Spoiler : T9 : Des carcasses fumantes :
Les unités russes, surement bien reposées, attaquent les positions japonaises.
Au nord, après un intense bombardement d’artillerie fauchant 200 japonais, les russes se ruent sur les positions nippones. Dépassés par le nombre, les japonais abandonnent le terrain en laissant plus de 400 des leurs.
Au niveau de la confluence, d’intenses moyens bolchéviques fondent sur les japonais.
La bataille dure des heures, mais là aussi, le nombre fini par l’emporter… Les japonais se replient avec de très sévères pertes : 100 hommes, 300 cavaliers, 10 canons anti chars, 3 tankettes Type 94, 8 tanks type 89 et 2 tank type 95.
Pour Komatsubara, c’est une très lourde perte, car son potentiel mobile vient de perdre 17 blindés passant de 89 à 72, mais également en perdant 85% de ses canons anti chars (plus que 4 canons opérationnels contre 24 au 1er juillet) …
Comme chaque matin, les bolchéviques se réveillent aux sons des canons.
Puis après les bombardements quotidiens, les japonais se lancent à l’assaut des positions russes.
Au nord, sur la position perdue la veille, les japonais mettent en fuite l’ennemi qui abandonne 900 des leurs pour 200 japonais.
A la confluence, Joukov avait laissé ses blindés en première ligne. Malgré l’absence de canon anti char, les japonais détruisent 10 tanks, dont 9 T26, pour des pertes ridicules (100 hommes), et s’emparent de nouveau du point de passage.
Au centre, l’assaut japonais se focalise sur les positions de l’artillerie russe. Les tirs de barrage de l’artillerie fait des coupes claires dans les rangs japonais. Mais arrivés au contact de l’infanterie rouge, ces derniers, surement sans munitions sont hachés menus. 2 100 soldats, 15 postes de mitraillette, 1 000 bazouka et 8 T26 sont détruits. L’artillerie soviétique arrive à se dégager, non sans pertes : 20 canons sont sabotés. Les pertes japonaises sont sévères, avec plus de 1 500 hommes mis hors combat.
Les soviétiques restent maîtres du terrain, mais ils ont perdu toute leur infanterie.
La progression japonaise marque le pas en ce 9 juillet, mais les rouges ont subi de lourdes pertes.
Au nord, après un intense bombardement d’artillerie fauchant 200 japonais, les russes se ruent sur les positions nippones. Dépassés par le nombre, les japonais abandonnent le terrain en laissant plus de 400 des leurs.
Au niveau de la confluence, d’intenses moyens bolchéviques fondent sur les japonais.
La bataille dure des heures, mais là aussi, le nombre fini par l’emporter… Les japonais se replient avec de très sévères pertes : 100 hommes, 300 cavaliers, 10 canons anti chars, 3 tankettes Type 94, 8 tanks type 89 et 2 tank type 95.
Pour Komatsubara, c’est une très lourde perte, car son potentiel mobile vient de perdre 17 blindés passant de 89 à 72, mais également en perdant 85% de ses canons anti chars (plus que 4 canons opérationnels contre 24 au 1er juillet) …
Comme chaque matin, les bolchéviques se réveillent aux sons des canons.
Puis après les bombardements quotidiens, les japonais se lancent à l’assaut des positions russes.
Au nord, sur la position perdue la veille, les japonais mettent en fuite l’ennemi qui abandonne 900 des leurs pour 200 japonais.
A la confluence, Joukov avait laissé ses blindés en première ligne. Malgré l’absence de canon anti char, les japonais détruisent 10 tanks, dont 9 T26, pour des pertes ridicules (100 hommes), et s’emparent de nouveau du point de passage.
Au centre, l’assaut japonais se focalise sur les positions de l’artillerie russe. Les tirs de barrage de l’artillerie fait des coupes claires dans les rangs japonais. Mais arrivés au contact de l’infanterie rouge, ces derniers, surement sans munitions sont hachés menus. 2 100 soldats, 15 postes de mitraillette, 1 000 bazouka et 8 T26 sont détruits. L’artillerie soviétique arrive à se dégager, non sans pertes : 20 canons sont sabotés. Les pertes japonaises sont sévères, avec plus de 1 500 hommes mis hors combat.
Les soviétiques restent maîtres du terrain, mais ils ont perdu toute leur infanterie.
La progression japonaise marque le pas en ce 9 juillet, mais les rouges ont subi de lourdes pertes.