[AJE] Le Pont des soupirs
Posté : ven. oct. 26, 2012 9:51 am
Je me lance à mon tour sur un petit AAR, même scénario que nos amis Stratcom/Ioda/Henniak, soit la petite sauterie à trois dans laquelle s'affrontent Marius-JMLO (Populares) , Sulla-Lilan (Optimates) et Mithridate VI-Boudi, Roi du Pont.
Les tours 1 à à 5 se font en version 1.0 (autant dire que le Pont déguste, c'est aussi la raison du titre de cet AAR ) , à partir du tour 6 nous avons basculé en 1.01.
Tour 1/60, Février -87.
État des lieux :
Voilà de quoi nous partons. Un confortable Moral National (MN) à 115, quand Marius et Sulla partent d'un médiocre 90 : les guerres civiles déplaisent généralement aux Romains, qui goûtent peu les sacs, massacres et viols collectifs qu'elles induisent. Ne rêvons pas, le MN pontique est appelé à fondre comme neige au soleil. Nous engrangeons aussi légèrement plus de PV au tour que nos adversaires, mais là aussi ce n'est hélas que du provisoire.
Notre principal atout devrait être notre force de frappe, telle qu'indiquée par la colonne Puissance de combat. Sur une base pontique de 100, nos adversaires se situent à 58 pour les Optimates - nos ennemis directs sur le terrain - , à 25 pour les Populares. Pourtant les Phalanges n'ont que peu de chance face aux légions aguerries de Sulla.
En clair nous allons devoir compter sur 3 atouts principaux :
- La discorde du camp romain,
- Notre flotte, qui nous donne la mobilité en Méditerranée,
- Notre fric, nerf de la guerre.
Passons à la situation sur le terrain maintenant.
Nous savons que Sulla a débarqué quelque-part en Grèce (où ?) , et que l’armée pontique cantonnée à Thèbes a chaud aux fesses. Nous la replions vers Athènes avec ordre d’éviter le combat dans la mesure du possible. Nos alliés Corinthiens, chargés de raisins secs, doivent rejoindre. Une flotte croise au large d’Athènes pour évacuer tout ce petit monde au cas où.
A la situation attentiste en Grèce s’oppose notre offensive sur Byzance, il semble possible d’aller prendre cette cité qui nous nargue depuis trop longtemps à la frontière du Royaume :
Non mais sans blague…
Enfin, et pour en finir avec la situation sur le terrain, signalons qu’une lourde flotte pontique assiège Rhodes, vendue à l’ennemie :
Gouverner c’est prévoir, mais c’est plus facile avec des sous. Nous anticipons nos pertes et levons 6 phalanges ( !) , qui seront entrainées et disponibles dans 4 tours/mois. (un tour fait 30 jours).
Nos ambassadeurs dans les contrées lointaines parviennent à convaincre nos barbares alliés de lever de la cavalerie lourde à notre profit :
Maintenant, advienne que pourra. Les Augures griffonistes, en ouvrant les entrailles d’un maquereau, nous qualifient déjà de « Rouleau compresseur soviétique ». Nous ne comprenons pas ce qu’ils veulent dire par là.
Les tours 1 à à 5 se font en version 1.0 (autant dire que le Pont déguste, c'est aussi la raison du titre de cet AAR ) , à partir du tour 6 nous avons basculé en 1.01.
Tour 1/60, Février -87.
État des lieux :
Voilà de quoi nous partons. Un confortable Moral National (MN) à 115, quand Marius et Sulla partent d'un médiocre 90 : les guerres civiles déplaisent généralement aux Romains, qui goûtent peu les sacs, massacres et viols collectifs qu'elles induisent. Ne rêvons pas, le MN pontique est appelé à fondre comme neige au soleil. Nous engrangeons aussi légèrement plus de PV au tour que nos adversaires, mais là aussi ce n'est hélas que du provisoire.
Notre principal atout devrait être notre force de frappe, telle qu'indiquée par la colonne Puissance de combat. Sur une base pontique de 100, nos adversaires se situent à 58 pour les Optimates - nos ennemis directs sur le terrain - , à 25 pour les Populares. Pourtant les Phalanges n'ont que peu de chance face aux légions aguerries de Sulla.
En clair nous allons devoir compter sur 3 atouts principaux :
- La discorde du camp romain,
- Notre flotte, qui nous donne la mobilité en Méditerranée,
- Notre fric, nerf de la guerre.
Passons à la situation sur le terrain maintenant.
Nous savons que Sulla a débarqué quelque-part en Grèce (où ?) , et que l’armée pontique cantonnée à Thèbes a chaud aux fesses. Nous la replions vers Athènes avec ordre d’éviter le combat dans la mesure du possible. Nos alliés Corinthiens, chargés de raisins secs, doivent rejoindre. Une flotte croise au large d’Athènes pour évacuer tout ce petit monde au cas où.
A la situation attentiste en Grèce s’oppose notre offensive sur Byzance, il semble possible d’aller prendre cette cité qui nous nargue depuis trop longtemps à la frontière du Royaume :
Non mais sans blague…
Enfin, et pour en finir avec la situation sur le terrain, signalons qu’une lourde flotte pontique assiège Rhodes, vendue à l’ennemie :
Gouverner c’est prévoir, mais c’est plus facile avec des sous. Nous anticipons nos pertes et levons 6 phalanges ( !) , qui seront entrainées et disponibles dans 4 tours/mois. (un tour fait 30 jours).
Nos ambassadeurs dans les contrées lointaines parviennent à convaincre nos barbares alliés de lever de la cavalerie lourde à notre profit :
Maintenant, advienne que pourra. Les Augures griffonistes, en ouvrant les entrailles d’un maquereau, nous qualifient déjà de « Rouleau compresseur soviétique ». Nous ne comprenons pas ce qu’ils veulent dire par là.