Pour l'Autriche et pour la France !
Posté : jeu. oct. 13, 2011 1:11 pm
Suite au plantage de notre dernière PBEM ROP, nous avons décidé JMLO et moi de remettre le couvert, en espérant aller un peu plus loin cette fois-ci.
Nous sommes donc en septembre 1756, et les intentions belliqueuses de la Prusse se confirment.
Frédérick : La Saxe, c'est chez moi ! Poussez-fous, on fa manoeufrer !
Ainsi, éparpillées partout dans l'Empire, les troupes de la maison d'Autriche ne sont manifestement pas prêtes. Seule l'armée de Prague s'avère un tant soit peu opérationnelle, à la frontière nord. Notre terrain de jeu :
Les gentils sont en bas, les méchants sont en haut.
Le terrain de jeu, donc, se révèle un sacré bourbier à l'approche de l'automne. Il pleut des seaux depuis plusieurs jours, et sauver Koenigratz d'une potentielle attaque prussienne ne sera pas une mince affaire, une colonne partant de Prague mettant 40 jours à rejoindre la ville.
Ce ne sont plus des routes, mais des rivières de boue...
Marie-Thérèse, Impératrice d'Autriche, ne s'en laissera pas conter :
Nous allons botter les fesses de Frédérick et plus vite qu'il n'en faut pour le dire ! Bon, je remets mon masque.
Elle a confié la direction de ses armées à son beau-frère, le Prince Charles de Lorraine :
Mais des fois, la famille...
Les officiers, eux, comptent plutôt sur le Maréchal Von Daun pour leur sauver la mise.
Merci à Wikipedia.
Et parce qu'on ne combat jamais sans allié sérieux, notre bien aimé Louis le XVème a promis de prendre l'ennemi à revers :
Comte d'Estrée, au boulot ! J'ai mieux à faire. :favorites: : Parc aux Cerfs:
Et qui sait ? Elisabeth de Russie ne pourra certainement pas rester immobile bien longtemps !
Moi, je commande le rouleau compresseur.
Nous sommes donc en septembre 1756, et les intentions belliqueuses de la Prusse se confirment.
Frédérick : La Saxe, c'est chez moi ! Poussez-fous, on fa manoeufrer !
Ainsi, éparpillées partout dans l'Empire, les troupes de la maison d'Autriche ne sont manifestement pas prêtes. Seule l'armée de Prague s'avère un tant soit peu opérationnelle, à la frontière nord. Notre terrain de jeu :
Les gentils sont en bas, les méchants sont en haut.
Le terrain de jeu, donc, se révèle un sacré bourbier à l'approche de l'automne. Il pleut des seaux depuis plusieurs jours, et sauver Koenigratz d'une potentielle attaque prussienne ne sera pas une mince affaire, une colonne partant de Prague mettant 40 jours à rejoindre la ville.
Ce ne sont plus des routes, mais des rivières de boue...
Marie-Thérèse, Impératrice d'Autriche, ne s'en laissera pas conter :
Nous allons botter les fesses de Frédérick et plus vite qu'il n'en faut pour le dire ! Bon, je remets mon masque.
Elle a confié la direction de ses armées à son beau-frère, le Prince Charles de Lorraine :
Mais des fois, la famille...
Les officiers, eux, comptent plutôt sur le Maréchal Von Daun pour leur sauver la mise.
Merci à Wikipedia.
Et parce qu'on ne combat jamais sans allié sérieux, notre bien aimé Louis le XVème a promis de prendre l'ennemi à revers :
Comte d'Estrée, au boulot ! J'ai mieux à faire. :favorites: : Parc aux Cerfs:
Et qui sait ? Elisabeth de Russie ne pourra certainement pas rester immobile bien longtemps !
Moi, je commande le rouleau compresseur.