Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
L'argent d'état ne s'accumule pas si facilement et toutes les décisions politiques en coutent. Les recrutements intéressants se sont les divisions et elles coutent chères et il faut payer l'entretien après. Les biens manufacturés il en faut beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup pour construire les usines et améliorés les unités de production, les chemins de fer, les bateaux. Parce que les petites unités pas chères elles ne servent pas à grand chose lorsqu'il y a bataille entre Européens...
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Certes, ce sera une priorité!efelle a écrit :Des chemins de fer sont nécessaire pour unir l'empire.
Pour l'instant je nage dans l'argent d'état, ça ne durera pas donc? Je reçois pratiquement chaque tour de nouveaux régiments, je n'ai rien demandé ni ordonné, on dirait que c'est scripté. Tu dis divisions, il vaut mieux en prendre que des corps entiers?DrussDharan a écrit :L'argent d'état ne s'accumule pas si facilement et toutes les décisions politiques en coutent. Les recrutements intéressants se sont les divisions et elles coutent chères et il faut payer l'entretien après. Les biens manufacturés il en faut beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup pour construire les usines et améliorés les unités de production, les chemins de fer, les bateaux. Parce que les petites unités pas chères elles ne servent pas à grand chose lorsqu'il y a bataille entre Européens...
- Boudi
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Tu t'es lancé dans un sacré truc Von. Je suis curieux de voir ce que ça va donner, notamment du côté de l'IA. Courage, on suit.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
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Un petit calcul, et on s’en va !
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Tu arrives juste à temps pour ton entrée en scèneBoudi a écrit :Tu t'es lancé dans un sacré truc Von. Je suis curieux de voir ce que ça va donner, notamment du côté de l'IA. Courage, on suit.
Je ne suis pas trop sur de ce que ça va donner, mais en tous cas on y apprendra un peu à maitriser la bête. Dans le meilleur des cas, on constatera que Pride of Nations est désormais jouable et un plaisir ludique , dans le pire des cas, on saura que ce n'est pas un hasard s'il est tombé aux oubliettes.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Mi-Mars 1850
Le Bade, la Bavière et le Wurttemberg acceptent nos diplomates et le champagne qui va avec, encore heureux. L'excédent commercial gonfle un peu, avec 124.000£ d'imports contre 145.000£ d'exports.
La France joue au coq en faisant montre de ses navires rutilants pour impressioner Tahiti, n'ont-ils donc aucun honneur de s'abaisser autant? Notre fier gouvernement, à sa tête le ministre-président zu Schwarzenberg, sous la tutelle sévère mais bienveillante de notre vénéré Empereur François-Joseph, ne penserait même jamais à pareille chose, hum.
Les capitaux sont disponibles en masse, la question se pose donc: rails ou navires marchands? Comte von Greiffenau? Oui, le manque de café est horrible, les prix du marché noir ont causé plus d'un bouton nerveux sur les fronts de nos maîtres de maison. Les navires, donc, envoyez les documents aux chantiers de Trieste.
Fin Mars 1850
Nous passons à un excédent commercial de 104.000£, et l'économie connait un essort sans précédents, les capitaux privés coulent de source!
Seul souci, le ravitaillement qui devra bientôt être importé à la vitesse où les stocks se vident. Un charmant dîner avec M. Budi-Budi, un riche industriel venu de Prague avec l'express de 18 heures. Au menu:
Un petit coup de pouce du secrétariat impérial et un télégramme aux allusions peu masquées à l'administration provinciale plus tard, et voilà un ami doté de toutes les licences et permissions nécessaires à ouvrir une usine produisant divers matériaux nécessaires à l'armée.
Début avril 1850
Les affaires continuent, l'argent afflue, et M. Budi-Budi a déjà visité les lieux de sa nouvelle machine à fortune, distribuant des cigares cubains au maire de la localité attenante. Les ouvriers arriveront essentiellement par train, les petites villes alentours devraient profiter de cette opportunité de travail, cela change de la ferme!
De toute évidence, la course aux colonies est engagée. Les Français font de beaux yeux au Maghreb, tout comme le Piémont-Sardaigne. S'y trouveront-ils des choses à se reprocher? Je l'espère.
Rendez-vous particulièrement intéressant l'après-midi du 7 avril, les officiers de l'académie militaire théresienne présentent un nouveau traité stratégique, fondé sur les théories de Clausewitz. Ces gens ont fait la meilleure impression, les armées de l'Empire se placent à la tête de l'Europe!
Les besoins gargantuesques d'une armée en expansion, tout comme un paysage industriel de plus en plus varié mettent en exergue un manque de biens manufacturés. Plutôt que d'en importer pour de fortes sommes, je convie M. Budi-Budi à une nouvelle entrevue ponctuée de délicatesses. Au déjeuner:
Et une nouvelle fabrique financée, polyvalente en ce qui concerne tous bien manufacturés, du plus simple rasoir à la machine à coudre.
Le Bade, la Bavière et le Wurttemberg acceptent nos diplomates et le champagne qui va avec, encore heureux. L'excédent commercial gonfle un peu, avec 124.000£ d'imports contre 145.000£ d'exports.
La France joue au coq en faisant montre de ses navires rutilants pour impressioner Tahiti, n'ont-ils donc aucun honneur de s'abaisser autant? Notre fier gouvernement, à sa tête le ministre-président zu Schwarzenberg, sous la tutelle sévère mais bienveillante de notre vénéré Empereur François-Joseph, ne penserait même jamais à pareille chose, hum.
Les capitaux sont disponibles en masse, la question se pose donc: rails ou navires marchands? Comte von Greiffenau? Oui, le manque de café est horrible, les prix du marché noir ont causé plus d'un bouton nerveux sur les fronts de nos maîtres de maison. Les navires, donc, envoyez les documents aux chantiers de Trieste.
Fin Mars 1850
Nous passons à un excédent commercial de 104.000£, et l'économie connait un essort sans précédents, les capitaux privés coulent de source!
Seul souci, le ravitaillement qui devra bientôt être importé à la vitesse où les stocks se vident. Un charmant dîner avec M. Budi-Budi, un riche industriel venu de Prague avec l'express de 18 heures. Au menu:
Soupe aux morilles.
Alose grillée, persillade.
Pommes de terre.
Gigot de mouton braisé.
Flageolets conservés.
Poularde rôtie, au jus.
Salade de saison.
Pouding de semoule.
Dessert.
Alose grillée, persillade.
Pommes de terre.
Gigot de mouton braisé.
Flageolets conservés.
Poularde rôtie, au jus.
Salade de saison.
Pouding de semoule.
Dessert.
Un petit coup de pouce du secrétariat impérial et un télégramme aux allusions peu masquées à l'administration provinciale plus tard, et voilà un ami doté de toutes les licences et permissions nécessaires à ouvrir une usine produisant divers matériaux nécessaires à l'armée.
Début avril 1850
Les affaires continuent, l'argent afflue, et M. Budi-Budi a déjà visité les lieux de sa nouvelle machine à fortune, distribuant des cigares cubains au maire de la localité attenante. Les ouvriers arriveront essentiellement par train, les petites villes alentours devraient profiter de cette opportunité de travail, cela change de la ferme!
De toute évidence, la course aux colonies est engagée. Les Français font de beaux yeux au Maghreb, tout comme le Piémont-Sardaigne. S'y trouveront-ils des choses à se reprocher? Je l'espère.
Rendez-vous particulièrement intéressant l'après-midi du 7 avril, les officiers de l'académie militaire théresienne présentent un nouveau traité stratégique, fondé sur les théories de Clausewitz. Ces gens ont fait la meilleure impression, les armées de l'Empire se placent à la tête de l'Europe!
Les besoins gargantuesques d'une armée en expansion, tout comme un paysage industriel de plus en plus varié mettent en exergue un manque de biens manufacturés. Plutôt que d'en importer pour de fortes sommes, je convie M. Budi-Budi à une nouvelle entrevue ponctuée de délicatesses. Au déjeuner:
Artichaux poivrade.
Morue au Cary.
Poulets froids, à la gelée.
Fromage. Café.
Exquis!Morue au Cary.
Poulets froids, à la gelée.
Fromage. Café.
Et une nouvelle fabrique financée, polyvalente en ce qui concerne tous bien manufacturés, du plus simple rasoir à la machine à coudre.
- jmlo
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
t'attires les hommes d'affaires avec des menus étudiant ?
- griffon
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
J'imagine d'ici le Budi Budi ! il va choper le profil "orangina" à ce régime !
Revenons aux choses sérieuses , les "outre mers" ce n'est pas pour nous ,
oublions la marine et le commerce maritime et développons nos voies ferrées !
Notre avenir , c'est les Balkans (et plus si affinités) !
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SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
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- Boudi
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
ca c'est Budi Budi en sortant du restau :
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Oui les corps d'armées plutôt que les divisions, ça fait un peu de temps que je n'ai pas lancé le jeu. L'argent d'état ça sert aussi à la colonisation et à financer la recherche pour l'accélérer. Tu peux faire de la colonisation d'ailleurs ?
On a vite l'impression que l'argent d'état entre par wagons sans grand problème, mais lorsqu'il en faut on peut rapidement se retrouver à poil. Le thésauriser n'est pas totalement idiot. Lorsqu'uil va falloir investir dans les remplacements durant les conflits tu vas le voir fondre comme neige au soleil.
On a vite l'impression que l'argent d'état entre par wagons sans grand problème, mais lorsqu'il en faut on peut rapidement se retrouver à poil. Le thésauriser n'est pas totalement idiot. Lorsqu'uil va falloir investir dans les remplacements durant les conflits tu vas le voir fondre comme neige au soleil.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Traumatisé du resto U?jmlo a écrit :t'attires les hommes d'affaires avec des menus étudiant ?
Pour le commerce, pas trop le choix pour diversifier un peu, une petite guerre en Europe et mes importations s'écroulent! Pour le reste, tout d'accord, bien que je lorgne aussi sur l'Italie et l'Allemagne. Les Balkans, c'est en digestifgriffon a écrit :J'imagine d'ici le Budi Budi ! il va choper le profil "orangina" à ce régime !
Revenons aux choses sérieuses , les "outre mers" ce n'est pas pour nous ,
oublions la marine et le commerce maritime et développons nos voies ferrées !
Notre avenir , c'est les Balkans (et plus si affinités) !
C'est comme cela que je me l'imaginaisBoudi a écrit :ca c'est Budi Budi en sortant du restau :
Pour la colonisation, je ne suis pas sur, je n'ai pas essayé. J'ai désactivé les sphères d'influence historiques donc pas de malus pour coloniser là où je n'ai été historiquement, c'est-à-dire nulle partDrussDharan a écrit :Oui les corps d'armées plutôt que les divisions, ça fait un peu de temps que je n'ai pas lancé le jeu. L'argent d'état ça sert aussi à la colonisation et à financer la recherche pour l'accélérer. Tu peux faire de la colonisation d'ailleurs ?
On a vite l'impression que l'argent d'état entre par wagons sans grand problème, mais lorsqu'il en faut on peut rapidement se retrouver à poil. Le thésauriser n'est pas totalement idiot. Lorsqu'uil va falloir investir dans les remplacements durant les conflits tu vas le voir fondre comme neige au soleil.
J'essayerais d'être un peu plus économe en revenus d'état, mais c'est dur de résister quand on débute et veut toucher à tout
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Fin avril 1850
La gazette de Linz ouvre son édition du soir avec un grand article sur les exactions commises dans les Balkans par les rustres ottomans. Ces pratiques barbares seraient une raison suffisante pour justifier un conflit armé. Il semble cependant encore un peut tôt pour plonger la région dans la poudre et le feu.
De plus, l'armée vieillit à vue d'oeil, plus de soldats sont réformés que de nouveaux viennent combler les rangs.
La sécurité intérieure, elle, est garantie. Il y a bien quelques trouble-fêtes que la police doit rosser de temps en temps, mais rien d'inquiétant.
Début Mai 1850
Le monde se développe! Une ligne de chemin de fer est en construction au Chili, la construction est jugée particulièrement innovante en raison du terrain plus que difficile. Il s'agit de la première ligne de chemin de fer en Amérique du Sud!
Un rapport du secrétariat Schwarzenberg montre une tendance qui pourrait à terme s'avérer dangereuse: nos principaux partenaires commerciaux (Allemagne, Italie, Russie) baissent leurs exports de matières premières, qu'ils réorientent vers des usines sur leur territoire national, en plein essor. Il nous faut à notre tour prendre des mesures pour augmenter la production de fer et de charbon. C'est cher, et sans une bonne infrastructure, cela ne vaut pas grand-chose. Au VIIIe congrès de l'industrie lourde qui s'est tenu à Vienne, ce problème joue un certain rôle aussi, ce furent donc quelques cafés-rhum bien investis de ma part en amont. La ligne Venise-Udine est en construction et devrait être terminée d'ici un an.
Mi-Mai 1850
Hum, les Prussiens mettent leur nez dans des affaires qui ne les concernent pas. Ils mijotent quelque chose, visite d'état au Hanovre, et puis quoi encore! Ils fricotent en Afrique aussi, je me demande ce qu'en pense l'ambassadeur de la République Française!
Il semblerait que les taux d'impôts gènent quelque peu les sujets de Sa Majesté Impériale. Tant pis, les piliers de bistrot ont toujours à mégoter, les impôts resteront les mêmes.
Accélérons les choses! Avant de terminer la ligne Venise-Udine, celle reliant Udine et Klagenfurt est déjà source de toutes les discussions à Vienne. Cependant, un dîner avec Sir Frederick Arthur George Room, un des grands pontes du rail, se termine infructueusement. La truite des Carpathes au thym ne lui aurait-elle pas plu? Il prétend qu'il n'y a pas assez d'acier disponible sur le marché autrichien pour entreprendre une construction de chemins de fer en terrain montagneux. Une verte explication, mais qui a pour conséquence de rayer tous les exports d'acier. En compensation, les routes dans le Tyrol seront améliorées pour la modeste somme de 50.000 Thalers.
Un peu d'actionisme ne fait pas de mal, l'armée est loin de vraiment souffrir du manque de conscrits, mais mieux s'en occuper tout de suite, les temps sont paisibles et propices à une réforme impopulaire. La conscription générale est instaurée par décret impérial le 12 mai 1850.
La gazette de Linz ouvre son édition du soir avec un grand article sur les exactions commises dans les Balkans par les rustres ottomans. Ces pratiques barbares seraient une raison suffisante pour justifier un conflit armé. Il semble cependant encore un peut tôt pour plonger la région dans la poudre et le feu.
De plus, l'armée vieillit à vue d'oeil, plus de soldats sont réformés que de nouveaux viennent combler les rangs.
La sécurité intérieure, elle, est garantie. Il y a bien quelques trouble-fêtes que la police doit rosser de temps en temps, mais rien d'inquiétant.
Début Mai 1850
Le monde se développe! Une ligne de chemin de fer est en construction au Chili, la construction est jugée particulièrement innovante en raison du terrain plus que difficile. Il s'agit de la première ligne de chemin de fer en Amérique du Sud!
Un rapport du secrétariat Schwarzenberg montre une tendance qui pourrait à terme s'avérer dangereuse: nos principaux partenaires commerciaux (Allemagne, Italie, Russie) baissent leurs exports de matières premières, qu'ils réorientent vers des usines sur leur territoire national, en plein essor. Il nous faut à notre tour prendre des mesures pour augmenter la production de fer et de charbon. C'est cher, et sans une bonne infrastructure, cela ne vaut pas grand-chose. Au VIIIe congrès de l'industrie lourde qui s'est tenu à Vienne, ce problème joue un certain rôle aussi, ce furent donc quelques cafés-rhum bien investis de ma part en amont. La ligne Venise-Udine est en construction et devrait être terminée d'ici un an.
Mi-Mai 1850
Hum, les Prussiens mettent leur nez dans des affaires qui ne les concernent pas. Ils mijotent quelque chose, visite d'état au Hanovre, et puis quoi encore! Ils fricotent en Afrique aussi, je me demande ce qu'en pense l'ambassadeur de la République Française!
Il semblerait que les taux d'impôts gènent quelque peu les sujets de Sa Majesté Impériale. Tant pis, les piliers de bistrot ont toujours à mégoter, les impôts resteront les mêmes.
Accélérons les choses! Avant de terminer la ligne Venise-Udine, celle reliant Udine et Klagenfurt est déjà source de toutes les discussions à Vienne. Cependant, un dîner avec Sir Frederick Arthur George Room, un des grands pontes du rail, se termine infructueusement. La truite des Carpathes au thym ne lui aurait-elle pas plu? Il prétend qu'il n'y a pas assez d'acier disponible sur le marché autrichien pour entreprendre une construction de chemins de fer en terrain montagneux. Une verte explication, mais qui a pour conséquence de rayer tous les exports d'acier. En compensation, les routes dans le Tyrol seront améliorées pour la modeste somme de 50.000 Thalers.
Un peu d'actionisme ne fait pas de mal, l'armée est loin de vraiment souffrir du manque de conscrits, mais mieux s'en occuper tout de suite, les temps sont paisibles et propices à une réforme impopulaire. La conscription générale est instaurée par décret impérial le 12 mai 1850.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
C'est comme en vrai dans l'armée alors : pour être officier il y a du monde mais les simples soldats sont beaucoup moins motivés.
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Et comment va ce bon Franz Joseph ?
Jeune comme il est il doit être fringant comme tout ?
Et Sissi ? Elle Va bien ?
Jeune comme il est il doit être fringant comme tout ?
Et Sissi ? Elle Va bien ?
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
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Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Engagez-vous rengagez-vous qu'ils disaientMaurice Morisson a écrit :C'est comme en vrai dans l'armée alors : pour être officier il y a du monde mais les simples soldats sont beaucoup moins motivés.
C'est un petit jeune de 20 ans, alerte et au courant de tout dans son Empire! Et encore célibatairegriffon a écrit :Et comment va ce bon Franz Joseph ?
Jeune comme il est il doit être fringant comme tout ?
Et Sissi ? Elle Va bien ?
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Il esquive de peu le mono sourcil.