant cela.
- Boudi
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Ça fait deux fois de suite qu'il n'y a pas de café.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Jamais au dîner, parfois au déjeuner
- griffon
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
il y a eu des signes avants coureurs pour cette guerre ?
Une tension diplomatique les mois ou semaines auparavant ?
Y a t'il une raison ?
Si non c'est un peu gênant de voir n'importe qui partir en guerre contre n'importe qui
dans une simulation sérieuse ?
Une tension diplomatique les mois ou semaines auparavant ?
Y a t'il une raison ?
Si non c'est un peu gênant de voir n'importe qui partir en guerre contre n'importe qui
dans une simulation sérieuse ?
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Attention, à ce rythme M. Budi-Budi risque de décéder de façon violente, et qui sait dans quel pays ses héritiers préféreront investir?von Aasen a écrit :Fin octobre 1850
M. Budi-Budi se déclare prêt à l'issue d'un charmant dîner:
Soupe à l'oseille.
Salade d'anchois.
Perches au vin blanc.
Poupeton maigre.
Truite grillée, à l'huile.
Salade de légumes.
Asperges sauce au beurre.
Beignets de crème.
Dessert.
https://www.youtube.com/watch?v=gdJcWvxEULQ
I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Il faut d'abord un casus belli, soit automatique quand une nation occupe des territoires sur lesquels tu as des prétentions, soit tu dois en forger un en déclenchant une crise, et tu n'es pas sûr de réussir.griffon a écrit :il y a eu des signes avants coureurs pour cette guerre ?
Une tension diplomatique les mois ou semaines auparavant ?
Y a t'il une raison ?
Si non c'est un peu gênant de voir n'importe qui partir en guerre contre n'importe qui
dans une simulation sérieuse ?
Ensuite, ton chef d'état doit avoir un niveau d'impérialisme suffisant.
Finalement, tu dois avoir de mauvaises relations pour que tu puisses déclarer la guerre.
Pas de signe avant-coureur dans ce cas, non ... mais je crois bien avoir décoché une case limitant l'IA à son comportement historique pour que ce ne soit pas trop prévisible (et que je puisse avoir une chance de coloniser si l'envie m'en prend).
Il y a un risque, mais au moins nos fourchettes sont toutes propres Et puis le poupeton était maigre, quand même!Greyhunter a écrit :Attention, à ce rythme M. Budi-Budi risque de décéder de façon violente, et qui sait dans quel pays ses héritiers préféreront investir?von Aasen a écrit :Fin octobre 1850
M. Budi-Budi se déclare prêt à l'issue d'un charmant dîner:
Soupe à l'oseille.
Salade d'anchois.
Perches au vin blanc.
Poupeton maigre.
Truite grillée, à l'huile.
Salade de légumes.
Asperges sauce au beurre.
Beignets de crème.
Dessert.
https://www.youtube.com/watch?v=61k1xpiKwEU
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Début décembre 1850
Le massacre débute aux Pays-Bas, où le prince héritier Guillaume von Hohenzollern a gagné une bataille contre les maigres forces néerlandaises, désormais réduites à peau de chagrin et délogées de Hollande et de Zélande. Seule une partie de la Frise reste sous contrôle des défenseurs.
Nous resserrons les liens avec l'Empire Russe à la suite des négociations entrouvertes par la visite du Tsar. En ces temps de bellicisme, l'alliance austro-russe est solide.
Les capitaux privés se font rares en ces temps, trop rares pour les appétits des industriels, qui n'aiment pas patienter pour voir leurs rêves d'usines se réaliser. Il faut dire que le potentiel autrichien est mirifique, que d'opportunités sur lesquelles se jeter! Le comte von Greiffenau conseille de privilégier l'industrie légère, moins avide en capitaux, jusqu'a ce que les diverses fabriques de M. Budi-Budi commencent à produire et vitaliser les circuits économiques nationaux. Je suis cet avis de bon coeur et envoie un laquais négocier avec un riche paysan l'expansion de ses plantations de coton.
Fin décembre 1850
La tragédie néerlandaise touche à sa fin. Les Prussiens ont bien mangé du plomb, il n'empêche qu'ils contrôlent pratiquement toute la rase campagne. Seules quelques forteresses néerlandaises résistent encore à la force de leurs armes. Sa Majesté Frédéric d'Orange-Nassau a pris le commandement des dernières troupes restantes. Ironie de l'histoire, sa mère Wilhelmine de Prusse elle-même est une Hohenzollern, petite-nièce de Frédéric II le Grand.
L'industrie textile fait des progrès! M. Budi-Budi a eu la bonne idée d'organiser un dîner (payé par le secrétariat impérial) avec les frères Kiesling et ma modeste personne, et autour d'un copieux menu:
Début janvier 1851
Retournement aux Pays-Bas! Frédéric d'Orange-Nassau, avec un culot incroyable et une chance au-delà de toute mesure, a pu s'échapper de l'emprise de trois armées prussiennes et percer jusqu'a Amsterdam, où s'est réuni une armée de volontaires. Avec deux douzaines de divisions plus ou moins en état de combattre, le voilà en état de mener une dernière bataille.
Bien que l'issue de cette guerre ne fasse pas de doutes, l'addition est déjà salée pour la Prusse. Plus de 43.000 morts ou blessés, ce n'est pas négligeable.
Le commerce avec l'Amérique latine s'avère un lourd fardeau. Notre excédent commercial fond à vue d'oeil, n'atteignant plus que la somme symbolique de 1.000£. Les papayes pèsent beaucoup dans cette affaire!
Fin janvier 1851
Les Pays-Bas essuient une fois de plus une sanglante défaite. L'armée est en lambeaux et a difficilement retraité vers la frontière belge, ne gardant qu'une force combative minime.
Le boom industriel profite aux villes les plus importantes d'Autriche, Vienne en premier lieu. De nouveaux quartiers populaires sortent de terre et bordent la vieille ville, des ouvriers venus de la campagne pour travailler dans les nouvelles usines viennent alimenter l'urbanisation.
La situation est moins plaisante dans le bassin des Carpathes, où des grèves illégales ont été organisées à Bockzkay et Farkashazy.
Le prince Elviszörszkögtzkyszervar conseille le knout, le comte von Greiffenau la carotte. Allons-y des deux! La milice est envoyée donner de la carabine, tandis que de nouveaux fonds sont alloués à une amélioration du système d'éducation.
En vue d'avoir quelques nouvelles positives, M. Budi-Budi est convié à un déjeuner pour discuter des modalités d'implantation pour une usine de biens manufacturés en Moravie, dont les marchés sont particulièrement friands. Un petit menu, mais exquis:
Le massacre débute aux Pays-Bas, où le prince héritier Guillaume von Hohenzollern a gagné une bataille contre les maigres forces néerlandaises, désormais réduites à peau de chagrin et délogées de Hollande et de Zélande. Seule une partie de la Frise reste sous contrôle des défenseurs.
Nous resserrons les liens avec l'Empire Russe à la suite des négociations entrouvertes par la visite du Tsar. En ces temps de bellicisme, l'alliance austro-russe est solide.
Les capitaux privés se font rares en ces temps, trop rares pour les appétits des industriels, qui n'aiment pas patienter pour voir leurs rêves d'usines se réaliser. Il faut dire que le potentiel autrichien est mirifique, que d'opportunités sur lesquelles se jeter! Le comte von Greiffenau conseille de privilégier l'industrie légère, moins avide en capitaux, jusqu'a ce que les diverses fabriques de M. Budi-Budi commencent à produire et vitaliser les circuits économiques nationaux. Je suis cet avis de bon coeur et envoie un laquais négocier avec un riche paysan l'expansion de ses plantations de coton.
Fin décembre 1850
La tragédie néerlandaise touche à sa fin. Les Prussiens ont bien mangé du plomb, il n'empêche qu'ils contrôlent pratiquement toute la rase campagne. Seules quelques forteresses néerlandaises résistent encore à la force de leurs armes. Sa Majesté Frédéric d'Orange-Nassau a pris le commandement des dernières troupes restantes. Ironie de l'histoire, sa mère Wilhelmine de Prusse elle-même est une Hohenzollern, petite-nièce de Frédéric II le Grand.
L'industrie textile fait des progrès! M. Budi-Budi a eu la bonne idée d'organiser un dîner (payé par le secrétariat impérial) avec les frères Kiesling et ma modeste personne, et autour d'un copieux menu:
Bouillon clair, aux carottes nouvelles.
Boeuf bouilli, garni.
Purée de pommes de terre.
Vol-au-vent aux quenelles.
Pintarde piquée, rôtie.
Salade, cresson.
Petits-pois à la ménagère.
Omelette au rhum.
Dessert.
nous avons convenu de faire notre possible pour installer dans le Frioul une manufacture de vêtements à la mode. La proximité des ports de Venise et de Trieste permettra d'exporter tout ce qui ne trouverait repreneur dans l'Empire.Boeuf bouilli, garni.
Purée de pommes de terre.
Vol-au-vent aux quenelles.
Pintarde piquée, rôtie.
Salade, cresson.
Petits-pois à la ménagère.
Omelette au rhum.
Dessert.
Début janvier 1851
Retournement aux Pays-Bas! Frédéric d'Orange-Nassau, avec un culot incroyable et une chance au-delà de toute mesure, a pu s'échapper de l'emprise de trois armées prussiennes et percer jusqu'a Amsterdam, où s'est réuni une armée de volontaires. Avec deux douzaines de divisions plus ou moins en état de combattre, le voilà en état de mener une dernière bataille.
Bien que l'issue de cette guerre ne fasse pas de doutes, l'addition est déjà salée pour la Prusse. Plus de 43.000 morts ou blessés, ce n'est pas négligeable.
Le commerce avec l'Amérique latine s'avère un lourd fardeau. Notre excédent commercial fond à vue d'oeil, n'atteignant plus que la somme symbolique de 1.000£. Les papayes pèsent beaucoup dans cette affaire!
Vue du port de Trieste
Fin janvier 1851
Les Pays-Bas essuient une fois de plus une sanglante défaite. L'armée est en lambeaux et a difficilement retraité vers la frontière belge, ne gardant qu'une force combative minime.
Le boom industriel profite aux villes les plus importantes d'Autriche, Vienne en premier lieu. De nouveaux quartiers populaires sortent de terre et bordent la vieille ville, des ouvriers venus de la campagne pour travailler dans les nouvelles usines viennent alimenter l'urbanisation.
La situation est moins plaisante dans le bassin des Carpathes, où des grèves illégales ont été organisées à Bockzkay et Farkashazy.
Le prince Elviszörszkögtzkyszervar conseille le knout, le comte von Greiffenau la carotte. Allons-y des deux! La milice est envoyée donner de la carabine, tandis que de nouveaux fonds sont alloués à une amélioration du système d'éducation.
En vue d'avoir quelques nouvelles positives, M. Budi-Budi est convié à un déjeuner pour discuter des modalités d'implantation pour une usine de biens manufacturés en Moravie, dont les marchés sont particulièrement friands. Un petit menu, mais exquis:
Écrevisses à la crème.
Émincé de filet de boeuf.
Pommes de terres gratinées.
Galantine de poulet, à la gelée.
scelle cette affaire.Émincé de filet de boeuf.
Pommes de terres gratinées.
Galantine de poulet, à la gelée.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
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Modifié en dernier par Maurice Morisson le dim. mai 13, 2018 9:49 pm, modifié 1 fois.