Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Le Piémont n'est pas sensé rejoindre la Guerre de Crimée? Il l'a fait historiquement.
"Cuius testiculous habes, habeas cardia et cerebellum"
Quand vous avez leur pleine attention , le coeur et l'esprit suivent.
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L'été n'est pas qu'une époque de l'année. L'été est un être animé qui aime descendre passer l'hiver dans le Sud.
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Je crois que dans ma partie avec la Russie il ne l'a pas fait, mais je vais voir ce que ça va donner ici
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Tiens d'ailleurs à ce sujet, j'avais tiré de mes expériences avec la campagne russe que je joue en parallèle les conclusions suivantes:von Aasen a écrit :Ce seront surtout les pertes militaires qui joueront à long terme et représenteront le prix réel de cette guerre.
- les points de renforts n'ont pas de valeur absolue (genre 1 point de renfort acheté = l'équivalent en matériel et personnel de 10 régiments), leur nombre détermine la vitesse de renfort et chaque "hit point" alloué en renfort a une faible chance de faire disparaitre un point de renfort.
- les points de renforts ont très, très peu de chances de disparaitre pour l'infanterie. J'avais laissé plus de 800 000 hommes sur le carreau au cours de ma campagne russe (contre l'Ottoman, les vilains rebelles du Caucause, en Asie Centrale etc.), et j'ai "payé" quoi, 15 à 25 points de renforts disparus? Ça me parait fort peu cher payé pour un tel poids démographique.
- les points de renforts maritimes sont très chers et eux par contre disparaissent vite. Il vaut mieux construire des chantiers navals en masse, qui produisent automatiquement et gratuitement quelques renforts tous les 6 mois (ou 1 an?).
Cela s'accorde-t-il à vos expériences, éventuellement celles d'autres Ageod aussi?
- griffon
- Empereur Intergalactique
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Sur la question mon expérience se limite à celle de la "boite du diable"
C'est un sujet que je préfère éviter ....
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SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Début juillet 1853
Des colonnes sans fin de soldats, chevaux et chariots défilent dans les chemins tortueux des Balkans. La population, habituée depuis des siècles aux invasions, reste passive, les marchands se réjouissent de faire de bonnes affaires quand l'intendance passe. Nous sommes là pour rester, les pillages et réquisitions sont limités au strict minimum. L'armée von Heß rejoint celle de von Haynau, nous disposons désormais d'une masse manoeuvre compacte en Bulgarie. Son ravitaillement reste quelque peu précaire, et l'élite militaire de l'Empire Ottoman nous fait face. Riza Pasha attend de pied ferme nos armées à Thessalonique.
Istanbul semble encore bien lointaine! La pression augmente par étapes, la 9e armée russe passe péniblement le Danube et ouvre un nouveau flanc, qui je l'espère monopolisera l'attention du corps expéditionnaire britannique, toujours en phase de consolidation. Von Haynau a mis son attente à profit pour réduire à néant une brigade de miliciens turcs venus lui chercher querelle.
Après un commencement très dynamique, les opérations sont donc un peu plus limitées ces temps-ci, les bélligérants préparent leurs futures offensives. Une toute autre image s'offre sur le plan diplomatique. Le comte von Efelleturm passe ses nuits à rédiger et recevoir des dépêches, tous les canaux sont bons pour nous assurer du soutien de nos voisins. Et de fait, le Royaume de Bavière nous rejoint de plein gré dans cette guerre! Une décision qui pourrait avoir de lourdes conséquences, car le Palatinat borde notre ennemi la France, et le Congrès de Vienne en 1815 a vu cette région passer sous suzeraineté bavaroise. Les grenadiers vont avoir du travail!
Bien plus important: l'Empire Ottoman est déjà au bout de ses nerfs et propose la paix. 53 000 couronnes annuelles sur une durée de trois ans en guise de réparations. Hmph, bien trop peu, pour qui nous prennent-ils? Nous sommes en train de gagner cette guerre!
Le couvert de la guerre est toujours pratique pour dévier l'attention publique de projets politiques ... La mal-aimée "constitution octroyée", fruit des révoltes de 1848, est un frein permanent à l'activité exécutive de l'Empereur. Il est temps de la révoquer, et tant pis si quelques lettrés s'en offusquent, Radetzky est prêt à leur montrer le pouvoir des armes impériales!
Parallèlement, un nouveau décret (coûteux) pour améliorer le système d'éducation est publié.
Fin juillet 1853
Escarmouche en Atlantique! La Grande-Bretagne, cette nation d'épiciers de bas étage, essaye d'écorcher notre commerce au large des côtes nord-américaines. Le voilier Conte Kolowrat essuye quelques salves de canon, sans toutefois être endommagé sérieusement.
En Macédoine, c'est un peu plus qu'une escarmouche qui oppose l'armée von Heß à celle de Riza Pasha, venue sournoisement à l'appui de quelques miliciens. Les deux forces en présence totalisent 400 000 hommes, mais seule une poignée de troupes se livre vraiment combat. Les mousquets autrichiens dictent le ton, 7000 Ottomans resteront à jamais sur ce champ de bataille, tandis que déplorons environ 3500 morts et blessés graves.
On notera le caractère hétéroclite de l'armée ottomane, combinant paysans armés à la hâte et fusiliers de la Sublime Porte. Ce qui devait être un repositionnement tactique de von Heß s'avère une opportunité stratégique. En effet, Riza Pasha a fuit la queue basse à toute allure, se repliant vers la Roumélie. La 3e armée de von Haynau est capable de s'y opposer seule, libérant un large carrefour allant de Thessalonique jusqu'en Thrace.
Le général von Heß reçoit par train express les félicitations de Sa Majesté Impériale, ainsi que la nouvelle de son accession à l'Ordre de la couronne de fer, dont il devient chevalier de 3e classe.
La prouesse autrichienne attire toutes les passions, hostiles comme celle des guerriers albanais envoyant une lettre d'insulte et d'inimitié éternelle, ou amicale comme celle de l'ambassadeur des États-Unis d'Amérique, qui nous assure de ses bons sentiments. Il faut dire que le président Fillmore va d'abord devoir se concentrer sur la guerre que le Mexique vient de lui déclarer.
Début août 1853
Les maréchaux De Saint Arnaud, connu pour ses actes infâmes en Algérie, et Vaillant, figure de proue de l’expédition de Rome, écrasent sans plus de façons les maigres garnisons bavaroises du Palatinat. Le gros de l'armée bavaroise reste lui à Munich.
Von Heß a bien reçu ses ordres et foncé vers Thessalonique. Aucune armée ottomane n'étant en vue, il a avancé aussi vite que possible, et s'est, à sa grande surprise, retrouvé pris à partie par les Britanniques du maréchal Fitzroy Somerset, premier baron Raglan! Persuadé de se retrouver face à une armée mineure (comment les Anglais auraient-ils pu débarquer aussi vite?), il a poussé et fait son possible pour faire sauter le cadenas qui le séparait de son objectif. Mal lui en a pris, les réserves anglaises étaient considérables et tout aussi décidées à tenir le terrain. C'est une défaite importante qui nous a été infligée, et qui entrera dans l'histoire comme bataille de Drosato.
Les Ottomans renouvellent leur offre de paix, et nous sommes déjà un peu plus disposés à la signer, surtout qu'une nouvelle armée est venue côtoyer l'anglaise, et que les Russes s'illustrent surtout par une conduite erratique des opérations.
Le comte von Efelleturm me convainc de refuser, nous avons à peine brûlé quelques cartouches! Nous devons faire montre de tenue, les états mineurs allemands font la queue pour obtenir une audience et se rassurer de notre soutien militaire. L'Empire dispose de ressources gigantesques pour s'imposer, et il n'y a pas de raison de se cacher. D'ailleurs, cette puissance croit jour pour jour, comme l'on peut le voir sur les chantiers des chemins de fer de Troppau, qui relieront bientôt deux importants sites miniers au réseau.
L'armée von Heß se repliera temporairement, et si les Anglais recommencent leurs embrouilles, ils auront à faire à la 3e armée, reposée et bien organisée, toujours stationnée à Sofia.
Des colonnes sans fin de soldats, chevaux et chariots défilent dans les chemins tortueux des Balkans. La population, habituée depuis des siècles aux invasions, reste passive, les marchands se réjouissent de faire de bonnes affaires quand l'intendance passe. Nous sommes là pour rester, les pillages et réquisitions sont limités au strict minimum. L'armée von Heß rejoint celle de von Haynau, nous disposons désormais d'une masse manoeuvre compacte en Bulgarie. Son ravitaillement reste quelque peu précaire, et l'élite militaire de l'Empire Ottoman nous fait face. Riza Pasha attend de pied ferme nos armées à Thessalonique.
Istanbul semble encore bien lointaine! La pression augmente par étapes, la 9e armée russe passe péniblement le Danube et ouvre un nouveau flanc, qui je l'espère monopolisera l'attention du corps expéditionnaire britannique, toujours en phase de consolidation. Von Haynau a mis son attente à profit pour réduire à néant une brigade de miliciens turcs venus lui chercher querelle.
Après un commencement très dynamique, les opérations sont donc un peu plus limitées ces temps-ci, les bélligérants préparent leurs futures offensives. Une toute autre image s'offre sur le plan diplomatique. Le comte von Efelleturm passe ses nuits à rédiger et recevoir des dépêches, tous les canaux sont bons pour nous assurer du soutien de nos voisins. Et de fait, le Royaume de Bavière nous rejoint de plein gré dans cette guerre! Une décision qui pourrait avoir de lourdes conséquences, car le Palatinat borde notre ennemi la France, et le Congrès de Vienne en 1815 a vu cette région passer sous suzeraineté bavaroise. Les grenadiers vont avoir du travail!
Bien plus important: l'Empire Ottoman est déjà au bout de ses nerfs et propose la paix. 53 000 couronnes annuelles sur une durée de trois ans en guise de réparations. Hmph, bien trop peu, pour qui nous prennent-ils? Nous sommes en train de gagner cette guerre!
Le couvert de la guerre est toujours pratique pour dévier l'attention publique de projets politiques ... La mal-aimée "constitution octroyée", fruit des révoltes de 1848, est un frein permanent à l'activité exécutive de l'Empereur. Il est temps de la révoquer, et tant pis si quelques lettrés s'en offusquent, Radetzky est prêt à leur montrer le pouvoir des armes impériales!
Parallèlement, un nouveau décret (coûteux) pour améliorer le système d'éducation est publié.
Fin juillet 1853
Escarmouche en Atlantique! La Grande-Bretagne, cette nation d'épiciers de bas étage, essaye d'écorcher notre commerce au large des côtes nord-américaines. Le voilier Conte Kolowrat essuye quelques salves de canon, sans toutefois être endommagé sérieusement.
En Macédoine, c'est un peu plus qu'une escarmouche qui oppose l'armée von Heß à celle de Riza Pasha, venue sournoisement à l'appui de quelques miliciens. Les deux forces en présence totalisent 400 000 hommes, mais seule une poignée de troupes se livre vraiment combat. Les mousquets autrichiens dictent le ton, 7000 Ottomans resteront à jamais sur ce champ de bataille, tandis que déplorons environ 3500 morts et blessés graves.
On notera le caractère hétéroclite de l'armée ottomane, combinant paysans armés à la hâte et fusiliers de la Sublime Porte. Ce qui devait être un repositionnement tactique de von Heß s'avère une opportunité stratégique. En effet, Riza Pasha a fuit la queue basse à toute allure, se repliant vers la Roumélie. La 3e armée de von Haynau est capable de s'y opposer seule, libérant un large carrefour allant de Thessalonique jusqu'en Thrace.
Le général von Heß reçoit par train express les félicitations de Sa Majesté Impériale, ainsi que la nouvelle de son accession à l'Ordre de la couronne de fer, dont il devient chevalier de 3e classe.
La prouesse autrichienne attire toutes les passions, hostiles comme celle des guerriers albanais envoyant une lettre d'insulte et d'inimitié éternelle, ou amicale comme celle de l'ambassadeur des États-Unis d'Amérique, qui nous assure de ses bons sentiments. Il faut dire que le président Fillmore va d'abord devoir se concentrer sur la guerre que le Mexique vient de lui déclarer.
Début août 1853
Les maréchaux De Saint Arnaud, connu pour ses actes infâmes en Algérie, et Vaillant, figure de proue de l’expédition de Rome, écrasent sans plus de façons les maigres garnisons bavaroises du Palatinat. Le gros de l'armée bavaroise reste lui à Munich.
Von Heß a bien reçu ses ordres et foncé vers Thessalonique. Aucune armée ottomane n'étant en vue, il a avancé aussi vite que possible, et s'est, à sa grande surprise, retrouvé pris à partie par les Britanniques du maréchal Fitzroy Somerset, premier baron Raglan! Persuadé de se retrouver face à une armée mineure (comment les Anglais auraient-ils pu débarquer aussi vite?), il a poussé et fait son possible pour faire sauter le cadenas qui le séparait de son objectif. Mal lui en a pris, les réserves anglaises étaient considérables et tout aussi décidées à tenir le terrain. C'est une défaite importante qui nous a été infligée, et qui entrera dans l'histoire comme bataille de Drosato.
Les Ottomans renouvellent leur offre de paix, et nous sommes déjà un peu plus disposés à la signer, surtout qu'une nouvelle armée est venue côtoyer l'anglaise, et que les Russes s'illustrent surtout par une conduite erratique des opérations.
Le comte von Efelleturm me convainc de refuser, nous avons à peine brûlé quelques cartouches! Nous devons faire montre de tenue, les états mineurs allemands font la queue pour obtenir une audience et se rassurer de notre soutien militaire. L'Empire dispose de ressources gigantesques pour s'imposer, et il n'y a pas de raison de se cacher. D'ailleurs, cette puissance croit jour pour jour, comme l'on peut le voir sur les chantiers des chemins de fer de Troppau, qui relieront bientôt deux importants sites miniers au réseau.
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- griffon
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
von Aasen a écrit :
Les Ottomans renouvellent leur offre de paix, et nous sommes déjà un peu plus disposés à la signer
Quand on se retrouve tactiquement affaibli et stratégiquement "pris en sandwich"
on ne voit plus les choses de la même façon !
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Ça aide, mais franchement 150£ de réparations, c'est petit joueur, ce n'est pas les Ottomans qui vont pénétrer en Autriche.
Mon Warscore est à 8 et il m'en faut 62 pour pouvoir demander l'Herzégovine ... il augmente peu à peu grâce à mes gains territoriaux, environ 1 point par tour, il y a encore du chemin donc
Mon Warscore est à 8 et il m'en faut 62 pour pouvoir demander l'Herzégovine ... il augmente peu à peu grâce à mes gains territoriaux, environ 1 point par tour, il y a encore du chemin donc
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- Serenissimus augustus a Deo coronatus magnus pacificus imperator
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
L entrée en guerre de la Bavière n'est pas fait pour t arranger, car il est probable qu'ils vont se faire écraser par les Français qui menaceront alors la frontière nord....
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Ils me les brisent oui, heureusement les états neutres (Bade, Hesse-Darmstadt) barrent le chemin des armées françaises, sinon on se retappe la bataille d'Ulm pour tenter de sauver Vienne
- griffon
- Empereur Intergalactique
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Le château natal de Sissi va cramer ! ce devrait t'émouvoir ......
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Pas de soucis, le château est en Haute-Bavière, pas dans le Palatinat. Et on est encore une année avant que François-Joseph ne la rencontre
- Azerty
- Foudre de Guerre
- Messages : 1273
- Enregistré le : ven. déc. 01, 2017 7:44 pm
- Localisation : Lyon
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Pourrais tu profiter du coup d'état de Napoléon III pour négocier une paix séparée avec la France et ainsi alléger les menaces qui pèsent sur la commerce et Vienne ?
"Les cimetières sont remplis de gens irremplaçables." Alphonse Allais.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Je ne suis pas trop sur de la manière dont le jeu gère la transition gouvernementale en France, donc c'est un peu au pif, mais je ne crois pas que les relations diplomatiques s'en trouveront changées. Après tout, Louis-Napoléon est président de la République, il a donc déjà son mot à dire
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31338
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Les Ottomans semblent... faibles.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe
Ils le sont, mais il est dangereux de les sous-estimer. Riza Pasha dans ses bons moments aligne quand même une armée à 1650 de force combative, autant qu'une des miennes. Il lui manque surtout de l'infanterie de ligne de qualité moyenne. Ses unités d'élite sont bonnes, la cavalerie aussi, le gros de la troupe est cependant composé de milice, et son artillerie est d'un autre âge ...