cAARnage dans le Pacifique

[Elvis]

La question peut effectivement se poser quand on voit la menace que représente les sous marins US de plus en nombreux en fin de campagne

Au hasard d’une lecture, J avais vu une blague japonaise vers 44/45 qui disait que l on pouvait se rendre de Singapour a Tokyo sans se mouiller les pieds, juste en sautant de périscope en périscope….


L US Navy déploie de plus en plus de sous marins, et a l inverse l IJN est incapable de contrer la menace grandissante avec des capacités ASW trop limitées et un déficit de destroyers pour escorter tous ses convois…


L attaque de Manille au lieu de Pearl Harbour présente donc l intérêt de couler pres d une trentaine de sous marins, tandis que le raid sur Pearl Harbour qui vise la flotte de Haute mer américaine reste assez aléatoire : il est très difficile de couler les cuirassés, même avec plusieurs bombes et torpilles, car PH dispose d un large port et de capacité de réparation…
Egalement, placer le KB dans la région Philippines/Indes Néerlandaise assurent le contrôle totale de la zone et destruction assurer des nombreux navires allies qui s y trouve…

Cependant, en attaquant Manille, on épargne la flotte de haute mer US et ses cuirassés qui peuvent alors servir de protection pour les flottes CV, ou même intervenir en force dans le pacifique centrale (Marshall/Gilbert) et Pacifique Sud (Salomons) tandis que les portes avions japonais sont du cote de Java ou Sumatra…
Un joueur US compétent et agressif saura forcement en profiter
Mais en tant que joueur nippon, je préfère surprendre les cuirasses US au milieu de l océan car au moins il est possible de les couler avec une attaque aéronavale, pour peu qu’elle réussisse ….


Bref, c est effectivement un véritable choix a faire en début de partie, qui présente avantages et inconvénients sans pouvoir donc véritablement dire qu’elle est la meilleure option : Manille ou Pearl Harbour…

[gladiatt]

9 au 15 octobre 1944

NOPAC

Le 10 octobre, un raid est mené sur Paramushiro, sans résultat probant.



Le 12 octobre, l'aérodrome de Komandorski atteint sa taille maximale, du niveau 3




CENTPAC

Silent Service.
Cette semaine, le CombSupPac peut se réjouir des résultats engrangés par ses bâtiments.

- 9 octobre, au sud de Shangai, le Sand Lance s'attaque au DD Niokaze, sans parvenir à le toucher, mais les répliques touchent le submersible. Le même Sand Lance s'attaque quelques heures plus tard au Yukaze, sans parvenir non plus à le toucher.



Le 10 octobre, au sud d'Hamamatsu,le SS Piranha touche l'escorteur Awaji d'une torpille. Quelques heures plus tard, le Swordfish retrouve l'escorteur avarié et l’achève de 3 torpilles.






Le 11 octobre, à l'est de Tokyo, le Kete envoie par le fond le AK Taijun Maru. Puis un peu plus tard il touche le AK Ryuto de 2 torpilles. Le cargo coule le 13 octobre.





Le 11 octobre, à l'est de Takao, le Hackleback attaque un escorteur mais le rate.

Le 11 octobre, le Rasher vient marauder à Aparri, nouveau centre névralgique japonais aux Philippines. Il avise le DD Kamo, et attaque. Plusieurs torpilles filent vers le destroyer, et l'une d'elle le touche.



Le lendemain, le Kamo coule !




Le 12 octobre au nord de Toris Shima, le Swordfish canonne une barge, qui est coulée.



Le 12 octobre au sud de Hong Kong, le KXIV coule un petit MSW



Le 12 octobre à l'est de Shangai, le Blackfin s'attaque lui aussi à un destroyer, le Yukaze. L'agilité du destroyer lui permet d'éviter la salve qui lui est destinée.



En fin de journée, il s'attaque à un autre destroyer, le Maikaze, sans plus de succès.

13 octobre, au nord de Sakashima, le Corvina manque de peu un MSW.




14 octobre à Taipei,le SS Baya coule le MSW Shonan Maru #8.



Puis, en fin de journée, il coule le Banshu maru #8.



14 octobre. Le Ling n'est pas en reste par rapport à ses collègues. Son équipage attaque le DD Numakaze au sud de Shangai, et parvient à expédier une torpille sur le petit bâtiment. Un autre destroyer japonais, venu traquer le submersible, se retrouve à son tour agressé, passant de prédateur à proie, et le Nokaze encaisse une torpille.






14 octobre à Aparri. L'Albacore est en compétition avec les autres submersibles, et il semble décidé à réduire les effectifs des navires de lutte anti sous marine ennemis. Le Wakatake, qui jusque là formait tandem avec le Kamo, est pulvérisé par pas moins de 3 torpilles qui le démembrent irrémédiablement.



14 octobre, au nord d'Aparri, le Guitarro endommage le AK Asama d'une torpille.



15 octobre, à Taipei. Le Bashaw coule 2 MSW dans la journée.





15 octobre; a proximité immédiate de Shangai, le Cod rode, espérant achever les destroyers éclopés la veille par le Ling. Le Nokaze apparait, trainant un important panache de fumée. Incapable de manœuvrer, il est achevé par 2 torpilles du Cod.



15 octobre, au sud de Shangai, le long des cotes chinoises , le Bream envoi 2 torpilles au but sur le AP Tsuyama qui transportait des troupes.



15 octobre toujours. A Aparri, c'est désormais le Gabilan qui patrouille en quête de victime. Il repère le destroyer Kishinami, passe à l'attaque, et le touche de 2 torpilles qui projettent des masses de débris dans les airs loin au dessus de la coque du navire.



Pour vous donner une idée voici une carte des zones "nord" de patrouille de mes sous marins, au 15 octobre :





Marshalls.
La mise en service de Bikini pour harceler Kwajalein a été longue et couteuse en supply; mais l'investissement n'est pas rentable.
En dépit des pertes subies la semaine dernière, les escadrilles que l'on espérait entrainer à moindre cout lancent 2 raids malheureux les 10 et 14 octobre. La DCA de l'atoll est meurtrière, et parvient à détruire 5 appareils et en endommager une vingtaine.

Ici le 10 octobre :



Pour tenter de circonscrire la DCA locale, des PB4Y de Eniwetok attaquent le 13 octobre, sans résultat.



Pendant ce temps, un Coronado en patrouille avise une barge proche de l'atoll le 9 octobre et la bombarde avec succès.



Iwo Jima.

Alerté de la présence d'une flotte ennemie, la flotte principale alliée navigue à l'Est, espérant entrer en contact avec l'adversaire. Des dizaines de sous marin sillonnent la zone à la recherche des portes avions japonais. En vain. L'ennemi à totalement disparu.

: l'armada alliée à l'ouest de Iwo Jima :



Alors la flotte revient à l'ouest, se rapprochant d'Iwo Jima pour mieux protéger la tête de pont.



La bataille se poursuit sur ce petit bout d'ile volcanique désolé.
Apres l'attaque menée le 8 par les unités blindées US, un assaut est mené le 9 octobre par les unités d'infanterie. Aucune position de défense ne tombe, mais des combats acharnés causent de sérieuses pertes à l'ennemi.



L'aviation basée à Guam a réalisée ce jour là 121 sorties pour soutenir les fantassins.



Pour préparer un nouvel assaut, la marine américaine procède à un bombardement le 13 octobre. 4 cuirassés et 3 croiseurs apportent le soutien de leurs puissantes batteries d'artillerie.



Et l'aviation réalise 111 sorties, mais avec des résultats décevants (56 hommes HS).



L'assaut des blindés désorganise un peu plus le dispositif ennemi, les pertes alliées sont 10 fois moins importantes que les japonaises.



Le 14 octobre, un nouvelle escadre de cuirassés matraque l'ile, cette fois avec une efficacité impressionnante. Les obus de marine creusent de véritables entonnoirs dans le sol, bouleversent le paysage, et font un carnage.



Une journée de combat acharnée permet aux troupes US de s'emparer de quelques fortins, mais au prix de nombreuses pertes: depuis le Mont Suribachi qui domine toute l'ile, les artilleurs japonais n'ont aucun mal à guider leurs tirs.






SOWEPAC

Wewak est visé les 10 et 11 octobre dans un but de harcèlement. Les Liberators australiens effectuent 34 sorties en 2 jours.
Ici le 10 :





PHILIPPINES

Naga est toujours âprement défendue par l'armée japonaise, qui a retrouvé des lignes de défense soigneusement préparées. Epuisées, les unités australiennes n'ont plus l'allant qu'elles avaient à Legaspi.
L'aviation tactique basée à Cotabato effectue plus de 600 sorties dans la semaine.



Une escadre US vient à plusieurs reprises bombarder les positions japonaises, les 9 et 12 octobre.
Ici le 12 octobre :




Le 12, les chars australiens passent à l'attaque, et mettent hors de combat un millier de défenseurs japonais.



Cependant, l'assaut mené le 13 octobre par les troupes australiennes ne s'empare d'aucune position défensive, et les pertes sont lourdes.



Si à Naga les alliés patinent, Legaspi se développe. Le port atteint le niveau 2 le 11 octobre.



Le 12 octobre au soir, un régiment de soutien aérien permet de redéployer au plus près du front des dizaines d'escadrilles.
Le 13 octobre, le 318e FG mène un sweep au dessus d'Aparri, et en dépit de sa supériorité numérique, perd 4 appareils et un Lightning de reco contre 8 chasseurs japonais .



Le 14 octobre, un oubli de ma part dans les ordres entraine un nouveau sweep. 37 P-47C affrontent une quinzaine de chasseurs japonais. 3 Thunderbolt sont perdus, 9 avions japonais détruits.
D'autres escadrilles de chasse, basées à Legaspi, ne fournissent pas l'escorte souhaitée aux escadrilles d'attaque qui décollent pour Aparri, où des cargos ennemis ont étés repérés. 4 appareils alliés sont abattus par la chasse nippone, pour au final un seul coup au but sur le AK Asama. Déjà touché le matin même par le Guitarro, la cargo coule.



Enfin le 15 octobre, 2 Groups de chasse sur P-47 escortent les appareils d'attaque au dessus d'Aparri. Face à plus de 120 Thunderbolt, la défense ennemie s'effondre, 12 chasseurs sont détruits. Mais le DD Kishinami est indemne. Il n'en profitera pas longtemps, touché le soir même par le Gabilan.
2 nouveaux raids voient la perte d'un P-47 pour 5 George et quelques coups au but sur les cargos japonais.



Bataille à Bataan

Le 10 octobre, l'aérodrome de Manille est encore en état de fonctionner. 3 Sonia viennent menacer dans la matinée les cargos alliés qui approvisionnent la tête de pont, sans en toucher aucun.
Mais dans l’après midi, en dépit de la CAP qui abat un des intrus, le AK Henry Gant est touché d'une bombe.



Pour contrer cette menace, la 5e Air Force lance le 11 octobre 69 B-17 contre Manille, causant de substantiels dégats.




Puis, 3 jours de suite, une escadrille de Liberator vient harceler l'aérodrome (le dernier jour clairement un oubli de ma part au vu de la fatigue des équipages). 29 sorties ne parviennent qu'a détruire un Mary au sol, sans fermer l'aérodrome, dont l'activité se poursuit !
Ici le 15 octobre :



Ainsi, le 12 octobre, 12 bombardiers japonais assaillent mes cargos. Un Sonia est abattu par un Corsair, mais le AK Leland Stanford est touché. Un peu plus tard, 9 Mary attaquent en piqué. Les améliorations de la fin 1943 ont accrus la puissance de la DCA des cargos, et un Mary est fauché en plein vol, mais cela ne suffit pas à éviter que le AK Empire Summer soit très durement touché de 3 bombes.



Le 14 octobre, la météo cloue au sol ma CAP venant de San José à Mindoro, laissant le champ libre à l'aviation japonaise basée à Manille. 12 bombardiers touchent 2 cargos, dont le AK Empire Captain par 6 projectiles.



En fin de journée, jouant les charognards, le I-2 trouve le AK Empire Hawk et l'achève de 2 torpilles.



Ce sous marin se retrouve le lendemain au nord de San José. Il repère le AK Empire Captain en perdition. 3 torpilles mettent fin à la carrière du cargo.



Pendant ce temps, San Jose atteint le niveau airfield 4 le 12 octobre, le niveau port 2 le 14 octobre.




Et Puerto Princesa, sur Palawan, est capturé le 12 octobre.



Alors que l'on se bat sur mer et dans les airs, on se bat aussi sur terre.
Tenu en respect par les nombreuses unités japonaises qui défendent la péninsule de Bataan, les forces de Tiroir a Chemise n'entreprennent aucune action. Les A -24 du 8e Bomber sq apportent un soutien tactique modeste.




Mais les japonais prennent l'initiative. Le 12 octobre, la 105e DI arrive en renfort du coté japonais. Aussitôt, les unités nippones passent à l'attaque. C'est l'inquiétude coté allié. Mais les japonais ont présumés de leur force, peut être rassurés par la présence d'unités philippines dans les rangs alliés. Or, si les unités philippines n'ont que peu de puissance de feu et d'entrainement de plus qu'en 1942, il n'en est pas de même des unités US qui s'accrochent efficacement au terrain montagneux et difficile, causant de nombreuses pertes à l’assaillant. L'offensive ennemie semble brisée.



Le terrain de la péninsule: montagne, montagne, montagne.
Ici le mont Isarog.




L'ampleur des pertes japonaises est telle que l'idée d'une contre attaque effleure longuement les pensées de l'Etat Major allié. Finalement, jouant la prudence, les forces alliées restent sur leurs positions. Mais elles participent, tout comme les australiens à Legaspi et Naga, à attirer à elles d'importants effectifs ennemis à la veille de TIROIR A CRAVATE.
Car l'opération est déjà lancée sur ses rails, plusieurs dizaines de transport naviguant lentement vers Mindanao pour se regrouper....

Le plan de TIROIR A CRAVATE :



Et l'ordre de bataille :




CHINE

RAS

JAPON

Kitakysuhu est une cible de choix pour les 4 Groups de B-29 basés à Chungking, mais l'adversaire dispose d'escadrilles de chasse sur place. Lorsque 160 B-29 survolent la ville le 9 octobre, ils aperçoivent distinctement la trentaine de gros appareils qui montent résolument vers eux. Les équipages reconnaissent les assaillants: de lents bimoteurs Nick, patauds et peu agiles . Ces derniers harcèlent les B-29, criblant de plomb les Boeing. Mais les B-29 ne sont pas sans défense, les mitrailleuses télécommandés malmènent les assaillants. Au final, une trentaine d'appareils de chaque camp sont touchés, les japonais perdant 2 Nick pour un B-29. La défense japonaise se révèle incapable d’arrêter le bombardement des usines locales.




C'est le 14 octobre que 225 B-29 venants de Saipan reviennent frapper Niigata. Dans le ciel nippon, pas l'ombre d'un intercepteur. La météo est parfaite pour bombarder: les industries locales encaissent d’énormes dégâts.



Et le lendemain, les B-29 de CHungking sont de retour, cette fois au dessus d'Hiroshima. Face à mes 146 Superfortress, une force hétéroclite de 13 bimoteurs et 12 monomoteurs grimpe de toute la puissance de leur machine vers les bombardiers. La chasse nippone à beau abattre 2 B-29, elle perd 3 appareils. Est-ce du à l'inexpérience de ses pilotes ?
Quant à la cible. C'est la population qui est touchée, les bombes tombant sur les quartiers d'habitation, alors que les ordres auraient du être de viser les industries lourdes...




SUD EST ASIATIQUE

A Sinkep Island, la DCA de la base parvient, le 9 octobre, à endommager un Emily qui passait trop près.



A Pisanuloke, mes 5 brigades bénéficient du soutien de l'aviation tactique basée à Rangoon et Moulmein.



Mais on hésite à passer à l'offensive.

A Hue, l'ordre de bataille ennemie s’étoffe dangereusement !
Pas moins de 2 divisions renforcent les défenses de la ville: la 64e DI qui arrive le 9 octobre, la 69e DI qui arrive le 11 octobre



Avant de passer à l'offensive ici, il faut attendre des renforts.
De son coté, l'ennemi ne tente aucune action offensive, peut etre assommé par quelques raids massifs de mon aviation désormais basée à Kompong Trash.



En prélude à l'offensive sur Saigon, Bien Hoa est recapturé le 15 octobre sans coup férir: l'adversaire a préféré évacuer.

[gladiatt]

16 AU 23 OCTOBRE 1944

Soubresauts japonais: bientôt la fin, ou au contraire un durcissement de la défense ?

(bon sang, je n'arrive toujours pas à réduire ma prose ).


NOPAC

Le 16 octobre, le Tambor, en embuscade depuis des semaines aux abords de Paramushiro, croise enfin une proie.
Il repère et attaque le cargo Asosan. Sans escorte, celui-ci est assailli en surface. Un coup de canon ébranle le navire, puis 2 torpilles déchirent sa coque, et enfin un dernier coup de canon LE FRAPPE; le cargo coule le lendemain.



Le jour même, l'USAAF mène un raid sur Paramushiro. En dépit de sa supériorité numérique, le 18e FS ne parvient pas à s'imposer face aux craks de l'aéronavale nipponne. Un avion est perdu dans chaque camp.



Le 21 octobre, un nouveau raid n'obtient que des résultats plus que passables. Les Zeke qui défendent les Kourilles abattent un P-38 sans perte de leur coté. Par chance les bombardiers rééquilibrent le score en détruisant un Kate au sol.




CENTPAC


Silent Service.
Encore quelques victoires pour les submersibles alliés.

-le 16 octobre, au sud des cotes du Japon, le Greenling tente une attaque sur le DD Makigumo, mais ce dernier parvient à esquiver la torpille qui lui fonce dessus.



17 octobre. C'est au sud de Tainan que le Corvina rode. Lui aussi attaque un destroyer mais là encore l'agilité de la cible lui permet d'éviter le funeste impact.




18 octobre à Hong Kong, des petits patrouilleurs japonais avisent et nettoient les mines mouillées dans le port par des sous marins hollandais ( O-19 et O-20).



18 octobre à Tori Shima, le Gar s'attaque à un patrouilleur, mais une fois encore le rate.




18 octobre, le Bluefish, au sud ouest de Tainan, parvient à incendier le DD Inazuma d'une torpille bien placée.




19 octobre, au sud ouest de Tainan, le Herring fait la peau à un petit MSW, désintégré par pas moins de 3 torpilles.



20 octobre. Le Corvina a quitté la proximité de Formose et patrouille à proximité de l'ile de Batan. Il y avise un cargo. Le AK Naples Maru est attaqué en surface. Dans un craquement sec, un obus perfore la paroi des superstructures, un autre troue la coque au dessus de la ligne de flottaison. Le cargo n'a pas le temps de réagir que déja deux torpilles perforent sa coque, laissant l'eau envahir à gros bouillon ses entrailles. Tandis qu'il commence à s'enfoncer sous les flots, les artilleurs américains continuent à le cribler de projectiles de 20 mm jusqu’à ce qu'il disparaisse.



Le 20 octobre, le Croaker navigue quant à lui tout près de Formose. En pleine nuit, il repère le DD Yukaze en patrouille. Le Croaker tend une embuscade, mais les évolutions rapides du destroyer ne lui permettent pas d'obtenir de coup au but. Le Maikaze qui navigue de concert avec le Yukaze se met alors en chasse du submersible.



Un jeu dangereux débute alors, qui dure toute la journée. Le Croaker esquive, se tapis au fond de l'eau, puis sprinte pour s'éloigner, revient sur ses pas, se fait à nouveau silencieux. En surface, Yukaze et Maikaze se relaient pour essayer de débusquer le Croaker. Finalement, en milieu d’après midi, le Maikaze se fait surprendre par 2 sillages qui le cueillent en pleine course et l'expédient par le fond.




Pendant ce temps, un autre submersible, le Tunny, s'en prend au patrouilleur Shimushu, de sinistre mémoire. 2 torpilles ont raison du patrouilleur, mais le Fukue, lui aussi réputé chez les sous mariniers américains, veille au grain. Sa réplique, efficace et brutale, endommage gravement le sous marin qui met aussitôt le cap vers la base toute proche de San Jose.



21 octobre, au sud de Swatow, le Saury repère une cible rarissime, un ravitailleur de munitions, le AE Kashino. Lent, ce navire est une cible facile pour le Saury, qui lui expédie 2 torpilles au but, sans cependant avoir de confirmation de sa destruction.



22 octobre, c'est à Takao cette fois que des sous marins anglais ont mouillés des mines, mais les dragueurs japonais les repèrent aisément avant de les neutraliser.



23 octobre, à Taipei. Le SS Tinosa retrouve le DD Yukaze. Il espère pouvoir l'accrocher à son tableau de chasse, mais la fulgurance de la réaction du destroyer lui permet d'éviter les tirs de torpilles. Le Yukaze se met en chasse à son tour, et une grenade finit par endommager le Tinosa.




Marshalls;

rien.

Iwo et Grand large

A proximité d'Iwo Jima, les escadres américaines naviguent de concert en restant sur zone en permanence. Destroyers en mission anti sous-marine, croiseurs ou cuirassés aux aguets, portes-avions se plaçant vent debout pour lancer leurs appareils, il y a plusieurs dizaines de bâtiments prêts à contrer la moindre menace.
Mais pour alimenter les chaudières de cette armada, il faut des quantités de fuel astronomiques.
Chaque jour, un ballet se déroule à proximité des pétroliers ravitailleurs: des élingues sont lancées entre les navires se rapprochant dangereusement, pour haler d'immenses tuyaux par où le fuel des ravitailleurs s'écoule dans les soutes des navires de guerre. C'est désormais une machinerie bien huilée.







Le 18 octobre, la flotte de combat principale US, ayant perdu la trace des CV japonais, est de nouveau en garde au nord d'Iwo Jima. Ce jour là, une flottille de patrouilleurs japonais s'avance imprudemment à proximité de l'archipel de Tori Shima. C'est juste à protée des appareils embarqués US.
Une formidable formation de 600 appareils s'élance.
Pour protéger l'escadre japonaise, 8 Franks vont se révéler de coriaces adversaires. Bien plus rapides que les Tony, ces avions profitent du fait que les chasseurs alliés sont si nombreux qu'ils se gênent les uns les autres. Les japonais parviennent à descendre 4 chasseurs US, mais finissent par tous succomber.
C'est alors l'enfer qui s'abat sur les 4 navires japonais. Vague après vague, les avions prononcent des piqués furieux et matraquent leurs cibles, réduites peu à peu à l'état d'épaves. Tous couleront à la fin de la journée.



Mais alors que les CV US veillent sur BELIER à Iwo Jima, des avions de patrouilles basés à Wake font une découverte surprenante. Ce 18 octobre, 6 navires ennemis sont repérés au sud de Marcus Island. Profitant de la brèche dans les zones de couverture aérienne, ils se sont faufilés par là. De plus, l’icône est en bas de l’hexagone: il y a d'autres escadres invisibles qui accompagnent ces navires.



Aussitôt, la dizaine de submersibles qui croisaient loin au nord de Marcus dans l'espoir de repérer l'adversaire convergent vers ce nouveau point. Quant aux convois de cargos et tanker qui naviguent entre Wake et les Marianes, ils sont tous déroutés loin de la flotte ennemie.

Le 19 octobre, à 400 miles à l'ouest de Wake, en extrême limite de leur portée, et privée d'une escorte à l'autonomie encore plus réduite, 36 Helldivers basés sur cette ile décollent en direction des bateaux repérés. 36 Zeke de l'aéronavale du KB les interceptent, et en abattent 9.
Les Helldivers survivants plongent, pour se heurter à la DCA nippone. 2 CVE sortent indemnes de l'attaque, mais le CL Yahagi encaisse 2 bombes.



La flotte US qui couvre Iwo se décale alors un peu vers le sud, prête à intercepter les intrus, mais bien décidé à ne pas s'éloigner de son troupeau.
Mais la flotte japonaise reste aussi loin que possible de mon armada ou de mes bases.
Le 21 octobre, les CV japonais n'ont rien trouvés à se mettre sous la dent, et mettent cap au nord vers Marcus Island.



Le 23 octobre, le Harder parvient à se retrouver sur la route des escadres japonaises. Il le peut cependant pas épingler le DD Ikazuchi qui lui passe sous le nez, et passe le reste de la journée à éviter les grenades des destroyers ennemis.



La flotte US en écran :



Pendant ce temps la bataille sur terre se poursuit.
Un bombardement naval est effectué le 20 octobre par 4 cuirassés.



L'assaut mené dans la journée par les blindés US met hors de combat 1500 soldats japonais.



un des tank touché ce jour là :




Le 21 octobre, une autre escadre de 4 cuirassés et 3 croiseurs procède à un bombardement naval plus efficace, qui met hors de combat 800 défenseurs.



Les Liberators de Guam assurent un soutien aérien de 120 sorties, à l'efficacité très modeste.



Ce jour là, l'infanterie US se bat avec acharnement pour détruire un certain nombre de bastions japonais enterrés et dissimulés dans la roche volcanique. Les pertes sont lourdes, mais l'Etat Major reste confiant.



Le 22 octobre, 4 BlackWidow bombardent nuitamment Tori Shima sans autre résultat que 2 des assaillants endommagés...




SOWEPAC

A Madang, 2 escadrilles australiennes et néozélandaises, ramenées du fin fond du théâtre des opérations, viennent s'entrainer en bombardant la base ennemie. Elles effectuent 57 sorties entre les 20 et 22 octobre.

Le 20 :



PHILIPPINES

La campagne des Philippines réclame un effort intense de la part des forces australiennes et américaines qui y sont impliquées.

Au sud de Luzon, l'aviation tactique basée à Cotabato, 3 Groups de B-26 Marauders, et une escadrille de SBD nouvellement basée à Legaspi, tentent d’assommer les défenseurs de Naga.



Un bombardement naval a lieu le 18 octobre, au résultat modeste.



Le port de Legaspi atteint le niveau 3 le 19 octobre, offrant enfin la capacité d'abriter et de docker des navires.



Le 20 octobre, un nouveau bombardement naval cherche à réduire les défenses de Naga.



Les chars australiens passent à l'attaque dans la journée, et s'ils ne peuvent réduire les fortifications adverses, ils causent de sérieuses pertes aux troupes japonaises dépourvues d'armes antichars efficaces.



Cependant, le 21 octobre, lorsque l'infanterie australienne s’évertue à s'emparer des positions adverses, elle se casse les dents sur les lignes japonaises. Les pertes sont lourdes. L'allant australien semble totalement stoppé après la victoire de Legaspi.



Cependant, dans le cadre de l'opération TIROIR A CRAVATE, il semble important de maintenir la pression sur le sud de Luzon.

Plus au nord, TIROIR A CHEMISE est englué dans une bataille de positions. La prise de Bataan dans les premiers jours du débarquement a échoué, suite à la réaction très rapide de l'adversaire, mais là aussi cet axe d'attaque mobilise des moyens ennemis.
Toute la semaine, le 8e BS et la VMSB 132 apportent un soutien modeste aux troupes qui ne tentent aucune attaque.



Pour rendre inopérante la base de Manille, 86 B-17 viennent frapper l'aérodrome le 16 octobre, détruisant 4 avions au sol.



Espérant en finir avec la menace que représente cette base, la 5e Air Force mobilise ses 5 Groups de B-24 désormais basés à Legaspi, le 17 octobre.
265 B-24 détruisent 4 avions au sol, incendient 2 navires au port, et transforment en zone lunaire les pistes d'envol.
Une deuxième vague de 66 B-17 viennent rajouter une couche un peu plus tard dans la journée.



Pourtant ce jour là, 2 Mary, petits monomoteurs dépassés, ont décollés de Manille, cherchant à attaquer des cargos à San José. Les Corsairs de la VMF 155 les interceptent et les abattent aisément.



Ce jour là, une escadre de destroyer est venue patrouiller à San José, espérant retrouver le I-2 qui avait coulé 2 cargos la semaine précédente.
C'est le I-2 qui prend l'initiative en attaquant le DD Quickmatch. Mais, avertis par leurs sonars de la présence ennemie, les destroyers sont sur le qui vive, et le Quikmatch parvient à éviter les Long Lance qui filent vers lui.
Aussitôt, le reste de l'escadre assaille le submersible. Martelé sans répit, il encaisse 3 charges et coule.



Le 20 octobre, 10 PB4Y harcèlent Manille, et détruisent un Rufe au sol (ou sur l'eau....).



San José atteint le niveau 3 de port le 20 octobre, offrant un abri aux navires alliés.



Quant à Palawan, l'ile est totalement libérée le 20 octobre avec la prise de Taytay.



Alors que l'armada US se rapproche des cotes nord de Luzon pour lancer l'opération TIROIR A CRAVATES, l'aviation US cherche à s'assurer que les aérodromes ennemis soient HS.
Aussi, les 2 Groups de B-17 de Cotabato lancent un raid le 22 octobre sur Manille, mais 15 appareils s'égarent sans trouver leur cible. Les 39 autres causent des dégâts assez modérés à la base.



Le raid est renouvelé le 23 octobre, un effort étant demandé aux équipages. Cette fois 69 B-17 frappent la base.




Consternation, ces dégâts sont insuffisants, 2 Mary qui ont réchappé aux bombes prennent leur envol et profitent de l'absence de CAP au dessus de Bataan (du à la météo) pour endommager un cargo anglais.



La campagne de Luzon se révèle plus ardue et plus couteuse que celle de Mindanao, et c'est loin d'être fini....

Les efforts les plus intenses concernent TIROIR A CRAVATE, et l'ennemi va montrer qu'il lui reste quelques griffes.

Le 16 octobre, des Helldiver et Boston, fortement protégés, cherchent à faire la peau au AK Naples Maru. L'équipage en est quitte pour une frayeur courte: les évolutions du cargo lui permettent d'échapper aux bombes US. La satisfaction de l'équipage durera 4 jours, puisqu'il succombera aux torpilles du Corvina le 20 octobre...




L'aérodrome d'Aparri, frappé la semaine précédente, semble encore abriter des bombardiers.
Aussi, afin de couvrir l'approche de TIROIR A CRAVATE, l'aviation US vient frapper l'aérodrome le 18 octobre.
242 B-24 aplatissent les installations, détruisent 10 avions et touchent le destroyer Kishinami dans le tout nouveau port crée par les japonais.



Le destroyer s'y abritait depuis des jours, cherchant à réparer ses avaries. Peine perdue, il coule le lendemain au beau milieu du port.



Décidé à s'assurer de l'absence de l'aviation nipponne, la 5e AIR FORCE frappe à nouveau Aparri le 20 octobre, 247 Liberators détruisant 2 avions au sol, et pulvérisant littéralement la base.




Rebasé à Legaspi, le 345e BG sur Mitchell intervient le jour même, et vient couler 3 escorteurs à Aparri. Le AK Kinugasa qu'ils protégeaient de la menace sous marine, endommagé de 2 bombes, est laissé en flammes.




22 octobre. Les différentes escadres US chargés du débarquement se sont approchées des cotes de Luzon, a proximité de Tuguegarao. Des milliers d'hommes et de véhicules prennent pied sur les plages, la résistance ennemie n'étant pas tres marqué sur le rivage.

Sur la cote orientale de Luzon, le rivage proche de Baggao :




Dans le ciel, un Dinah en patrouille s'approche trop près, la DCA de la flotte l'endommage, le forçant à rentrer en trainant un panache de fumée derrière lui. Mais il aura eu le temps de donner l'alerte...



Aparri et Manille ayant été copieusement bombardés, l'US Air Force envisage désormais de frapper toujours plus loin dans le dispositif japonais.
Le 23 octobre, 213 B-24 escortés par 63 P-38 prennent pour cible Takao, sur l'ile de Formose.
Il y a un an de cela je n'aurais jamais imaginé pouvoir lancer un tel raid.
La défense locale ne compte qu'une vingtaine d'intercepteurs. Ils se montrent vite dépassés par les pilotes du 35e FG qui abattent 13 chasseurs pour un seul des leurs. Les bombardiers parviennent à détruire 34 avions au sol en créant de gros dégâts sur l'aérodrome. On espère avoir paralysé l'aviation adverse.



Or il n'en est rien. L'aviation impériale japonaise va mobiliser près de 180 bombardiers et autant de chasseurs basés à Formose.
Pour la première fois depuis longtemps, l'ennemi va contester durement les cieux, s'en prenant à la tête de pont de TIROIR A CRAVATE.
Alors même que les B-24 écrasent sous leurs bombes Takao, les vagues d'attaque japonaises ont déjà quittées l'ile et s'approchent de la multitude de bateaux alliés.
Stationnés 60 miles au sud de Tuguegarao, les CV Us projettent leur CAP au dessus de la tête de pont, 34 chasseurs embarqués renforcés par 21 Lightnings du 49e FG basé à Legaspi.
Une première vague de 41 chasseurs nippons cherche à affaiblir les défenses US. Des dogfight acharnés se déroulent au dessus des navires de transports, des avions évoluant à plusieurs centaines de miles par heure en de mortelles cabrioles. Les P-38 du 49e FG sont à la peine, confrontés à des pilotes aguerris qui abattent les uns après les autres 13 Lightnings et un Wildcat. Les pilotes US répliquent, détruisant 28 chasseurs.
La poignée de Helen qui accompagne le raid se rue alors vers le BB New Mexico mais est fauchée par un tir intense de DCA qui en abat 2.
2 autres raids isolés et mal coordonnés sont interceptés par la LRCAP alliée, 10 bombardiers japonais sont détruits.




Épuisés, leurs rangs amoindris, les pilotes américains n'ont pas le temps de reprendre de l'altitude et de se regrouper.
Une vague massive de 114 chasseurs et 128 bombardiers fond sur eux. Une terrible empoignade s'ensuit. En nette infériorité, les chasseurs US sont dominés, écrasés, réduits presque à néant. 48 chasseurs sont abattus: un bilan sévère, couteux, que l'aviation alliée n'a pas connu depuis des mois et des mois !!
Pourtant, même écrasés, les chasseurs US vendent leur peau chèrement, et abatte,t 32 appareils ennemis.
Les bombardiers japonais ont alors le champ libre. Pendant d'interminables minutes, des vagues d'appareils se précipitent vers les transports alliés. Au milieu des éclats d'obus de la DCA et des traçantes, ils évoluent, cherchant une proie. Bon nombre d'entre eux, gênés par les tirs défensifs, ne peuvent ajuster leur tirs, mais beaucoup trop y parviennent, matraquant la flotte alliée. 20 transports sont touchés plus ou moins durement.
Avec 4 torpilles le démembrant, le AP American Legion sombre immédiatement.




9 autres vagues d'attaque se succèdent, avec des résultats bien moindres. Les chasseurs US envoyés en renfort abattent 5 appareils de plus, en perdant eux même 3.




Ne serait le raid sur Takao, la journée serait une victoire nette de l'aviation japonaise.
Incapables de protéger la flotte US trop éloignée, 3 Groups de P-47 n'ont pas pu apporter leur concours à cette bataille. Il est urgent que l'armée US s'empare d'une base d'où la chasse pourra protéger la tête de pont.
En 2 jours, l'armada alliée à débarquée la quasi totalité de 8 divisions. D'autres sont en approche. Il va s'agir désormais de s'emparer de Tuguegarao au plus vite !




CHINE

RAS

JAPON

Les raids se poursuivent au dessus des villes japonaises.
Le 20 octobre, 200 B-29 venant de Saipan bombardent l'antique capitale impériale de Kyoto protégée par à peine quelques batteries de DCA.



Le lendemain, les 4 Groups de B-29 basés à Chungking frappent Okayama. 5 Tony seulement font face aux 160 quadrimoteurs, et l'un des chasseurs succombe aux mitrailleurs américains. Les dégâts sont maigres mais s'accumulent avec les précédents.





SUD EST ASIATIQUE

A Pisanuloke, la 24e DI japonaise fait toujours face à mes 5 brigades qui n'osent passer à l'offensive. En attendant, l'aviation harcèle l'unité ennemie.




A Hue, l'armée impériale a concentrée de gros moyens. Persuadée de pouvoir malmener l'armée britannique, elle lance une offensive le 18 octobre. Alors que les soldats nippons sont 2 fois plus nombreux que les britanniques, ceux-ci enrayent l'assaut ennemi.




Mais il semble impensable pour l'heure de couper la voie de retraite japonaise en Indochine.
L'aviation alliée épaule les fantassins en lançant quelques raids massifs.



Le 20 octobre, la 3e DI Indienne rejoint les rangs alliés face à Hue, capable de résister à de nouvelles actions offensives japonaises, mais incapable de passer dans l'immédiat à l'attaque.



Le 23 octobre, pour la première fois l'aviation alliée basée à Kompong Trach effectue un raid contre les positions japonaises à Saigon : plusieurs unités britanniques se sont mises en marche depuis Bien Hoa....

[Elvis]

Chaud le débarquement au nord des Philippines et à portée de l aviation japonaise basée à Formose

A mon avis, même amoindris, ils vont revenir dès le lendemain, sachant que ton aviation qui devait protéger ta flotte de débarquement a bien morflé aussi...

[gladiatt]

24 AU 31 OCTOBRE 1944

Un ennemi qui s'accroche avec l’énergie du désespoir.


NOPAC

A Paramushiro, l'action, pour changer, est navale.
Le 25 octobre le Tambor repère un cargo tout proche de l'ile. Il lui expédie 2 torpilles qui condamnent le cargo. Celui ci coule le lendemain.



Mais le Tambor ne s’arrête pas en si bon chemin. Il intercepte un autre cargo, le Yamagiri maru, et entame un duel au canon avec lui. Alors que des rafales de 20 et 40 mm secouent le cargo, celui-ci se rebiffe, avec ses maigres moyens : une rafale de 13,2 mm vient griffer la coque du Tambor. Mais les 4 torpilles tirées par le sub désintègrent le cargo.




Le 26 octobre, les forces aériennes des Komandorski se présentent pour leur raid hebdomadaire sur Paramushiro. Surprise ! Au lieu d'une poignée de Zeke endurcis, les 55 appareils alliés se trouvent confrontés à 30 chasseurs japonais: une escadrille de 26 Tony est venu prêter main forte aux défenseurs de Paramushiro. Une fois la surprise passée, les pilotes du 18e FS se coltinent les Tony et les Zeke. Le dogfight est sévère, 7 Tony tombent, mais également 2 Lightnings et 3 Liberators.





Plutôt que de renvoyer les bombardier face à une telle opposition, un sweep est lancé le 31 octobre. Contre les 27 chasseurs japonais, les 23 P-38 parviennent à en abattre 2 fois plus qu'ils n'en perdent.
C'est chaud le nord !




CENTPAC

Silent Service.

24 octobre, au sud de Swatow en Chine, le Saury réalise un carton. Dans son périscope, au milieu des crêtes des vagues, se profile le croiseur Nachi. Celui-ci traine derrière lui un immense panache de fumée, il doit être endommagé (il avait été frappé dans le port de Hong Kong il y a quelques semaines par un raid de B-29 venus de Chungking).
Même ainsi, c'est une cible plus rapide qu'un cargo. Le Saury tire une salve en éventail, et un seul projectile vient percuter le croiseur. Cependant, l'impact déclenche un cataclysme. La coque est éventrée au niveau de la Sainte-Barbe, qui s'embrase et explose d'un coup. Une immense colonne de fumée, de flammes et de débris s'élève haut au dessus du croiseur, stoppé net. Le navire roule sur le flanc, tandis qu'une série de détonation secondaires ravagent ses entrailles et projettent des débris d'acier brulants en tout sens, puis le navire s'enfonce sous les flots.
Secoué par l'escorte, le Saury encaisse une charge avant de s'esquiver.



24 octobre, à Taipei, le SS Batfish s'attaque au DD Yukaze, qu'il manque.



25 octobre, c'est au tour du Snapper de tenter sa chance en attaquant le Yukaze, mais décidément, l'agile destroyer se se laisse pas faire et esquive les tirs.

Un peu plus tard, le Snapper s'attaque à un autre destroyer, le Maikaze. Cette fois, c'est la torpille qui est défectueuse.



Ce jour là, à Hong Kong, une flottille de corvettes japonaise repère et drague des mines mouillées à proximité du port par des sous marins anglais. Pendant les opérations, une des corvettes heurte une mine et sombre dans la journée.




26 octobre, au nord de Brunei, sur la cote septentrionale de Borneo. Un convoi japonais s'approche du port de Brunei, pisté depuis 3 jours par mes patrouilleurs maritimes. 3 submersibles anglais tentent de se placer en interception. Enfin, au bout de 3 jours, alors que Brunei est bientôt en vue, le Tally Ho s'attaque à un transport, qu'il touche d'une torpille.




Le 26 octobre, le Through, qui lâche des mines à Tainan, est repéré entre deux eaux par un Ann qui parvient à lâcher sa bombe suffisamment prêt pour l'endommager.




27 octobre. A Tainan, le japonais drague les mines qui dérivent à proximité du port.



27 octobre, au sud de Shangai, le Barbero crible d'obus le AK Nankai, avant de lui envoyer 2 torpilles au but. Le cargo parvient à fuir, bas sur l'eau et éclopé.



Peine perdu, un peu plus tard dans la journée, le SS Hammerhead achève le malheureux qui faisait route vers Shangai.




27 octobre, au nord de Tori Shima, le Greenling est secoué et endommagé par une flottille ASW japonaise.



A Swatow, le AE Kashino touché la semaine dernière coule.



30 octobre, le Tally Ho maraude encore juste au nord de Brunei lorsque son radar lui renvoi 2 échos en approche. Le Tally Ho prend un cap d'interception et bientôt il repère 2 ombres dans son périscope. Identifiant les silhouettes qui se découpent sur l'horizon, il choisit d'attaquer d'abord le destroyer Sazanami, et parvient à le toucher d'une torpille. Puis, débarrassé (au moins momentanément) de l'escorte qu'il fournissait au TK Anyo Maru, il vient s'en prendre au pétrolier, lui aussi touché d'une torpille. Aucun ne coule, probablement réfugiés en urgence dans le port de Brunei.



30 octobre, à Takao, le Gurnard patrouille en surface, espérant être dissimulé par la nuit. Mais le Yukaze, encore lui, repère la mince silhouette de sous marin, et l'engage au canon. Un obus de 4,7 inch éclate dans une gerbe de flammes sur la poupe du Gurnard, forçant celui-ci à plonger en catastrophe.



Cela n’empêche pas le sous marin de s'attaquer un peu plus tard au cargo AK Tonegawa, qui encaisse 2 torpilles et coule.



Durant la semaine, plusieurs contacts ont lieu entre des barges sillonnant le détroit reliant Formose à Luzon, et mes sous marins, qui détruisent plusieurs de ces petites embarcations.




CV Japonais.

Les escadres japonaises qui avaient fait une descente futile au sud de Marcus Island se replient vers le nord.
La flotte US reste à proximité d'Iwo Jima, son rôle principal étant d'assurer la protection de la flotte de débarquement.
En revanche, une nuée de submersible tente de retrouver et d'intercepter l'adversaire.
Le 26 octobre, le S 33 se trouve sur la route de la flotte adverse. Repéré par les destroyers japonais, il est matraqué par le Hibiki qui place une charge au but sur l'infortuné submersible.



Sévèrement endommagé, le S 33 embarque des tonnes d'eau, et lutte plusieurs jours durant contre le naufrage qui le guette. Le 31 octobre, cruelle ironie du sort, alors qu'il n'est plus qu'à 60 miles de Wake, il sombre.




Le 27 octobre, le S 44 a retrouvé à son tour trace de la flotte ennemie. Il tente une attaque sur le DD Hatsushima mais se révèle incapable de le toucher.



Le 30 octobre, loin au nord de Marcus Island, le Porpoise qui participe à la traque se fait surprendre par un hydravion Dave certainement lancé depuis un navire japonais. Les canons de 20 et 40 mm du Porpoise criblent de plomb le Dave qui repart penaud et endommagé. Mais les submersibles US qui épaulent le Porpoise ne parviennent pas à refaire contact avec les escadres japonaises pourtant toutes proches....



Marshalls.
Kwajalein est harcelé régulièrement dans la semaine. Du 25 au 27 depuis Eniwetok, puis les 29 et 30 depuis Bikini, les appareils alliés bombardent l'atoll, mais cette fois sans pertes: la DCA est bien moins drue qu'auparavant.




Iwo Jima.
28 octobre. Au cœur de la nuit profonde, des dizaines de silhouettes confuses se détachent difficilement sur l'horizon qui se confond avec le ciel nocturne. Soudain, une lueur vive, aveuglante, déchire les ténèbres, illuminant d'un coup l'étendue de l'océan, découpant des dizaines de navires. Alors que l'éclat, d'un blanc aveuglant, décline et vire à l'orange sinistre, une onde de choc parcoure la flotte, un bruit assourdissant se répercute au ras des vagues.
Dans une explosion dantesque, le CVE Munda se cabre, son pont d'envol se disjoint, l'ilot latéral s'incline sur le coté, et le navire retombe lourdement sur la surface de l'océan. Une unique torpille tirée par le I-4 a disloquée le petit porte-avion d'escorte.
Alerté par le chaos, une meute de destroyers se met en chasse, grenade à tout va et fouette l'océan de ses coups, sans obtenir de coup au but contre l'intrus.



Désemparé, son équipage décimé, le CVE ne peut faire face à la dévastation qui l'a frappé, et il coule le lendemain, avec tous ses appareils....Sacré coup de l'adversaire....et pour mon compte de points de victoire.



Au sol, la bataille se poursuit, lente, harassante, s’éternisant en longues heures d'angoisse.
Dans le vacarme permanent des tirs incessant de l'artillerie, les fantassins se terrent dans leurs trous, tentant de surveiller les abords immédiats de leurs positions. Les assauts sont rares, sporadiques et violents, mais la bataille n'est pas d'une intensité remarquable: juste longue et pénible.

Le 27 octobre, les escadres de cuirassés US sont revenues de Saipan où elles ont fait le plein de fuel et de munitions.
L'une d'elle procède à un bombardement naval contre l'ile. 4 Cuirassés et 3 croiseurs ne parviennent qu'a mettre hors de combat 300 adversaires.



Ce 27 octobre, les blindés alliés lancent un assaut, mettant hors de combat 1600 japonais pour une centaine de GI's.



Le 28 octobre, l'aviation vient apporter son soutien, 100 Liberators. Et des B-24 effectuent 29 sorties le lendemain.



Une nouvelle escadre de cuirassés réalise un bombardement plus efficace que celui de la veille.



Et les fantassins passent à l'assaut. Ce sont encore de couteux combats qui permettent de réduire les fortifications ennemies, mais à quel prix.



L'état des unités US permet d'envisager une nouvelle journée d'offensive le lendemain 29 octobre. De nouveaux bastions japonais sont enlevés de haute lutte. L'Etat Major est confiant, les choses devraient s'améliorer bientôt.





SOWEPAC

A Medang, 3 escadrilles s'entrainent à peu de frais les 25 et 26 octobre.



Wewak est harcelé les 28 et 29 octobre.




PHILIPPINES

Tiroir a chaussettes semble à l’arrêt. Les troupes australiennes sont en manque de ravitaillement en dépit de la présence de 2 HQ dans leurs rangs, qui attirent à eux le supply en provenance du port tout proche de Legaspi.
Mais Legaspi, devenu une gigantesque base aérienne, monopolise l'essentiel du ravitaillement.
Des convois de précieux ravitaillement accostent en fin de semaine, amenant plus de 60000 points de supply, espérant bientôt remédier à la situation.
Legaspi atteint le niveau d'aérodrome 5 le 30 octobre.




Tiroir a chemise patine aussi.
2 escadrilles de SBD basées à San José harcèlent l'ennemi quotidiennement.



Pour faire face à l'offensive américaine sur Tuguegarao, l'ordre de bataille ennemi s'est réduit.

Cet affaiblissement incite l'Etat Major a passer à l'attaque le 26 octobre. Les positions japonaises tiennent, bien qu'une ligne de fortification soit réduite.



Face à la situation de Tuguegarao, et une fois reposées, les troupes alliées repartent à l'assaut, espérant imposer trop de contraintes à l'ensemble du dispositif ennemi sur Luzon.
Le 31 octobre, une nouvelle ligne de défense tombe.



Le 30 octobre, l'ile de Boac, sur le chemin entre Legaspi et Bataan, est capturé par le Sparrow Bataillon, pour faciliter les déplacements dans l'archipel.



Manille encaisse 2 raids modestes les 28 et 30 octobre, incapables de fermer la base mais détruisant 2 avions au sol.



Tiroir a cravates.

Suite au raid japonais du 23 octobre, 2 cargos américains coulent avant d'atteindre le port de Legaspi/ Le AK Arizonan le 24 octobre, et le Norman E. Macks le 25 octobre.



Pour contrer la menace aérienne japonaise venant de Formose, un raid massif de 244 B-24 vient écraser l'aérodrome de Takao le 25 octobre. Les 12 chasseurs japonais qui tentent de défendre la base perdent 10 des leurs pour 2 P-38, mais pas moins de 70 appareils sont pulvérisés au sol.



Cependant l'adversaire réagit. Le 26 octobre, c'est de Tainan que décolle un raid comptant 50 chasseurs et 36 bombardiers pour assaillir ma tête de pont. Mais cette fois ci la LRCAP alliée s'est étoffée.
Glissée un peu au sud pour se trouver hors de portée de la chasse ennemie et ainsi dissuader toute tentative des bombardiers ennemis contre elle, la flotte alliée déploie une CAP massive au dessus de Tuguegarao. 70 chasseurs alliés interceptent le raid.
De durs combats déchirent le ciel de sillages enflammés et de trainée de condensation. Pas moins de 8 chasseurs alliés sont perdus, pour 41 chasseurs japonais et 13 bombardiers.
Le BB New Mexico dresse un intense barrage de DCA qui déchire 2 Helens. Mais, se faufilant au ras des flots à toute vitesse, 2 Betty prennent en ciseau l'immense bâtiment de guerre. 2 torpilles filent sur le New Mexico, qui esquive l'une mais ne peut éviter la seconde. La robuste structure du navire lui permet de ne pas sombrer, et il rallie Legaspi le 29 octobre au soir.



Les japonais renouvellent un raid le lendemain 27 octobre: 32 chasseurs et 20 bombardiers se heurtent à une CAP de 84 chasseurs. Si 2 Corsairs tombent, 18 chasseurs japonais et 16 bombardiers s'abattent en flammes sans réussir un seul coup au but sur des navires.




Une fois les équipages des Liberators reposés, la 5e Air Force renvoie le 29 octobre 256 d'entre eux, escortés par 131 P-38 au dessus de Tainan. 7 Tony en défense ne peuvent rien: ils sont tous abattus et 68 avions détruits au sol.




Pourtant, l'aviation japonaise s'évertue à interférer avec mon débarquement. Décollant à nouveau de Takao, vite remis en état par le génie adverse, une série d'attaques désordonnées les 30 et 31 octobre totalisent 72 sorties, et font face à une puissante CAP de 100 chasseurs alliés.
Les seuls résultats obtenus par l'ennemi sont la perte de 23 appareils, sans un seul coup au but contre un un navire.



Tiroir a cravate devait se dérouler comme une promenade militaire, avec la prise rapide de l'aérodrome de Tuguegarao.
Au lieu de cela la campagne se transforme en bataille d'une intensité effroyable, reléguant Iwo Jima au rang d'aimable plaisanterie. L'aviation tactique cherche à apporter son concours mais la météo gène à plusieurs reprises les décollages, privant à plusieurs reprises les troupes au sol d'un utile support tactique.
Les opérations aériennes ne surviennent que les 25, 26 et 27 octobre puis 30 et 31 octobre.



Le premier assaut, le 24 octobre, ne parvient pas à s'emparer de la position.
Alors que le dispositif allié s’étoffe, l'ennemi se renforce de son coté, à une vitesse qui contrarie les projets alliés. Le 25 octobre, un régiment blindé et une brigade sont présents pour interdire la base. Le 26 octobre, un 3e jour d'assaut se révèle couteux pour chaque camp, mais l'arrivée du 11e régiment japonais permet encore à l'ennemi de contester la base.
S'acharnant, l'armée alliée poursuit ses assauts, mais l'adversaire alimente la bataille avec de nouvelles troupes, la 55e Brigade s'étant jointe à l'ordre de bataille des défenseurs.
Bien que réduisant chaque jour les lignes de défenses, les 130.000 soldats US ne peuvent toujours pas percer le 28 octobre. Les combats, se déroulant sur un terrain accidenté et fortement boisé, favorise la défense et engendre de nombreuses pertes de part et d'autres.



Le 29 octobre, le 6e TK Rgt japonais s'est replié, sans que l'armée US ne puisse s'imposer pour autant.
L'infanterie, s'épuisant en de durs assauts, l'armée US revient à la tactique consistant à ne lancer que les blindés à l'assaut, le 30 octobre. Cette fois c'est le pompon, une division blindée entière (qui il y a 15 jours tentait une contre attaque à Bataan), défend Tuguegarao. Plus de 400 véhicules de part et d'autres s'engagent à bout portant sans résultat décisif. Tuguegarao se dérobe encore, au grand dam de l'Etat Major allié.
Au 31 octobre, la base n'est toujours pas tombé, et les combats d'une intensité rare ont coutés 5000 hommes à chaque camp.

Ici une tentative de résumé des combats :






CHINE

Plutôt que de rester l'arme au pied, l'aviation chinoise lance un raid sur Hanoi le 31 octobre.
6 Tojo présents se font écharper au prix d'un P-40N, mais les dégâts sur la base sont modestes.




JAPON

27 octobre. A peine 40 B-29 sont venus de Saipan bombarder Nagaoka pourtant sans défenses. Les usines de moteurs Mitsubishi sont malgré tout endommagées.




Le 28 octobre au dessus de Kyoto, les 150 B-29 venant de Chungking ne rencontrent aucun intercepteurs. Les dégâts sur les usines de moteur Mitsubishi sont assez conséquents.




SUD EST ASIATIQUE


Pas encore d'offensive à Pisanuloke, mais l'aviation tactique harcèle la 24e DI japonaise.




Le 29 octobre, la 7e DI Indienne renforce le dispositif allié pour faire face à l'ennemi à Hué, mais sans avoir assez de punch pour passer à l'attaque.



A Saigon, l'armée britannique profite d'un soutien tactique important, mais la DCA locale est assez puissante et abat 2 B-25.



L'armée britannique passe à l'assaut le 27 octobre, réduisant le niveau de défense.



Cependant le lendemain, l'ennemi brise l'élan allié.



Des renforts, qui stationnaient et se reposaient à Singapour sont en cours d'acheminement par Kompong Trach.
Par ailleurs cette base atteint le niveau d'aérodrome 5 le 31 octobre.




BILAN DU MOIS

Les bombardements stratégiques n'ont que peu à craindre d'une défense aérienne inexistante ou presque. Rien à voir avec ce que les équipages alliés connaissent au dessus de l'Europe (Elvis ).
Les pertes opérationnelles de l'aviation alliée restent trop importantes à mon gout mais ne semble pas pouvoir être réduites.
De durs combats au sol ont permis à l'ennemi d'engranger une centaine de VP, mais l'armée alliée dans son ensemble en remporte 6 fois plus.
Quant aux pertes navales, quelques coups heureux lui ont permis de grappiller quelques points.




Si en 1943 le ratio de VP pour obtenir la victoire est de 3 pour un, il ne sera plus que de 2 pour un en 1944.
L'ennemi pourrait obtenir 38000 points d'ici le 31 décembre. Il me manque donc environs une dizaine de millier de point pour arracher la rédition de l'Empire Japonais......

[gladiatt]

1 au 7 novembre 1944


NOPAC

3 novembre, le Trout, qui patrouille tout proche de l'ile de Paramushiro, est attaqué par un Jake qui lâche sa bombe a proximité du sous marin. Les dégâts sont minimes mais le Trout prend malgré tout le cap du retour vers Attu et Kiska.




Le 6 novembre, le 18e FS réalise un nouveau sweep dans le ciel de Paramushiro, espérant amoindrir les défenseurs ennemis. La sortie est un succès net, pour la première fois depuis bien longtemps sur ce front. Les P-38J abattent 6 adversaires sans perdre un seul des leurs; Le 1st LT Jones abat sa 7e victime.





CENTPAC


Silent Service.

Cette semaine, CombSubPac compte ses pertes ...

1er novembre, au sud de Hong Kong, le Drum tire sur le PC Uji, mais sa torpille est défaillante. Les répliques endommagent le submersible mais sans le mettre en danger de naufrage.



3 novembre à Pescadores, les MSW japonais procèdent au dragage des mines lâchées par les sous marins anglais.



3 novembre, à l'est de Shangai, le Hammerhead attaque le AP Kuraido Maru et le touche de 2 torpilles.




3 novembre, au sud de Sendai: l'Asagumo repère et attaque le SS Blower qui traquait la flotte de combat japonaise. Le destroyer japonais parvient à endommager le submersible.




A l'Est du Japon, un autre submersible est attaqué avec succès par une flottille ASW japonaise. Le Cero encaisse 2 coups au but et se replie vers les Marianes.





Quelques instants plus tard, le Golet avise un ravitailleur japonais, au sud de la grande baie de Tokyo. La cible est tentante, le Golet passe à l'attaque et parvient à incendier le ravitailleur dont la cargaison de fuel s'embrase sous le choc.



Alors que le Golet incendie ce ravitailleur, le Porpoise quant à lui est repéré par une flottille de patrouilleurs japonais qui l'endommage.




Le 4 novembre, au sud de Shangai, le Snapper coule le PC CH5 de 3 torpilles.




4 novembre, au sud de Tokyo. Le Blenny repère le AO Janbi touché la veille par le Golet. 2 torpilles achèvent le ravitailleur. Dans le sillage du Janbi, un autre pétrolier ravitailleur se profile. Le Blenny passe à l'attaque, mais l'escorte adverse le gêne, et il rate sa cible. Il tente de s'esquiver, mais en vain. Un grenadage intense brasse l'océan, malmène le submersible et son équipage, et 5 charges viennent démembrer le sous marin, perdu corps et bien.



Le même jour, au sud de Shangai, le Cavalla, pris en chasse par des patrouilleurs nippons, subit le même sort: un long grenadage, plusieurs coups au but, et la disparition dans les profondeurs de l'océan.
Deux sous marins perdus dans la journée, c'est un sacré coup dur pour CombSubPac.




Pendant ce temps, d'autres submersibles interceptent des barges effectuant la liaison entre Tokyo et Tori Shima, et 3 sont coulées dans la semaine.



5 novembre, au sud de Shangai, le Triton incendie le AK Yamafuji d'une torpille.
5 novembre au sud de Swatow, le Mingo rate un pétrolier.

6 novembre, au sud de Tokyo, le Golet tente une attaque sur un patrouilleur japonais. Celui-ci esquive in extremis le projectile, puis se met en chasse avec le reste de sa flottille. Retrouvé, grenadé, le Golet encaisse un coup.



6 novembre, au sud de Taipei, le Finback envoie par le fond le AK Yagi.



6 novembre. Au cœur de la Mer Jaune, à quelques miles de la cote coréenne, le Scamp maraude dans l'espoir de harceler le commerce japonais. En lieu et place d'un cargo, c'est un monstre de 32700 tonnes qui passe dans son périscope: le Mutsu. Le Scamp attaque aussitôt. Sa cible est lente, surprise, peut être endommagée (le navire fume). 2 torpilles frappent le cuirassé coup sur coup sur la partie arrière du bâtiment. L'escorte se révèle incapable de retrouver le Scamp qui fuit à toute vitesse.



Une telle proie ne peut être laissée tranquille, il ne faut pas la laisser fuir. 2 autres submersibles présents sur zone se partagent avec le Scamp la tâche de retrouver le Cuirassé blessé.
Mais le lendemain, le Lagarto, qui retrouve trace du Mutsu, est incapable de prononcer une attaque, gêné par l'escorte et par les hauts fonds et les cotes trop proches. Il laisse le cuirassé s'en sortir...



7 novembre. Le Mingo, décidément peu inspiré, rate une nouvelle cible, le AP Taibun Maru.

7 novembre, à Taipei, le SS Batfish parvient à couler d'une seule torpille le PC Ch 4.




Iwo Jima

Sous la surveillance constante de 2 flottes, réparties en des dizaines d'escadres, l'armada américaine continue à débarquer du matériel sur les plages d'Iwo Jima.
Le 2 novembre, une escadre de 4 cuirassés ouvre le feu sur les positions japonaises, mettant hors de combat plus de 400 hommes.




Les blindés passent à l'attaque dans la journée. La tactique est rodée, les pertes japonaises sont 10 fois supérieures aux pertes alliées.



Le lendemain 3 novembre, selon la tactique habituelle des 2 vagues, une seconde escadre de cuirassés pilonne Iwo Jima, et met hors de combat près de 3000 hommes.



Dans la journée, 24 Liberators viennent apporter leur concours aux fantassins.




L'assaut est rude, comme d'habitude. En dépit des effectifs ennemis mis hors de combat la veille et la nuit même, l'armée US subit des pertes non négligeables. Mais les fortifications japonaises perdent encore un niveau...
La victoire finale n'est peut être pas loin...




Marshalls.
Les bombardements ont repris contre Kwajalein. La DCA de l'atoll semblant moins violente, les escadrilles basées à Bikini repartent à l'attaque, mais quelques Hellcats F6F-5N sont cependant victimes des tirs japonais.



Pendant ce temps, des flottilles de barges transitant entre Kwajalein et les autres iles des Marshalls sont aperçues. L'une d'elle est coulé par un Coronado en patrouille.



Bien décidé à pourrir la vie de la garnison adverse, le DE Wyman, jusque là en patrouille à Eniwetok, est dépêché pour tendre une embuscade aux barges. Dans la journée du 7 novembre, il intercepte 8 barges, incapables de se défendre, en canonne 4, dont une coule aussitôt.



L'atoll de Kwajalein :




SOWEPAC

Les missions d'entrainement et de harcèlement se poursuivent contre Madang.




PHILIPPINES

La résistance acharnée des japonais retarde la libération de la grande ile de Luzon.

Au sud, Tiroir à Chaussette est englué à Naga: en dépit d'un ravitaillement pléthorique à Legaspi, celui-ci parvient de manière insuffisante aux premières lignes australiennes sur le front, et ce malgré la présence de HQ avec les troupes.



Y'a t'il des pertes le long de la voie de chemin de fer reliant Naga à Legaspi ? Des saboteurs japonais sur mes arrières ?
Pour compenser cet état de fait, 3 cargos sont envoyés sur la cote de Naga, espérant délivrer au plus prêt le ravitaillement qui fait défaut.
Non seulement c'est peine perdue, mais les bribes d'aviation ennemie basée à Manille réagissent.
Le 4 novembre, 2 Mary s'en prennent au AK Empire Duchess et l'un d'eux parvient à l'incendier d'une bombe. L'autre est promptement abattu par la DCA des cargos.



Pour contrer cette menace omniprésente à Manille, il est prévu un raid sur l'aérodrome, mais la météo ne permet de le lancer que le 7 novembre. Ce jour là, 84 B-17E détruisent 3 avions au sol, mais sans être sur de fermer la base.




Au centre, Tiroir a chemises ne progresse pas non plus.
Tout au long de la semaine, les appareils basés à San José effectuent une vingtaine de sorties quotidiennes pour soutenir les troupes au sol.



Correctement ravitaillées, celles-ci passent à l'assaut le 1er novembre, réduisant les fortifications ennemies.



San José, sur l'ile de Mindoro, devient une base importante: port nv 4 le 1er novembre, Airfield nv5 le 3 novembre.




La politique alliée de construction tous azimut bat son plein.

Au nord, Tiroir a Cravates se bat pour la position de Tuguegarao.
Une semaine de combat intenses et ininterrompus n'avaient pas suffi aux Xe, XIe et XIVe corps pour s'en emparer, confrontés à une armée japonaise alimentant régulièrement la bataille avec de nouvelles unités.
Pressés par l'Etat Major impatient, les GI's peuvent enfin profiter d'un appui aérien conséquent en début de semaine lorsque la météo devient plus clémente.



Tandis que les bimoteurs frappent sans relache les points d'appuis japonais, les P-47 s'efforcent de bombarder les blindés japonais.
De rudes combats épuisent les combattants de tout bord, éreintés par des tirs d'artillerie permanents, et de tres dures empoignades, parfois au corps à corps. La présence d'une division blindée adverse entraine des combats de chars au beau milieu de la jungle dense: il y a pres de 300 blindés japonais qui font face à mon armée.

Un char Ha-Go 95 détruit au milieu de la jungle :



On se bat chaque jour, et enfin, le 2 novembre, après 9 jours de bataille, Tuguegarao est prise ! Les japonais retraitent. 2 jours de combat ont coutés 1500 hommes aux américains, et 2300 aux japonais.



Désormais, une couverture aérienne peut être déployée au dessus de la flotte d'invasion depuis la base elle même. Le génie des unités d'attaque et de base aérienne réparent les installations en une journée, et débutent le développement de la base. 4 unités de Seabees sont dans des convois, en route vers Tuguegarao...
Le 475e FG veille sur le nord de Luzon, appuyé par les chasseurs de la flotte. Lorsque le 5 novembre, 2 Nicks décollent de Manille et volent au ras des vagues pour approcher ma flotte, ils sont promptement descendus.



Avec désormais un pied a terre solide, l'armée US envisage la poursuite de l'ennemi.)
Pourtant, quelques unités sont très éprouvées par les combats: la 2e USMC du Général Marston et la 40e DI du général Brush vont stationner quelques temps, pour si possible récupérer.




Le Xe Corps du genéral Clarkson a lui pour objectif de pousser à l'ouest en direction de Lingayen, pour couper toute voie de retraite aux unités japonaises qui ont refluées sur Aparri et la cote nord.




En tête du mouvement, 2 bataillons de chars franchissent la rivière Cagayan, et se heurtent à deux unités japonaises, dont la 110e DI venue renforcer le dispositif ennemi le long du cours d'eau. Face à 24000 hommes, mes blindés sont stoppés net.



L'état des bataillons :




La rivière Cagayan et les crètes derriere :



Le temps que l'infanterie, qui progresse plus lentement, les rejoignent ( ce qui déclenchera une shock attack en franchissant le cours d'eau), l'Etat Major décide d'appuyer ces 2 unités blindées par un soutien aérien.
Le 7 novembre, un appui massif frappe les lignes ennemies.



Il était temps, l'ennemi mène une contre-attaque sur mes blindés qui manque les repousser de peu.



Sur la cote nord, le XIe corps doit progresser vers Aparri, ou 3 bataillons de chars se présentent le 7 novembre. L'adversaire y dispose de 2 brigades et de la 3e Tk Div qui ont étés refoulées de Tuguegarao, probablement fortement désorganisés. Le QG du XIe corps, chargé de ce flanc nord, ne peut progresser à travers les ZOC, en revanche l'infanterie progresse à la suite des chars et devrait bientôt rejoindre.



Du 5 au 6 novembre, l'aviation alliée frappe d'ailleurs les unités ennemies qui se sont réfugiées à Aparri.



3 divisions supplémentaires sont en route dans des transports, pour exploiter le débarquement.

Tout au nord de Luzon, les submersibles alliés mettent à mal les convois de barges faisant la noria entre les Philippines et Formose, en coulant 5.



Et désormais basé à Tuguegarao, le 47e FS sur A-36 Apache en coule deux au nord de Laoag, causant de nombreuses victimes à bord.






CHINE

Les bombardements sur l'aérodrome désormais déserté de Hanoi se poursuivent les 1 et 2 novembre, sans grands résultats contre les installations.

Ici le 1er novembre :



Bien que l'armée chinoise ne soit pas en état de mener des grandes offensives, l'Etat Major hésite à se porter contre les unités japonaises: mobiliser les divisions japonaises en Chine évitera peut être que l'ennemi se renforce outre mesure contre les britanniques en Indochine, mais la crainte reste grande de donner l'occasion aux japonais de remporter quelques victoires contre les armées chinoises.


JAPON

Niigata, sans défense digne de ce nom, reste une cible de choix. Le 2 novembre, 237 B-29 décollent de Saipan et frappent ses industries.




En revanche, les 175 B-29 venant bombarder Okayama le 3 novembre pensaient ne rencontrer aucune opposition, la base n'abritant pas d'appareils ennemis. Or une vingtaine d'intercepteurs montent à leur rencontre, les harcelant, réalisant plusieurs passes de mitraillage. Mitrailleuses et canons crépitent en altitude, projetant des milliers de projectiles brulants dans l'air glacé, qui déchirent l'aluminium et l'acier, et parfois les chairs. Dans un chaos mortel, pas moins de 5 chasseurs nippons sont détruits par les tirs défensifs, mais 5 B-29 succombent également. 29 autres sont endommagés, dont près d'un tiers n'atteindront jamais Chungking.
Cette fois la défense locale s'est manifestée. Mais une trentaine de points d'industrie ont étés frappés.




SUD EST ASIATIQUE

Kuching.
Progressant de nuit et sous le couvert de l'aéronavale anglaise, une modeste escadre de 2 cuirassés et 2 croiseurs bombarde Kuching dans la nuit du 1er novembre. Les dégâts sont faibles.



Dans la journée, 70 quadrimoteurs effectuent un bombardement modeste.



Pendant ce temps, Taiping et Bandou sont développés, dans le cadre du grappillage de VP;




A Pisanuloke, l'aviation tactique intervient du 2 au 4 novembre.



L'arrivée de la 55e DI chinoise et le harcèlement aérien continu contre la 24e DI japonaise incite l'Etat Major a passer à l'offensive dès le 2 novembre.
Après 3 jours de combat ininterrompus, qui coutent 377 hommes aux alliés et 1484 aux japonais, la 24e DI reflue sous les coups.



L'aviation tactique vient harceler cette unité en retraite le 7 novembre.



A Hue, l'ennemi intervient: 2 brigades (qui avaient épaulés la 24e DI il y a quelques mois de cela) cherchent à bloquer le ravitaillement de mes unités, sur les hauts plateaux indochinois.



L'aviation basée à Kompong Trach, paralysée par la météo en début de semaine, frappe les lignes ennemies à Hué le 6 novembre, pour le tenir en respect.



Le 7 novembre, les Liberators britanniques bombardent les positions à l'ouest de Hue. Car il faudra repousser l'ennemi si l'on ne veut pas voir étouffer les unités plus à l'Est.




A Saigon, là encore l'aviation reste clouée au sol par la météo en début de semaine.
Avec l'amélioration des conditions, le support tactique reprend le 6 novembre. En 2 jours, plus de 300 sorties sont réalisées,même si quelques appareils sont perdus sous les coups de la DCA.



Profitant de cet appui et de l'arrivée de nombreux renforts jusque là au repos à Singapour ou Bangkok, l'armée britannique lance un assaut massif sur Saigon le 7 novembre. L'ennemi craque d'un coup, l'élan britannique est irrésistible. A la fin de la journée, la 12e armée japonaise bat en retraite vers Camranh, poursuivie par les chars britanniques. La base représente 375 VP pour les alliés. Les Britanniques ont encore remporté une importante victoire sur l'Empire du Soleil Levant.

[Atollman]

Ca progresse bien tout cela!

Je suis quand même surpris de la quantité de troupes que le jap a à Luzon... quelque soit l'endroit où tu débarques, il a de quoi combler les brèches.

A-t-il retirer des troupes de Chine? Si oui, as-tu les moyens de le presser là bas?

[gladiatt]

Je suis quand même surpris de la quantité de troupes que le jap a à Luzon... quelque soit l'endroit où tu débarques, il a de quoi combler les brèches.

En dépit d'une étude aussi poussée que possible des renseignements radios et des reconnaissances aériennes, je n'imaginais pas voir autant de monde à Luzon coté japonais, ce qui contrarie ma vitesse de progression.
L'autre contrariété, c'est les Australiens privés de Supply à Naga pour je ne sais pas trop quelle raison, ce qui paralyse ce front

A-t-il retirer des troupes de Chine? Si oui, as-tu les moyens de le presser là bas?

Je ne connais quasiment rien à l'ordre de bataille japonais, et je n'ai pas pris le temps/ pas voulu ouvrir une campagne coté japonais pour étudier en détail.
Toujours est-il que s'il a retiré des troupes de Chine, mon armée chinoise n'est pas apte à l'offensive pour le moment.
Cependant, et c'est ce que j'évoquais dans mon AAR, j'envisage de reprendre l'offensive afin de soulager les britanniques en Indochine, tout en craignant de subir un contre violent et destructeur de l'armée japonaise.

[Hirosake]

Salut Gladiatt,

Fais attention avec les offensives chinoises, perso j'ai tenté le coup à du dix contre un sur Canton dans une de mes parties, fortifications lvl 9, et les chinois n'ont jamais réussi à entamer les fortifications... :s

[Elvis]

T as combien d'unite et de supply a Legaspi ?

Tu y developpe le port et l aerodrome (ca bouffe du supply)

Egalement le supply qui arrive a Naga est utilise pour remettre d aplomb les elements 'disrupted'

Debaruer le supply a Naga est pas une bonne idee ; Du fait de l operation amphibie et que le port ne tappartient pas je crois que tu perds pas mal du spply debarque... Il vaudrait mieux l acheminer vers Legaspi poiur le faire remonter vers Naga...

Tu saurais faire un screen des unites a Naga, celles a Legaspi et combien de supply a Legaspi...?

[gladiatt]

un oubli :

durant la semaine du 1 au 7 novembre, Tainan a été frappé à 2 reprises par les bombardiers basés à Legaspi, afin de protéger ma tête de pont de Tuguegarao.
68 avions japonais ont étés détruits au sol, et 2 de plus en dogfight, durant ces deux raids qui ont totalisés quasiment 500 sorties de bombardiers.

T as combien d’unité et de supply a Legaspi ?

19 unités à la date du 8 novembre. 108.000 supply.

Debarquer le supply a Naga est pas une bonne idée ; Du fait de l operation amphibie et que le port ne tappartient pas je crois que tu perds pas mal du spply débarque... Il vaudrait mieux l acheminer vers Legaspi pour le faire remonter vers Naga...

Au contraire, ca à marché

Voila un screen de Legaspi au 8 novembre :




APPEL AUX PILOTES....

Bon, à l'AVG/A, il ne reste que Bartimeus II et Moradim... Cependant, chacun à le droit de s'exprimer:

Depuis quelques semaines, le P-51D de Northrop est entré en service, et commence à équiper certaines escadrilles.

Par rapport au P-47D de l'escadrille, il est plus rapide ( 437 mph pour le P-51D, 428 mph pour le P-47D), un peu plus maniable, mais moins robuste et moins armé (6 mitrailleuse au lieu du hachoir de 8 mitrailleuse du Thunderbolt), mais il vole plus loin :
12 hexagones au lieu de 6 au P-47D.








Voulez vous que l'AVG change d'avion ?

[Bartimeus]

Oui !

[Archange]

Non

[Cpt Stark]

Je ne suis pas là, mais le Mustang est plus mythique pour moi que le Thunderbolt

[gladiatt]

Oui !

C'est noté Barti
Ca va toi ?

Non

Archange, retourne à ton destroyer !! hop !

Le Paul Jones patrouille devant Singapore mais sera bientôt embarqué dans une opération amphibie britannique.

Je ne suis pas là, mais le Mustang est plus mythique pour moi que le Thunderbolt

comme je l'ai dit tout le monde a le droit de s'exprimer

J'ai laissé mon Tcheque en plan ce week end, j'ai profité du beau temps avec madame, et en plus j'ai upgradé un squadron (sais plus lequel) donc pour l'AVG il y a environs 5 jours de marge avant un changement: cela vous laisse peu de temps pour vous exprimer, mais ça vous en laisse encore