Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

von Aasen
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

Azerty a écrit :Quand même, qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour se renflouer... :goutte: Vous ne pourriez pas envoyer une petite escadre histoire d'avoir un peu plus de trafics maritimes et avec un peu de chance de couler quelques Rosbifs ?... :siffle: Ces cures en Suisse sont vraiment hors de prix, puisque la Banque Centrale sert enfin, pourquoi ne pas investir dans nos époustouflantes Alpes Autrichiennes ?... :o:
Une escadre, pour se faire couler par des Anglais avant d'avoir passé le détroit d'Otranto? :froid:

Et nous avons une très belle ville d'eaux à Karlsbad, je ne sais pas quel spleen vous a pris de partir en Suisse :o:

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@Lecteurs: la mise à jour de hier est sur la page précédente.
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griffon
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par griffon »

von Aasen a écrit :
@Lecteurs: la mise à jour de hier est sur la page précédente.
Tu as bien fait de prévenir ! :lolmdr: :ok:
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Azerty
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par Azerty »

Et nous avons une très belle ville d'eaux à Karlsbad, je ne sais pas quel spleen vous a pris de partir en Suisse :o:
Des raisons politiques mon cher Compte... :goutte:
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von Aasen
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

Fin février 1858

Alliés de circonstance durant la Guerre de Crimée, le Royaume-Uni et la France voient leurs relations soumises à des pressions intenses. La question des frontières coloniales empoisonne toute discussion, certains parlent même d'une possible guerre.
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Les Britanniques pourraient pourtant se reposer sur leurs vastes possessions existantes. Une poussée de fièvre aurifère a lieu au Canada, on dit que des paquebots remplis d'intéressés quittent le pays de Galles ces semaines-ci pour réclamer leur part du gâteau doré.
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Point d'or chez nous, mais peut-être bientôt du pétrole? On en a trouvé en Galicie russe, la Galicie autrichienne pourrait receler des ressources similaires.
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Notre économie grandissante en aura sûrement besoin à l'avenir, M. Chaudard parle de 606 000 tonnes de marchandises changeant de mains chaque mois dans notre empire. Il y a huit ans, ces échanges ne comptaient que 338 000 tonnes!
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Début mars 1858

Et bien voilà, on a trouvé du pétrole en Galicie autrichienne! Un chimiste et pharmacien polonais, Ignacy Lukasiewicz, a investi tout l'argent d'un héritage heureux dans le premier champ de pétrole industriel du monde.
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Le gouvernement soutient ce développement positif et force la construction de chemins de fer dans cette région périphérique, malgré quelques doutes sur l'allégeance politique du personnage. Si jamais il venait à avoir de mauvaises idées, la 5e armée et ses 5 corps d'infanterie et de cavalerie ne serait pas loin pour lui faire entendre raison.
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Fin mars 1858

La guerre franco-prussienne reste indécise. Des armées coiffées de casques à pointe maraudent en Meuse et en Artois, les troupes françaises sont concentrées en Alsace. Une bataille en Lorraine, très sanglante, est restée sans résultat clair.
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La production autrichienne de biens manufacturés gagne lentement en ampleur, me rassurant sur la capacité de notre empire à subvenir aux besoins croissants. Entre les arsenaux de Trieste, la construction d'égouts et de réseaux télégraphiques, l'armée, les colonies et les investissements industriels, une production conséquente est absolument essentielle.

Les grèves continues en Bohême posent cependant soucis, car le flux de machines-outils venant de ce bassin industriel s'est tari. Les stocks sont grands, à terme il faudra pourtant trouver une solution plus durable. Les négociations avec les ouvriers piétinent.
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De meilleures écoles pour les classes populaires pourraient aider à calmer les émotions de part et d'autre, des fonds importants sont débloqués à cet effet, au grand dam du comte von Efelleturm, qui espère encore soudoyer les Britanniques en vue d'un traité de paix.
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Début avril 1858

La mode des cures se répand à grande vitesse en Europe. Désormais accessibles aux classes moyennes aisées, les villes d'eaux sont de plus en plus prisées.
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Mis à part une visite du roi de Saxe, Johann Nepomuk Maria Joseph Anton Xaver Vincenz Aloys Franz de Paula Stanislaus Bernhard Paul Felix Damasus de Saxe, les choses restent plutôt calmes. Ah, Sir Arthur Room amène le train à Kronstadt en Transylvanie, très bien!
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Fin avril 1858

Le mécontentement plus ou moins ouvert envers le gouvernement me pousse à plus de générosité que d'habitude. À Peterwardein, l'une des rares villes qui n'est pas encore raccordée au réseau ferroviaire, une compagnie de transports publics est créé grâce à de larges subventions.
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En Amérique du Sud, une guerre a éclaté entre le Pérou et l'Argentine. De sombres histoires de droits de commerce et de territoires contestés. La phase de réorganisation du continent suivant l'ère de colonisation ibérique n'est pas prête d'être terminée.
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Têtu, le comte von Efelleturm tire tous les registres pour sceller une paix avec le Royaume-Uni. L'Autriche propose la somme faramineuse d'un million de couronnes en réparations, payable sur deux ans. C'est un prix éhonté, mais nécessaire à la reprise de nos activités commerciales extra-européennes.
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Début mai 1858

Le roi de Bavière nous communique la construction d'une ligne de chemins de fer en Franconie, ce qui est tout à notre avantage. Le déploiement de troupes autrichiennes sera beaucoup plus aisé à l'avenir. Mais portons notre regard vers la France, où le Generalleutnant von Steinmetz fait des ravages. Incapable d'aborder de front les lourdes défenses de Paris, le voilà qui dévaste la campagne française avec son corps d'armée. Certains journaux parlent de hussards prussiens au-delà de la Garonne.
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Ce sont des nouvelles intéressantes, pas comme ces rapports du ministère de l'intérieur qui disent toujours la même chose, à savoir que la Bohême et la Hongrie Orientale sont secouées par la grogne populaire. Je signe encore quelques décrets pour améliorer l'infrastructure de la région, malgré la nécessité de faire des économies pour payer d'éventuelles réparations.
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Pas question de donner des fonds supplémentaires à l'armée dans ces conditions! La situation s'améliorera un peu une fois les investissements dans le système d'éducation (500 000 couronnes) digérés. Le baron Graujäger, ministre des finances, attend impatiemment la rentrée des taxes trimestrielles pour renflouer le trésor.

Du moins nos industriels continuent à rouler sur l'or, M. Budi-Budi a annoncé la modernisation d'une scierie en Transylvanie, qui permettrait de doubler la production avec de nouvelles scies mécaniques. La consommation de bois travaillé a explosé ces derniers mois, signe d'une économie vitale et d'une prospérité croissante dans les villages, qui rénovent les bâtiments communaux et en construisent d'autres. La forte croissance démographique ajoute aux besoins elle aussi.
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Fin mai 1858

Ces Britanniques sont des têtes de mule! À nouveau, ils refusent une paix plus qu'avantageuse pour eux et profitent de manière éhontée de cette guerre pour museler notre commerce. S'ils comptent asphyxier l'économie de notre bel empire, ils ne sont pas au bout de leurs peines! Les usines sous tutelle habsbourgeoise ronronnent, l'ajout récent de l'industrie pétrolière au palmarès des produits autrichiens a même donné un coup de fouet supplémentaire à la consommation.
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Et bien, si une paix est impossible, autant tirer profit de cet état et prévoir l'arrondissement de nos frontières. Le comte zu Dunkelmath est envoyé en mission secrète pour organiser une petit scandale dans la principauté du Monténégro.

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Début juin 1858

Le comte zu Dunkelmath s'y est pris comme un bleu et a contacté un prétendant au throne d'une branche cadette de celle au pouvoir. L'affaire a échoué, et il a fallu graisser bien des pattes pour l'étouffer. Il parait que le prince n'a rien entendu, en tous cas aucune note de protestation n'est arrivée chez nous. Les diplomates français ont eu plus de succès dans leurs négociations, et ont signé une paix avec la Prusse. Les frontières n'ont pas bougé, on parle de réparations d'ordre financier versées à la Prusse.
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Ne nous laissons pas décourager par un premier échec, le colonel Lysimachos von Reuß zu Greiz devra faire mieux que son prédécesseur et créer un contentieux au Monténégro. Buzzo Fulmine, avide de diversifier les sources de sa fortune, fait construire des chemins de fer le long de l'Adriatique, ce qui n'est pas sans intérêt militaire. Les wagons ne transporteront pas que des tomates italiennes.
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Fin juin 1858

Voilà qui nous avait manqué! Un nationaliste italien atteint à la vie de l'Empereur de France, et ce dernier réfléchit sérieusement à plus s'impliquer dans l'unification de la péninsule, à laquelle nous sommes absolument opposés. Vous écouteriez quelqu'un qui vous lance des bombes dessus, vous? Allez comprendre!
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La Russie se frotte à la Chine pour obtenir un port dans l'Océan Pacifique, cela ne peut que les divertir des affaires monténégrines. Après un nouvel essai infructueux, nous impliquons le baron Wolfram von Rehborn dans cette mission. Après tout, l'annexion de Cetinje reste un souhait ardent des cercles impérialistes, dont nous ne dédaignons pas le soutien.
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Début juillet 1858

Notre plantation au Guatemala est terminée! Via des paquebots américains (que les Britanniques n'osent pas intercepter), nous recevons des fruits tropicaux en conserves d'étain et d'acier deux fois par mois.
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M. Chaudard est très enthousiaste, on ne parle que de cela dans les cafés de Vienne en ce moment. En un temps record, Sir Arthur Room met sur pieds un fond boursier destiné aux investissements à l'étranger, la Room Auslandsgesellschaft. Les capitaux abondent si vite qu'un nouveau projet est initié au bout d'un mois seulement, une mine d'or en Colombie.
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Fin juillet 1858

L'étranger ... on aime à y penser quand on voit que ni nos soldats, ni nos ingénieurs n'ont vraiment pu mettre fin aux grèves et révoltes de bas étage en Bohême et Hongrie. C'est maintenant Presbourg qui s'est joint au mouvement. L'impact économique est limité, mais l'irritation dans le gouvernement grandit. Que faudra-t-il faire pour remettre ces gueux au pas?
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griffon
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par griffon »

La paix est bien rendue dans ce jeu et dans le récit ! :ok:

La guerre moins :?
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Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
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Azerty
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par Azerty »

Mais pourquoi donc s'agite t'il ces ouvriers ?... :pigepas:
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von Aasen
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

griffon a écrit :La paix est bien rendue dans ce jeu et dans le récit ! :ok:

La guerre moins :?
Un peu beaucoup de victimes durant les batailles je trouve, mais sinon ça va? Juste cet incapacité de l'IA britannique à me dire ce qu'elle veut pour faire la paix :chair:
Azerty a écrit :Mais pourquoi donc s'agite t'il ces ouvriers ?... :pigepas:
Il y a un problème structurel et un problème actuel:

- structurellement, pas mal de minorités ethniques se sentent moyennement à l'aise en Autriche. Pour les Tchèques c'est un peu tôt (le mouvement national tchèque c'est plus vers la fin du 19e), et les Hongrois sont peut-être mécontent de ne pas être assez représentés (pour l'instant c'est l'Empire d'Autriche aux commandes, pas l'Autriche-Hongrie). Les plus démunis pourtant sont les Polonais, et pire encore les Ruthènes. Les Italiens ont du potentiel de mécontentement aussi.

- actuellement, ce doit être l'état de guerre qui embrase les esprits. Je crois qu'il y a un malus au bonheur à être en guerre, qui croit avec le temps, et ça fait un moment qu'on est en guerre sans interruption. Une des raisons pour lesquelles je ne touchais pas à la Serbie et au Monténégro, dans l'espoir d'avoir une paix rapide avec les Britanniques. Ces espoirs se sont envolés après la proposition de paix généreuse (réparations 7x plus grandes que ce qu'offre le warscore) refusée par Londres.

Ça risque de chauffer encore un moment!
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par DrussDharan »

Il y a aussi un problème structurel du jeu avec certaines régions qui voient monter leur mécontentement sans raison. Un conseil que j'avais lu c'était d'acheter beaucoup de nourriture. Conseil qui n'a pas été écouté. :P
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

DrussDharan a écrit :Il y a aussi un problème structurel du jeu avec certaines régions qui voient monter leur mécontentement sans raison. Un conseil que j'avais lu c'était d'acheter beaucoup de nourriture. Conseil qui n'a pas été écouté. :P
Oui je crois me souvenir aussi d'un post de Pocus qui disait que la France par exemple était faite pour être pratiquement impossible à contenter. Les révoltes/grèves sont une sorte de normalité.

Pour la nourriture, j'ai en fait acheté pas mal de denrées exotiques (fruits tropicaux, vin, rhum, sucre, café ...) tant que je disposais de flottes commerciales à l'étranger. Pour les denrées plus basiques (céréales, viande de boeuf, poisson etc.) j'avais (et maintient) un tel excédent que je croule sous les boîtes de conserve, donc je ne pense pas que je puisse augmenter la consommation par de nouveaux imports?

Vu que la guerre dure, je ne peux plus importer de denrées exotiques par voie normale. Les bâtiments de production à l'étranger ont l'air de fonctionner sans flotte commerciale, à voir à l'usage!
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par DrussDharan »

De toute manière je crois qu'ils ont un peu merdouillé sur le plan de l'ordre public.
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par Greyhunter »

DrussDharan a écrit :De toute manière je crois qu'ils ont un peu merdouillé sur le plan de l'ordre public.
Si ce n'était que sur ce plan... :o:

Cette guerre avec les britanniques est totalement absurde. Elle n'a commencé que par le jeu des alliances, et elle se prolonge sans raison alors qu'ils n'y ont rien à y gagner. La seule chose logique a été qu'ils attaquent tes flottes de commerce, sinon ils se contentent de venir suicider des corps expéditionnaires chez toi et de refuser la paix. Est-ce que tu as au moins moyen de savoir ce qu'ils veulent ou est-ce que l'IA elle-même ne le sait même pas?
I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

DrussDharan a écrit :De toute manière je crois qu'ils ont un peu merdouillé sur le plan de l'ordre public.
J'espère que ça remontera une fois que nous serons en paix. Faut dire qu'on est habitué aux jeux paradox où une révolte est un signe de mauvaise gestion. Pourtant, c'est relativement fréquent au XIXe de voir des mouvements sociaux ou nationaux menacer l'ordre établi.

En 1867, il devrait y avoir une nouvelle constitution (menant à la double monarchie austro-hongroise) qui améliorera peut-être les choses, on y est pas encore :lol:
Greyhunter a écrit :
DrussDharan a écrit :De toute manière je crois qu'ils ont un peu merdouillé sur le plan de l'ordre public.
Si ce n'était que sur ce plan... :o:

Cette guerre avec les britanniques est totalement absurde. Elle n'a commencé que par le jeu des alliances, et elle se prolonge sans raison alors qu'ils n'y ont rien à y gagner. La seule chose logique a été qu'ils attaquent tes flottes de commerce, sinon ils se contentent de venir suicider des corps expéditionnaires chez toi et de refuser la paix. Est-ce que tu as au moins moyen de savoir ce qu'ils veulent ou est-ce que l'IA elle-même ne le sait même pas?
C'est chiant, je ne contredis pas :pascontent:
Entretemps, ils ne viennent plus balancer des corps expéditionnaires, j'ai des armées partout sur les plages pour les cueillir dès l'arrivée. Le blocus naval semble suffire comme acte de guerre, donc je ne peux plus espérer une paix blanche automatique pour manque d'activité.

Je n'ai aucune idée de ce que l'IA veut. Je lui ai quand même proposé des réparations 7x plus hautes que ce que le warscore pourrait lui donner. Et je n'ai jamais eu de proposition de paix de sa part ...
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Azerty
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par Azerty »

En 1867, il devrait y avoir une nouvelle constitution (menant à la double monarchie austro-hongroise) qui améliorera peut-être les choses, on y est pas encore :lol:
Et surtout, tu ne serait pas obliger de perdre ton influence en Allemagne du Sud et en Italie du Nord pour le faire puisqu'historiquement, c'était en réponse à l'unification de l'Allemagne et de l'Italie ?... :goutte:
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

Pride of Nations n'est pas très flexible sur les évènements historiques, il y a peu de voies alternatives à explorer. Je ne pense pas qu'il y ait des masses de possibilités de ce côté :?
von Aasen
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Re: Perle de l'humanité, appétence de l'Olympe

Message par von Aasen »

Début août 1858

Le roi du Wurttemberg, Guillaume Ier, vient à Vienne en visite officielle pour discuter du cours de la guerre contre le Royaume-Uni. Nous nous entretenons la mine sombre, mais l'estomac rayonnant, car un goulasch de Hortobágy nous permet de tenir en ces durs temps.
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À côté du soutien culinaire, celui de l'église n'est pas moins important. J'écoute avec attention les arguments du légat papal, et ordonne le financement de missions catholiques dans les territoires du Bénin, en espérant qu'elles seront bien accueillies, car notre puissance militaire dans la région se limite à quelques escortes de marchands, et donc quelques douzaines de bouches à feu.
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Les investissements permanents dans l'infrastructure autrichienne ont fini par demander des économies dans d'autres domaines. Malgré les suppliques du baron von Lockenfeld, qui vient d'obtenir son doctorat en philosophie et me montre avec émotion tout ce que nos belles universités produisent comme savoir, je raye les fonds spéciaux de l'académie navale qui absorbaient 100 000 couronnes par mois en vue d'une modernisation de nos vaisseaux. La question navale ne presse pas.
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Fin août 1858

M. Budi-Budi complète son empire industriel dans l'Est de nos terres en annonçant une ligne de chemins de fer Tarnopol-Lemberg. Seules quelques provinces adjacentes à l'Empire Ottoman ne sont encore raccordées au réseau central.
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Travaillé par ses échecs et son addiction aux liqueurs, le comte von Efelleturm veut à tout prix retenter un essai de négociation avec le Royaume-Uni. Nous montons les enchères à 1,5 millions de couronnes pour un traité de paix ...
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Début septembre 1858

On découvre de plus en plus de pétrole, les États-Unis d'Amérique semblent en receler des quantités importantes également. L'abondance observée dans certaines régions du Texas est vue comme plutôt négative, car il y est plus compliqué de trouver de l'eau, et la colère est grande quand on trouve du liquide noir alors que l'on pensait pouvoir installer un puits d'eau douce. Qui pourrait avoir besoin d'autant de pétrole dans la région? Personne.
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Le programme de fortification de la Lombardie-Vénétie est achevé, nous voici fin prêts pour contrer tout nationaliste italien s'aventurant dans les parages.
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Fin septembre 1858

Une fois de plus, les Britanniques refusent la paix et crachent sur nos intentions pacifiques. Il est temps de leur montrer le prix à payer, à savoir l'impossibilité de nous forcer à la clémence vis-à-vis de nos voisins moins puissants. Les derniers essais d'embrouillement diplomatique se sont montrés fructueux, nous revendiquons désormais activement la tutelle de la principauté du Monténégro. La déclaration de guerre est envoyée par lettre, il n'y a encore aucun poste de télégramme opérationnel chez nos nouveaux ennemis.
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Début octobre 1858

Les régiments de l'armée Albert, stationnée en Illyrie, se mettent en marche vers Cetinje. La résistance du Monténégro ne peut être que symbolique. "El jmlo" nous signale la construction d'une mine d'or en Colombie dans les délais impartis, ce qui n'est pas une mince surprise. Reste à savoir si les Britanniques laisseront passer les navires marchands colombiens.
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Fin octobre 1858

Cetinje tombe sans un coup de feu. Le général Petrovic-Njegos, commandant en chef des forces monténégrines, a opéré une retraite vers l'Ouest. La famille royale et les milices des clans influents se sont retirées dans les montagnes du pays. Un long travail de pacification commence, mais ce n'est pas ce dont parlent les journaux autrichiens. Eux, ils fêtent la victoire d'autant plus frénétiquement que les bonnes nouvelles militaires se sont faites rares!
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Début novembre 1858

L'occupation du Monténégro apporte des résultats plus rapidement que prévu. Quelques familles ont pu être ralliées à la cause autrichienne, il n'y a pas eu de grandes altercations avec les troupes sur place. L'armée ennemie est toujours en mouvement, ce n'est pour l'instant pas bien grave. Qu'ils usent leurs bottes si ça leur chante!
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Le capital travaille! Après un large repas, agrémenté de cailles à la Stanislas, Sir Arthur Room a consenti à se tourner vers le marché intérieur. Un nouveau district minier verra le jour à Marburg, ce qui nous donnera plus de flexibilité dans l'approvisionnement de houille, encore dépendant de régions propices aux désordres sociaux de tout genre.
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Fin novembre 1858

Les Monténégrins ne peuvent pas se cacher éternellement, la cavalerie hongroise les rattrape à hauteur de Castelnuovo et les fixe jusqu'à l'arrivée de l'infanterie, qui ne prend pas bien longtemps à infliger une défaite à cette milice.
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Petrovic-Njegos et ce qui lui reste de combattants se replient vers l'Herzégovine, l'armée Albert emboite le pas pour les empêcher d'y prendre pied.
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Prenons un instant pour admirer le réseau ferroviaire de notre empire! Vingt ans après la mise en service de la première locomotive à vapeur, il a de l'allure, non?
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Début décembre 1858

L'Autriche s'enracine en Afrique! Les missions catholiques accomplissent leur tâche avec bravoure, nous voici en bonne position pour étendre notre emprise culturelle et territoriale.
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Les royaumes de Bavière et de Saxe rejoignent la guerre contre le Monténégro, en alliés fidèles. Le risque d'y encourir des embrouilles est minime, les troupes ennemies sont prises au piège.
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Enfin, M. Budi-Budi finance la modernisation de scieries tchèques, alors que Sir Arthur Room refuse d'investir dans une scierie tyrolienne. En effet, on ne trouve plus de capital pour ériger ce genre de productions à la mode ancienne, donc sans scies mécaniques, qui demandent un investissement conséquent. La modernisation seule est bien moins chère, et la demande, bien qu'importante, n'offre assez de débouchés pour deux installations de ce genre.
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Fin décembre 1858

Le monde entier semble engourdi par le froid d'hiver. Grévistes et capitalistes restent chez eux, rien n'avance. Et toujours ces usines à Prague qui ne produisent rien et plombent notre économie!
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Début janvier 1859

Bonne année 1859! Les affaires coloniales reprennent, de nouveaux marchands sont prêts à tenter l'aventure. Le baron Azerty-Liebkenstein ne cesse de promouvoir l'Afrique de l'Ouest comme terre aux mille opportunités. Certains iront dans des zones à forte influence autrichienne, d'autres avec leur pécule vers Kumasi à l'Ouest, ou le Biafra à l'Est de ces zones.
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Bien plus important, et inquiétant: l'agitation italienne atteint de nouveaux sommets, le comte de Cavour semble vouloir franchir le Rubicon. Nous posons un ultimatum à ces malpropres: hors de la Lombardie-Vénétie, tout de suite!
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Sinon la mitraille va parler, l'armée von Schlik est déjà en route pour soutenir le vieux maréchal von Radetz, qui peut s'appuyer sur les puissantes forteresses de la région. Si jamais ce diable de Cavour met le feu aux poudres, il ne rigolera pas. Toute l'Italie pourrait s'embraser ...
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