Bon, ayant posé ma question au support un début de week-end, je ne comptais pas sur une réponse rapide. Or, je n'avais pas envi d'attendre lundi. J'ai donc mis les mains dans le cambouis.
J'ai essayé de piger l'agencement des fichiers csv, leurs liens entre eux, J'ai magouillé, modifié, fait planter les saves, crié, enragé, sauvegardé, retenté... Puis je me suis aperçu qu'il y avait un transport de trop par rapport aux unités embarquées. J'ai viré la ligne de ce transport du fichier csv, sauvé... Et roule ma poule c'est reparti comme en 40. Heureusement que je connais un peu Excel.
Octobre 1940
Idée de génie de mon pote Ribbentrop : inviter l'Espagne dans l'Axe !
Cet ingrat de Franco me fait poiroter 2 heures à Hendaye, puis finalement exige de telles contreparties, notamment sur les possessions françaises au Maroc, que les négociations achoppent. Quand je pense à tout ce que j'ai fait pour lui !
Il n'aura échappé à personne que la Luftwaffe a à peu près nettoyé la mer du nord de toute présence hostile. Il est temps de débarquer en Norvège. Le but est dans un premier temps de prendre la ville côtière de Kristiansand, dépourvue de port important mais source de ravitaillement pour la montée vers Oslo. Les défenseurs sont d'abord assommés par les canons des croiseurs lourds de la Kriegsmarine. Il ne reste plus qu'à débarquer, en l'occurrence un corps d'armée.
La Luftwaffe désorganise un peu plus les Norvégiens avant l'assaut :
Le rapport de force obtenu nous donne confiance. (en fait du 7 contre 1, c'est le maximum possible).
Pas de quartier !
Il a fallu fignoler le travail au MP40, demain la ville sera à nous.
En Afrique les Italiens usent les défenses anglaises autour d'El Alamein, c'est du grignotage. Par contre nous sommes maintenant loin de Sidi Barrani, cela nous cause des problèmes de supply qui arrive mal. Nous ne pouvons pas renforcer les unités qui ont encaissé des pertes. Si nous devons mettre en place des rotations pour réorganiser les troupes à l'arrière, ça va demander du temps et des renforts que l'Italie n'a pas.
En Grèce, la situation est on ne peut plus figée. Les Grecs mettent en ligne des effectifs surprenants.