Exact, l'IRIAF est la dernière à l'utiliser, mais je crois qu'ils se fabriquent leurs propres pièces de rechange à leurs risques et périls...Lafrite a écrit :Y'a plus que l'Iran à s'y risquer, et de plus, sans pièces de rechangesPumba1968 a écrit : Les contraintes auxquelles sont soumises les cellules des appareils embarqués ( catapultages et appontages ) ne sont en rien comparables à celles des appareils basés à terre. A cela s'ajoute la corrosion provoquée par l'eau de mer. Effectivement, comme tu l'as dit , le Cat n'était pas exempt de défauts structurels qui rendaient son pilotage difficile. D'ailleurs, l'appareil n'était réservé qu'à l'élite, ce qui n'a pourtant pas évité un taux d'attrition assez élevé surtout lors des 3 ou 4 premières années de service.
Combien sur les 80 appareils qui avaient été livrés, volent encore...20, 10...ou peut-être encore moins.