Septembre 1941
L'avance devient plus difficile. L'armée rouge s'est réorganisée, a appris à combattre. Quelques unités roumaines, hongroises et... allemandes l'ont appris à leur dépend. Nos pertes ne relèvent plus, à partir de maintenant, de l'anecdote. Nous affrontons maintenant une puissante et pléthorique armée.
Situation tout au nord, sur la route de Leningrad, qui reste si loin. Nous tentons d'encercler les armées russes positionnées en défense de Pskov et de Velikye Luki. Au sud, on voit que la Luftwaffe commence à fatiguer elle aussi (pions à moitié de force, suite aux pertes dues à la DCA russe).
Un peu plus au sud, Moscou apparaît enfin sur les cartes ! Cela remonterait le moral des Landsers si de telles défenses n'étaient pas repérées à l'ouest de la capitale soviétique. (On ne le voit pas ici, mais les recos aériennes montrent que les fortifications autour de la ville débordent de troupes, en plus de celles que l'on voit ici autour de Tver.
L'encerclement de Briansk est finalisé. 10 corps sont dans la nasse, rien que ça, dont déjà 2 totalement coupés d'une source de ravitaillement. prendre Briansk signifiera la mort de cette armée bolchevique.
Tentative d'encerclement à Koursk. Mais nous devons l'avouer : nous manquons de troupes face à l'armée rouge, nous ne pouvons être de partout.
Avec nos alliés Italiens, Roumains et Hongrois, la proche de Dnipropetrovsk est enfin fermée. C'est ici que de brutales contre-attaques ennemies ont entrainé la destruction de plusieurs unités roumaines et hongroises.
Mais lorsque cette poche sera considérée comme sure, (elle est encore fragile en plusieurs points), c'est à terme 12 corps d'armée soviétiques qui y seront détruits !
Une fois les troupes ennemies isolées dans une poche, à court de ravitaillement, nous confions le nettoyage à nos Alliés, tandis que les Panzerdivisionen poursuivent leur progression à l'est.
Ici, à Melitopol, les quelques corps russes survivants sont déjà à court de supply depuis 3 tours, ils n'ont pratiquement plus aucune valeur combative.
Vue générale du front russe :
Début octobre, et l'hiver nous est déjà tombé dessus.