AAR FRANCE 1936 II (remis en forme)

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Boudi
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AAR FRANCE 1936 II (remis en forme)

Message par Boudi »

Voilà, chose promise, chose due, cet AAR est la suite de l’AAR France 1936, en No Time Limit.

Comme annoncé, je ne reprend pas l’AAR exactement au 31/12/47, car les dernières unités produites durant le dernier trimestre 47 sont exclusivement des milices à cause des des temps de production, et surtout l’effort en recherche/développement avait été complètement abandonné depuis début 47, je crois.

Cet AAR repart donc d’une sauvegarde au 03/10/47 à 22H00. En conséquence tout ce qui est écrit dans le précédent AAR avant cette date est valable, et tout le reste est à oublier. Je pense que cette date est un bon compromis. Elle me permet de modifier des choix stratégiques qui étaient intiment liés à la fin de la partie très proche, mais elle est en même temps suffisemment récente, trois mois seulement avant la fin 47, pour que tout le monde puisse s’y retrouver, et que cet AAR ne soit pas considérer comme une partie « nouvelle ».

Le screen suivant redonne la situation à cette date :

·L’Allemagne n’est toujours pas annexée,
·La poche allemande à l’est de l’Alsace n’est toujours pas réduite,
·L’actuelle république tchèque est sous le joug allemand,
·Et surtout la grande offensive soviétique n’est pas commencée.

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Dernière précision : Si cette suite de l’AAR commence bien au 03/10/47, je ne pourrai commencer mon compte-rendu qu’à compter du 20 janvier 1948.

Je pensais en effet que tout se déroulerait logiquement comme mes précédents comptes-rendus, et qu’il était de facto inutile de vous asséner les mêmes commentaires. Quelle grossière erreur !

Dans ce second AAR, le dernier trimestre 47 est totalement différent de celui précédemment raconté. La situation a été beaucoup plus difficile pour les forces alliées. Qu’on en juge par ce screen au 30/12/47:

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Il ressemble presque en tous points au précédent !! Et oui, dans cette suite, à la fin 47 :

·L’Allemagne n’est toujours pas annexée,
·L’actuelle république tchèque est toujours sous le joug allemand,
·Et surtout la grande offensive soviétique n’est pas toujours commencée !

Je croyais qu’une partie de HOI recommencée devait bigrement ressembler à la première. Nous savons dorénavant tous que ce n’est pas forcément le cas.

Le 3 octobre 1947

Compte-rendu du Professeur A. Niteisen, Docteur en physique nucléaire, au Général de Gaulle, Président du Conseil.


Mon Général,

A ce jour, les travaux de la commission scientifique que j’ai l’honneur de présider me permettent de vous informer qu’il est possible, et même envisageable, de produire une arme à la puissance inégalée à partir des connaissances acquises sur l’atome.

Cette arme serait telle qu’une bombe chargée d’uranium enrichi et disposant d’un système de mise à feu adéquat, transportée et larguée par avion, aurait la puissance nécessaire à la destruction complète d’une capitale européenne.

Je vous informe toutefois que nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements, et que la réaction en chaîne nécessaire devrait être maîtrisée pas nos laboratoires d’études d’ici début 1948.

Je vous demande enfin que nos recherches soient classées priorité nationale, car le belligérant maîtrisant le premier cette technologie sera sûr de remporter la victoire. Je vous demande en conséquence de bien vouloir nous accorder tous les crédits nécessaires, soit pour l’instant un minimum de 15% de la richesse nationale totale produite.

Lettre du Lieutenant H. Bouchut, à sa sœur

Le 14 avril 1948.

Cette guerre n’en finira donc-t-elle jamais ? Je croyais qu’enfin les boucheries cesseraient sur notre vieux continent, mais elles repartent au contraire de plus belle ces dernières semaines.

Malgré le froid terrible de cet hiver, nos forces sont parvenues à détruire ce qui restait de l’armée allemande durant les six premières semaines de cette année 1948. Quelle joie de voir se rendrent les derniers défenseurs d’un régime honni, et de libérer dans le même temps le peuple allemand qui vivait sous la plus terrible des dictatures ! Car nous saurons ne pas nous tromper d’adversaires ! Les nazis doivent êtres pourchassés, arrêtés et jugés, mais nous devons savoir tendre la main au peuple allemand…


Les derniers vestiges de la wehrmacht se sont évanouis mi février. C’est le 19 février 1948 que d’une fenêtre du Reichstag incendié, le Général De Gaulle a proclamé le rattachement fraternel des provinces allemandes à la République française !

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Nous pensions alors en avoir fini avec cette seconde guerre mondiale. Mais c’était oublier que nos armées étaient désormais en contact direct avec les forces soviétiques.

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Malgré nos offres de paix, Staline lançait dès le 8 février ses avions sur nos troupes stationnées à Kongsberg.
C’est le 21 février, le surlendemain seulement de l’annexion de l’Allemagne, que lors d’une attaque éclair mobilisant aviation, blindés, artillerie et infanterie que les soviétiques se sont emparés de Suwalki, marquant par ce fait le début de leur offensive.

Nous avons alors très vite compris que l’armée rouge était le plus formidable adversaire que nous aurions à combattre, et que le monde libre était réellement en danger.

Sans avoir réellement combattu depuis ces 10 longues années, Staline a eu tout le temps nécessaire à la construction d’une formidable machine de guerre. Les avions, les chars et l’équipement russe en général sont à la pointe de la modernité. Les effectifs ennemis sont pléthoriques, jamais nous n’avons eu à combattre une telle marée humaine. Alors que nous mêmes n’avons plus aucune réserve démographique : ce qui était mobilisable a été mobilisé pour mettre l’Allemagne à genoux.

Le 1er jour de Mars correspond à la prise sans combat de Memel par les soviétiques. Nous avions dû abandonner ce port trop exposé à un encerclement fatal.

Par ailleurs, jamais, d’après mes informations, notre effort de recherche n’a été aussi conséquent. J’ai entendu dire que nous consacrions 210 PP à la recherche, afin de compenser dans un avenir proche notre infériorité numérique. Le reste de nos ressources est totalement absorbé par les besoins de notre population civile et par l’approvisionnement de nos armées.

Le 15 mars, les russes lancent un assaut massif sur Konigsberg, 51 divisions se ruent sur les 21 divisions de Giraud, qui jettera l’éponge le 18, ses forces amputées aux ¾. Par malheur, la prise des aérodromes par l’ennemi nous a obligé à saborder 12 escadrons entiers de chasseurs, qui ne pouvaient prendre l’air faute de carburant.

Nos propres tentatives de contre-attaques plus au sud se soldent pas des divisions décimées alors que les pertes ennemies sont négligeables, d’après la rumeur circulant dans les régiments.

Le 09/04 les russes s’emparent de Sandormiez, sur le front sud. Les risques d’encerclement de 29 divisions présentes sur Prezemysl sont alors immenses, nous devons abandonner la province pour les replier sur Cracovie.

A la même date, les italiens prouvent qu’ils n’ont pas oublié que l’axe n’est pas totalement vaincu, par un débarquement réussi en Roumanie.

Le 14/04 nous perdons Lublin. Les provinces situées entre l’oder et la Vistule sont dorénavant menacées d’invasion.

Enfin je sais de source sûre que durant ces mois de mars et d’avril, les diplomates du quai d’Orsay n’ont eu de cesse d’influencer les pays scandinaves, dangereusement attirés par le Parti Communiste de l’Union Soviétique.

Je t’embrasse très fort.


Lettre de Y. Bouchut au Maréchal Joukov, commandant en chef des forces armées de l’Union Soviétique.

Mon amour,

Je sais que ces informations sont pour toi très importantes. J’espère que tu en feras bon usage.

Ton Yvette qui t’aime.

Liste des recherches en cours dans les usines, états-majors et laboratoires français au 15/04/48 :

·Développement des bombes volantes,
·Equipement spécial commandos,
·Organisation de la logistique,
·Doctrine des mouvements d’artillerie,
·QG mécanisés,
·Halftrack III,
·Séparation des isotopes,
·Radar centimétrique,
·Corps d’armée : bataillon de reconnaissance à long rayon d’action.



(Posted by boudiboudi at 5:00 am on July 8, 2003)

De franchil
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ha donc ça fonctionne bien avec les anciennes saves. Bien vu boudi!


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De FranceLibre
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Bien joué Boudi ! Je ne pensais pas te revoir si tôt pour la suite de ce passionnant (quoiqu'un tantinet sanglant) feuilleton !

<Lettre de Jean Bond (2ème bureau de l'Etat-Major Interaemées/interalliés, ex secrétaire général du gouvernement provisoire à Londres, compagnon de la libération, croix de guerre> à M. le général De Gaulle, président du conseil.

Mon général,
Les dernières nouvelles du front de l'est nous causent un souci des plus vivaces, notamment les pertes épouvantables subies par l'armée Giraud et la perte des 12 escadres de chasseurs, en poste à Konigsberg. Comment recompléter les vides sanglants creusés par ces maudits rouges dans nos rangs ? Comment renverser l'écrasante domination aérienne soviétique, si nous perdons ainsi autant de nos maigres forces de chasse ? Voilà un sabordage qui en rappelle, de fort sinistre manière, un autre ... Giraud est-il toujours à la hauteur ? N'oublions pas, sans vouloir réveiller d'anciennes rancoeurs, l'inqualifiable compétition qu'il vous imposa quand les anglo-saxons hésitaient encore sur le choix -pourtant évident- du représentant de la France Libre.
Par ailleurs, nous suggérons vivement que, fort de votre position de commandant interallié des européens libres (C.I.E.L.), il soit proposé aux américains d'intégrer le plus vite possible notre dispositif militaire, afin que leur potentiel humain fasse pendant à la multitude Russe. Des rapports concordants montrent en effet que nous arrivons quasiment aux limites du supportable pour notre population, saignée à blanc par tant d'années de lutte ininterrompue : le Verdun qui s'annonce ne doit en aucun cas nous placer dans le rôle affreux de l'Allemand hier honni.
Une lueur d'espoir cependant pointe à un horizon certes encore lointain, mais plein de promesses. Je vous recommande à cet égard une lecture attentive du dernier rapport scientifique du professeur Niteisen (copie 'très secret défense' jointe). Pour des raisons obscures, il a lui-même baptisé son projet "Nagashima", sans doute une réminiscence d'ancienne villégiature en Asie...
Je ne sais pourquoi d'ailleurs, une petite voix me dit que ce programme pourrait contrarier un autre projet, mené avec compétence et efficacité par Melle Yvette Bouchut, chef du service 'Russie', et relatif à l'installation d'une station d'écoute clandestine dans une petite isba aux environs de Léningrad...
Respectueusement votre
J.B. "OSS 007"

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De boudiboudi

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Du Général de Gaulle, Président du Conseil,

à Jean Bond, 2ème bureau de l'Etat-Major Interaemées/interalliés

Cher ami,

Vos propres conclusions rejoignent les miennes. La perte de Konigsberg s’est faite dans des conditions catastrophiques, et j’ai demandé à Giraud de s’expliquer sur le sujet. Quoi que fut son passé, il faut savoir refermer certaines plaies, et il faut bien reconnaître qu’il luttait à 3 contre 1 et qu’il reste malgré tout l’un de nos meilleurs officiers.

J’ai dû par contre en tant que Généralissime des forces alliées violemment sermonner les responsables de la R.A.F., stupides anglais, responsables directs des 240 chasseurs perdus sur Konigsberg. Encore ne sont-ils pas tombés aux mains des russes !

J’ai pris connaissance attentivement du rapport du Pr. Niteisen. Je lui ai accordé tous les crédits nécessaires, mais je pense que ses recherches sont si vastes que nos troupes seront à Vladivostok avant qu’il soit parvenu au moindre résultat tangible.

Quant à cette Melle Bouchut, je vous informe que je prend au sérieux votre renseignement et qu’une enquête est en cours. Je compte d’ailleurs m’entretenir personnellement avec elle, en tête à tête à l’Elysée, aux environs de 22 h00, lorsque les appariteurs auront quitté leur service...

Fraternellement,


CAMPAGNE PRINTEMPS/ETE 1948

“Une guerre de tranchées…”



Du 14 avril au 25 août 1948

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 25/08/48 DU SUPREME HEADQUARTER OF ALLIED FORCES IN EUROPE (SHAFE)



En marge de ce conseil, sachez que les mois catastrophiques de Février et Mars ont poussé le gouvernement Français à changer son ministre de la défense, estimant que le Général Weygand, particulièrement opérationnel pour les opérations défensives, devrait être l’homme de la situation.

Ce choix a sans doute été le bon, dans la mesure où l’offensive bolchévik s’en enlisée à ce jour sur la rive droite de la Vistule.

Certes, les mois d’avril et mai ont été l’occasion pour les russes de pousser plus loin en avant leurs divisions blindés. Elles ont conquis Prezmyls (20/04), Torun (03/05), prenant ainsi le contrôle de toutes les provinces orientales de la Vistule, au nord de Varsovie. Cette avancé significative, quoique beaucoup plus lente, de l’ennemi, nous a contraint a abandonner à contre coeur la poche de la grande région de Varsovie.
Le 21 mai, l’armée rouge occupe Varsovie, ville ouverte. Le moral du peuple polonais est au plus bas. Le front s’étire alors sur 700 km, le long de la Vistule, de la mer baltique à la Tchécoslovaquie.. Les rouges occupent la rive droite et nous tenons la rive gauche.

Le mois de juin marquera l’arrêt de nos tentatives de combats aéroportés. Nous parachutons le 04/06 2 divisions de paras sur Liepaja, province côtière non défendue par les russes. Mais nos parachutistes, faute d’armes lourdes anti-chars seront écrasés et acculés à la reddition le 29. Cette nouvelle déconvenue marque l’arrêt de nos recherches techniques sur la filière « paras ».

Les jours marquant la fin de juin et l’arrivée de juillet démontrent la justesse de notre stratégie d’enterrement le long de la Vistule, barrière naturelle redoutable. Tout le long de ce magnifique fleuve des tranchées ont été creusées, des champs de mines posés, des nids de mitrailleuses positionnés. Nous avons renforcé ce dispositif purement défensif par de nombreuses batteries anti-chars. Nos divisions blindées positionnées dans les sous-bois complètent notre ligne infranchissable, protégée par la RAF.


Le 29 juin à 06h00, à Lodz, c’est l’épreuve de force. Sur des canots pneumatiques, des barques, l’infanterie soviétique tente de franchir le fleuve, accompagnée de nombreux engins blindés amphibies, protégées par de violents tirs d’artilleries et de raids aériens. Mais il faut tenir coûte que coûte ! Si les russes franchissent la Vistule nous devrons à nouveau nous replier sur l’Oder, ce qui est inenvisageable. Tous les renforts disponibles convergent ainsi immédiatement sut Lodz, sans toutefois dégarnir nos autres secteurs. Le 2 juillet est le jour de notre première victoire sur l’armée rouge depuis février ! Les russes sont refoulés, repoussés en désordre dans le fleuve !

Ce 2 juillet marque aussi l’annexion de la Roumanie par l’Italie. L’axe est définitivement rayé de la carte.

Et ce début juillet restera comme la semaine des grandes nouvelles ! L’armée rouge est stoppée, et LES ETATS UNIS D’AMERIQUE, ainsi que le Venezuela, rejoignent enfin notre alliance !! L’espoir renaît alors dans notre camp, même si nous sommes alors de facto en état de guerre contre l’Empire du Japon, pays sans alliance.

C’est le 20 juillet que l’Italie nous plante le poignard dans le dos. Nous ne savons sous quelles pressions, mais elle autorise officiellement ce jour l’armée rouge à traverser son territoire ! En conséquence, les Alpes françaises et tout le sud du pays peuvent être maintenant une cible potentielle pour l’ennemi ! Nous déplaçons en conséquences quelques divisions en territoire italien (car nous aussi, nous y avons accès depuis 1940 !) afin de surveiller d’éventuels mouvements de troupes soviétiques.

Le 23 juillet, les russes franchissent à nouveau la Vistule et attaquent Bydgosdzsz.

26/07 : Assaut repoussé sur Bydgosdzsz. Il semblerait que nous ayons retrouvé la maîtrise du ciel. Par ailleurs, notre tactice défensive semble maintenant au point. Défendre la vistule coûte que coûte, le russe ne doit pas mettre le pied sur la rive gauche. Nos forces défensives sont également réparties sur les 5 provinces limitrophes de la Vistule, de Dantzig à Cracovie. Lorsqu’une province est attaquée, de nombreux renforts y convergent, et sont ensuite redéployés sur leur territoire d’origine à la fin des combats.

12 août. Le front est maintenant calme depuis 17 jours, l’ours soviétique lèche ses plaies. Seule Cracovie subit quelques bombardements. Ce même jour, 3 divisions de chasseurs alpins, après un périple à travers le nord de l’Italie, prennent les montagnes de Lubiana aux russes et s’y retranchent.

Le 24 août, nos services scientifiques nous informes que la technologie nucléaire « Séparation des isotopes » est maîtisée.

Le 25/08, les premières troupes vénézueliennes sont à nos côtés en Europe !


CAMPAGNE AUTOMNE 1948

“Quand l’Angleterre s’écroule…”

Du 25 août au 22 novembre 1948

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 22/11/48 DU SUPREME HEADQUARTER OF ALLIED FORCES IN EUROPE (SHAFE)



Septembre : Les russes enfoncent le front et franchissent la Vistule

Les 20 premiers jours de septembre n’apportèrent que d’excellentes nouvelles au SHAFE. L’automne ne pouvait commencer sous de meilleurs auspices.

Le 05, nous prenons les russes par surprises et nous nous emparons de Bratislava, centre industriel slovaque de première importance.

Le 10 s’effectue le premier débarquement de troupes terrestres américaines en Europe. Leurs forteresses volantes harcèlent toutefois les forces russes depuis un mois déjà.

C’est le 19 que par un communiqué officiel le gouvernement espagnol déclare la guerre à l’URSS et rejoint l’alliance. A ce jour, l’alliance des pays démocratiques est la suivante :

Grande Bretagne, France, Belgique, Pays-Bas, Canada, Afrique du Sud, Nouvelle Zélande, Etats-Unis, Venezuela, Espagne.

Notre diplomatie a su éviter pour l’instant le ralliement de la Suède au Komintern, mais celle-ci reste fortement influencée par les thèses communistes.

Mais le 22, plusieurs vagues de T34 donnent l’assaut sur nos défenses de Cracovie. Suivant notre stratégie habituelle, les défenseurs ne doivent tenir que 72 heures le temps que les renforts arrivent. Le 25, c’est la catastrophe ! Avant que le gros des renforts ne soient arrivés à destination, les chars soviétiques percent le front, écrasent nos défenses et foncent à 40 km/h dans les rues de Cracovie. Nos troupes se replient en désordre sur Czestochova et Radom.

Les russes ont donc mis le pied sur la rive gauche de la Vistule. Il faut les refouler derrière le fleuve coûte que coûte dans les heures qui viennent ou tout notre dispositif défensif deva se replier à l’ouest de l’oder, laissant ainsi le champ libre à l’armée rouge pour l’occupation totale de la Pologne

Octobre : Attaques et contre-attaques.

Le 03. Nous tentons depuis le 25 septembre de reprendre Cracovie. Alors que la RAF bombarde inlassablement les russes, les combats au sol font rage, sous les ordres du Maréchal De Lattre.

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Ce ne sera que le lendemain, à 23h00, que Jukov donnera l’ordre à ses troupes de repasser derrière la Vistule, leur force cédant sous notre détermination. Cracovie et le front tout entier est sauvé ! Mais ce même jour, le groupe d’armée sud soviétique tente de reprendre Bratislava.

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Le 05, le groupe d’armée centre ennemi repasse la Vistule et tente de prendre Radom. Le lendemain, 6 octobre les combats sont épouvantables mais l’assaut ennemi semble maîtrisé.

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Le 07, l’assaut soviétique sur Bratislava est toujours en cours. Nos forces tiennent malgré leur très grande infériorité numérique. Nous tentons alors de couper les lignes d’approvisionnements des assaillants en prenant Budapest. La rapidité étant le facteur clé, seules 2 divisions motorisées disponibles foncent sur la capitale hongroise.

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Le 09, nos défenseurs de Bratislava ayant reçu l’appui de notre aviation et de 3 divisions mécanisées, les russes abandonnent leur assaut. Nous allons tenter de leur couper leur retraite en prenant Budapest. Mais la ville est défendue par une division blindée, gros morceau pour 2 divisions motorisées ! Mais cette division est prise à partie depuis plusieurs jours par l’aviation anglaise et américaine, est-elle encore capable de se battre ? Nous verrons bien ! C’est à 05h00 que Juin lance son offensive.

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Surprise ! les défenseurs russes ne tiendront qu’une heure. Les violents bombardements avaient anéantis la capacité opérationnelle des T34 ennemis ! La retraite des forces russes de Bratislava est maintenant coupée. Mais il faut tenir, dans un environnement où les forces ennemis sont beaucoup plus nombreuses.

Ce même jour, à 08h00, l’assaut sur Radom est repoussé.

Le 11, Les 2 divisions du Maréchal Juin sont prises à partie par 21 divisions soviétiques à Budapest. La position est indéfendable, Budapest doit être évacuée seulement 2 jours après avoir été libérée. La route est libre pour les russes de Bratislava…

Le 20, les combats se déplacent à nouveau au centre du front. Les russes donnent l’assaut sur Lodz, défendue par Montgommery qui ne dispose que de troupes épuisées. Les renforts affluent de toutes les provinces limitrophes.

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Le 23, les russes sont rejetés dans le fleuve. Mais comment parviennent-ils à reconstituer si aisément les effectifs de leurs divisions, alors que leurs pertes doivent être énormes ?

Novembre : quand la population anglaise jette l’éponge…

Le 07 marque le début d’une offensive généralisée soviétique. But évident : nous expulser de Tchécoslovaquie. Nous perdons immédiatement Veszprem, Ruzomberock est en position très délicate, Bratislava est attaquée par une meute de T34 !

Le 09/11 à 22h00 Ruzomberock est sauvée.

Le 11 à minuit, l’assaut russe est repoussé sur Bratislava.

Le 22/11, le front est à nouveau calme. Mais nous nous apercevons alors d’une catastrophe. Toutes les unités terrestres et maritimes britanniques sans exception, sur tous les fronts, Pologne, Grèce, Egypte sont hors d’état de combattre, avec une organisation à 0. Que se passe-t-il ?

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Et nous comprenons alors la situation. La Grande-Bretagne est vaincue ! Non par les armes, mais par une population lasse de 8 ans de guerre : En GB, c’est l’insurrection ; instabilité de 100%, production à 0, et l’armée n’est plus ravitaillée. C’est une catastrophe, la GB représentait sur le terrain près de 50% des effectifs. Comment gagner cette guerre dans ces conditions ?

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De Emp Palpatine
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C'est haletant, prenant...Et tu nous tortures avec ton suspense!!!
Alors, il se passe quoi avec l'Angleterre?? Je vais devoir sortir mes manuels de Russe?
En tout cas, merci de montrer que l'on peut avoir un jeu interessant sans jouer l'Allemagne.

De Morpeus

Hep la morpeus a la rescousse !

Fais un convoie de ravitaillement vers l'ile britanique et achemine du materiel !

Le probleme c'est que sa va te couter d'entretenir 2 armées...
On voit encore l'incompétence de l'ia c'est desesperant..

[Edit] Bon sentenz ma eu la
:'(


De Sentenza
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Général de Gaulle,

Nous, société des economistes indépendants, pensons que vous pourriez peut etre tenter de redresser un peu l'economie de la grande bretagne en prenant vous meme le controle de son economie.

(pour ce faire, jouer en multi sur internet, ouvrir une 2eme fenetre HOI, et rejoindre sur votre propore IP. Un dosage de pause et de alt+tab à 6% l'an devrait vous permettre de retablir l'industrie de ce pays).

Cordialement.
La Société des Economistes Indépendants.


De boudiboudi
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Ben, je vous remercie tous pour vos encouragements et pour vos précieux conseils. Je vais peser le pour et le contre et voir ce que je peux faire.

Par contre, je vous laisse pour 15 jours, les vacances sont là !!

A bientôt.

Boudi.
Posted on: 9:28 pm on July 11, 2003

De boudiboudi

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Quote: from jmlo on 6:38 pm on July 29, 2003
Eh boudi la france a 2 mois de vacances mais slatine lui il fonce ...


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De retour de congés, je m'y remets bientôt. J'ai eu 15 jours pour réfléchir au problème anglais :

Solution de Sentenza : La meilleure sans doute, mais ça m'embête franchement de consommer du forfait internet pour ce qui ne reste qu'une partie solo. En plus, cette solution est à mon sens "limite" en dehors des règles régissant une partie solo, où l'humain à mon avis ne doit contrôler l'économie que d'un pays.

Solution de Morpeus : Comme tu le soulignes, cette option est extrêment gourmande en PP et ne sauve pas à terme des divisions anglaises condamnées.

Les français, les troupes du Commonwealth, de Belgique et de Hollande doivent donc se passer des anglais, en espérant un afflux rapide de renforts espagnols et américains.


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De madmartial
En plus à voir les screens, j'ai l'impression que le problème concernant l'conomie est bien plus grave, puisque avec 100% d'insta, les britanniques n'ont tout simplement aucun PP ??? Donc terminé, kaput, sans 1 seul point, je ne vois pas comment faire baisser l'instabilité. Amener du ravitaillement en Grande Bretagne ne servirait à rien, puisque le pays n'en manque pas... sinon une solution, Boudi: tu lance la save avec la Grande bretagne, et tu donne toutes les armées en Europe comme corps expéditionnaire pour la France, save puis relance pour la France. En tant que C Exp, c'est maintenant à la France de ravitailler les unités...


De boudiboudi

Bien vu Mad, c'est ce que je pensais aussi, GB condamnée.

Mais ce raisonnement est faux. J'ai essayé de reprendre en main la GB sur une copie de ma partie. En fait les PP ne sont pas tout à fait à 0, ils doivent être à 0 virgule quelque chose, et HOI ne fait pas apparaître les décimales. En mettant tous les moyens sur le ravitaillement de la population, l'instabilité décroit peu à peu, les PP s'accroissent un à un, très lentement au départ, puis par effet boule de neige, de plus en plus vite. Le problème c'est que je ne peux pas gérer à la fois GB et France, sauf solution Sentenzienne.

Par contre, donner toutes les forces armées anglaises en corps expéditionnaires à la France pourrait être LA SOLUTION. Mais est-elle acceptable, encore une fois, en termes de règles à respecter dans une partie solo ?

Le débat est ouvert.

De Morpeus
Je pense qu'elle est acceptable..

Imaginons le cas ou un pyas serait a 100% d'instabiliter les dirigeant ne prefereraient t'ils pas ce concentrer sur les troubles interieur et laisser la gestion de l'armée exterieur a une nation alliés ?

Donc je dirais que oui tu peut !

De DUNHERE

Je pense le contraire.....dans le cas d'uneinstabilité à 100%, l'Angleterre est en insurrection, à feu et à sang.....
Que croyez vous que le soldat de base va faire? Se battre comme si de rien n'était sous commandement étranger?
Je pense plutôt qu'il y aura désertion en masse et que le Haut Commandement ne devrait être capable que de prendre le contrôle d'une infile partie de l'armée anglaise...en tout les cas ce qu'on lui confie......
Ce sont les aléas de la guerre. J'ai confiance en la valeur de nos armes Général Boudi


De boudiboudi

On en est donc à 2 avis diamétralement opposés.

Je trouve par contre très pertinent de raisonner sur le mode "que se passerait-il dans la tête d'un soldat britannique stationné en Pologne, dans la tête de l'état-major anglais et de Churchil ?"

J'aimerais avoir d'autres avis avant de prendre un décision lourde de conséquence sur la suite de la partie. En effet, j'ai décompté hier soir 93 divisions et 68 escadrons britanniques en territoire polonais, une paille !

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Que pensez-vous d'une solution intermédiaire qui consisterait à penser que 15% ou 20% de soldats britanniques souhaiteraient continuer le combat contre les russes, poussés par des officiers tenaces ? Cette proposition rejoint celle de Dunhere, en la précisant de manière chiffrée.

De Morpeus


Essaye dans ce cas de regarder quelles unités ont les meilleur chef ( en terme de rang/experience/skill ). Je pense que ce serait une bonne methode de selection ( mais ne prend que les unités avec les meilleur des meilleurs chefs ).

De DUNHERE

Pour compléter mon point de vue avec tes chiffres.
Ce que je ferais c'est de distinguer les unités d'élites (plus "loyales" ) et le reste.
Ainsi,
des 38 Inf, je ne garderai que 2 divisions. 2 des 8 Divisions-Art et les divisions AT et AA
Soit 6 divisions d'infanterie sur les 48.

Marines : 2 des 3 divisions conservées (ce sont généralement des commandos a forte loyauté et moral.

Motorisées : 1 Génie + 2 Art + 3 Divisions simples
soit 6 divisions sur les 11

Mécanisées : 2 Art + 1 AT + 5 Div
soit 8 sur les 14

Blindées : 1 AA + 1 AT + 2 Art + 4 divisions
soit 8 sur les 17.

bien sûr, c'est totalement subjectif


(Edited by DUNHERE at 11:40 am on July 31, 2003)

De dede

Moi je pense qu'un pays qui atteint 100% d'instabilité, du à une guerre longue, demande l'armistice pour se concentrer aux troubles intérieurs. Je pense également que le soldat britannique moyen qui se trouve au fin fond de la pologne s'inquiète d'avantage de la situation au pays que de contrer la menace soviétique, aussi pressante soit-elle, surtout après 7 ans de guerre. Ce qui explique le moral au ras des paquerettes des troupes britanniques qui ne demandent qu'à etre rapatriées fissa et etre ainsi débarassée d'une mort certaine face au colosse soviétique...Peut etre peut-tu garder 2 ou 3 dfivisions britanniques, qui sous la conduite de leurs chefs, décideraient de désobéir à leur gouvernement pour continuer la lutte par anticommunisme viceral, mais 20% des unités, je trouve que cela fait encore trop.
Enfin, c'est mon avis. Ouala et bonne partie! La suite! la suite!


De boudiboudi ---------------------

COMMUNIQUE OFFICIEL DU GOUVERNEMENT DU ROYAUME-UNI DE GRANDE BRETAGNE ET D’IRLANDE DU NORD


Les tragiques évènements qui secouent notre patrie en cette fin d’année 1948 m’ont conduit à présenter ma démission, ainsi que celle de mon gouvernement, à la Reine.

Celle-ci a décidé de la refuser pour des raisons que je n’ai pas à commenter.

Confirmé dans mes fonctions par le soutien indéfectible du parlement, j’ai décidé, eu égard à l’exceptionnelle gravité des évènements et compte tenu de la situation insurrectionnelle qui règne dans notre pays d’appliquer dès aujourd’hui les mesures suivantes :

1)L’état de siège est déclaré sur tout le territoire du Royaume-Uni.
2)Un couvre-feu est institué dans toutes les communes de plus de 2500 habitants entre 19h00 et 06h00.
3)La constitution est suspendue jusqu’au retour à l’ordre. Les pleins pouvoirs sont donnés aux forces de police et aux forces armées pour que l’ordre revienne dans les plus brefs délais. Notamment, toute personne suspectée d’activités subversives pourra être incarcérée sans procédure judiciaire préalable.

Compte tenu de ces tragiques évènements, j’ai informé les gouvernements alliés, et notamment le Général De Gaulle, Généralissime des forces alliées en Europe, que nous ne pouvions plus maintenir notre contingent sur le territoire polonais.

Il est en effet indispensable de calmer les esprits en rapatriant nos soldats qui s’inquiètent légitimement pour leurs familles. Par ailleurs, nous avons besoin de ces effectifs pour maintenir l’ordre dans les villes, et notamment surveiller tous les sites sensibles : usines, centrales électriques, barrages, gares ferroviaires, centres administratifs…

Il en découle que c’est avec une extrême tristesse que nous devons cesser le combat contre l’Union Soviétique et commencer à rapatrier nos troupes dès demain. Toutes les instructions nécessaires ont d’ores et déjà été données.

Toutefois, et compte tenu que les forces aériennes ne sont pas indispensables au retour à l’ordre, j’ai demandé que des pilotes et du personnel de maintenance de la Royal Air Force fassent actes de volontariat pour maintenir un minimum de forces aériennes en Pologne. Sur cette base, nous transférons le commandement de 3 escadrons de chasse et de 2 escadrons de bombardiers tactiques à la France.

Par ailleurs, il est bien évident que les volontaires polonais combattant sous uniforme britannique sont dorénavant placés sous commandement français, ce qui représente 2 divisions d’infanterie.

Nous sommes sûrs que nos alliés comprennent notre situation et qu’ils pourront faire face à notre ennemi commun.

Dès que notre situation intérieure sera rétablie, le Royaume-Uni reprendra toute sa place aux côtés de nos frères d’armes.


Que Dieu sauve la Reine.

Winston Churchill
Premier ministre.

Londres, le 23 novembre 1948.



De boudiboudi

09 décembre 1948. C’est la mort dans l’âme que nous assistons au départ des troupes britanniques de Pologne. Des centaines de milliers de compagnons de guerre prennent la route à bord des trains et des camions, avec tout leur matériel : artillerie, véhicules, véhicules blindés d’infanterie, chars lourds…

Certaines divisions se dirigent vers le grand port de Rostok en vue d’embarquer sur les cargos de la Royal Navy, d’autres traversons toutes l’Allemagne pour embarquer qui à Rotterdam, qui à Calais, qui à Hambourg.

Au fur et à mesure que les britanniques lèvent le camp, nous mesurons les trous béants laissés dans notre dispositif de défense. Comment allons-nous donc tenir ?

18/12/1948. Le maréchal Grechko avec 27 divisions attaque les défenses du maréchal Juin défendues, 7 divisions. Les forces étant trop disproportionnées , ordre est donné à juin de se replier sur l’Italie.

28/12 Ruzomberok abandonnée par nos troupes est investie par les russes. Nous sommes ainsi encore une fois chassés de Tchécoslovaquie.

Depuis 3 semaines que la chasse britannique nous a quitté, nos forces en lisière de la Vistule subissent d’incessants bombardements, nuisant ainsi au moral de nos troupes. Une nouvelle offensive russe se préparerait-elle ?

09/02/49. L’étude de la conception d’un réacteur nucléaire est lancée par nos équipes de chercheurs. Le front est étonnamment calme depuis fin décembre.

02/03/49 Nous retournons enfin en Hongrie et prenons Szombathely, qui était abandonnée par les russes. Fort de ce petit succès, nous fonçons sur Veszprem avec 2 malheureuses divisions motorisées menées par le Gal Huntziger. Ce même jour, nous constatons que les USA mettent un coup d’accélérateur à leur soutien en nous envoyant 3 divisions, débarquées à Lille.

03/03 nous reprenons Bratislava, riche en main d’œuvre, sans combattre.

13/03 Nous déclenchons le premier combat terrestre depuis le 11/11/48, terrestre en attaquant les positions russes de .Ruzomberok. 9 divisions du maréchal juin se lancent sur les positions russes tenues par 2 divisions. Nous découvrons alors avec un grand étonnement que les troupes russes semblent affaiblies et presque à court de munitions et de ravitaillement. Cette découverte peut-elle laisser penser que l’armée rouge puisse être mal approvisionnée dans son ensemble, ce qui expliquerait sa passivité depuis 4 mois, alors que les anglais avaient laissés à l’abandon des pans entiers de notre défenses ?

après 9 heures de combats, c’est fait, Ruzomberok est tombée. Ceci est très important pour nous, non par l’importance stratégique de la province, très mineure, mais plutôt de part le fait que nous reprenons l’offensive ! Le même jour à 14h,, le général Noguès s’empare de Kosice, sans combattre.

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16/03 Juin donne l’assaut sur Lucenec, défendue par 4 divisions sovietiques manifestement sous organisées. Cette sous organisation ayant été de plus accrue par des bombardements effectuées depuis l’aube par les volontaires de la RAF. En conséquence, les russes décrochent après 1 heure de combats. La route des balkans serait-elle ouverte ? Dès lors, enhardis, nous roulons sur notre nouvel objectif, la capitale hongroise, Budapest, ses usines, sa main d’œuvre !

le 19/03 à 10h00, nous atteignons les faubourgs de Budapest et engagons le combat. Nous nous apercevons alors que la capitale hongroise est fort bien défendue par une garnison massive, disposant d’unités très combatives. Nous décidons malgré tout de ne pas rompre l’assaut afin de tester la valeur du dispositif défensif ennemi. Nos unités de reconnaissances nous préviennent toutefois que 11 divisions russes, dont 8 blindées, foncent sur Budapest en renfort.

A 18h00, face aux pertes subies, et après avoir constaté que les défenses ennemies sont solides, tenues par des hommes équipés et motivés, nous décidons de battre en retraite.

Le 21/03 les russes contre-attaquent et tentent de prendre Lucenec. Ils sont relativement peu nombreux, mais ce sont des T34 qui attaquent nos fantassins épuisés par l’assaut raté sur Budapest. Il faut pourtant tenir ! L’ennemi sera finalement refoulé la nuit tombé, avec de sévères pertes à sa charge.

Le lendemain 22, les sovietiques lancent à nouveau leurs chars, de nouvelles divisions bien mieux organisées contre Lucenec. Mais l’avantage du nombre est encore de notre côté, à 3 contre 1. Plus inquiétante est la tentative russe de reprendre Kosice, car nos défenseurs ont subits de nombreux bombardement depuis plusieurs semaines, sans que la chasse occupée à défendre Cracovie n’ait pu intervenir.

Dans la soirée du 22, Timoshenko, dans son offensive sur Lucenec, reçoit le renfort de 2 nouvelles divisions blindées bien équipées. L’assaut est maintenant à prendre très au sérieux. Les russes sont une nouvelle fois déterminés à nous expulser de Hongrie !

A 22h00, Kosice semble devoir être abandonnée, l’assaut ennemi est devenu massif, 16 divisions, les français luttent à 1 contre 4.

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Le 23, au petit matin, nous abandonnons nos positions de Kosice, conscients que la bataille est perdue. A contrario, l’assaut russe sur Lucenec piétine, les T34 sont incapables de percer nos défenses. Ce petit matin du 23 réserve une nouvelle surprise à l’ennemi. De Lattre, après un voyage de 400km, donne l’assaut sur Zagreb, insuffisamment défendue par de l’infanterie ennemie.

Malheureusement, nous constatons le 25 que nous commençons à pêcher par excès d’optimisme. Malgré un rapport des forces de 3 contre 1 en notre faveur, Zagreb n’est toujours pas prise ! Par contre, le jour n’est pas encore levé que les blindés russes abandonnent le siège de Lucenec.

Dans l’après–midi du 25, nouvelle surprise pour les russes ! Le général Corap, à la tête de 16 divisions donne l’assaut sur 2 divisions blindées en défense sur Przemyls. Si nous réussissons, nous franchissons la Vistule pour réoccuper sa rive droite !

A 18h00, nous sommes cependant contraint d’abandonner notre attaque sur Zagreb, finalement trop bien défendue !

Rage ! le 27 nous devons aussi abandonner l’assaut sur Przemyls, nos pertes sont considérables face aux canons des T34.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
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Un petit calcul, et on s’en va !
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Boudi
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Message par Boudi »

De Guitt

est-ce que tu pourrais envoyer une carte du monde ou de l'europa stp?

Posted on: 11:11 am on Aug. 4, 2003

De boudiboudi

OK !

Alors, 1 screen de l'Europe :

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Ce screen est le plus important, car en fait seule l'Europe de l'est est un champ de bataille. En ce début avril 1949, français et russes se disputent farouchement la Hongrie et la frontière italo/autrichienne de la Yougoslavie.

On aperçoit la Roumanie annexée par l'Italie, le front grec (grèce annexée par la France) calme depuis des années.

1 screen du moyen-orient, du sous-continent indien. Rien a changé, tout est calme :

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1 screen de l'extrême orient.

Un seul commentaire : grosse merdouille de l'IA. Le Japon a annexé les Philippines, puis plus rien. La flotte américaine se balade dans le pacifique, croisières à l'oeil pour les marins de la Navy !

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screen 4 : vue générale du continent américain : RAS !!

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De guitt


est ce à la belgique la province qui est entre la Suisse et l'Italie?

De boudiboudi


Je vois ce que tu veux dire.

Non, c'est une province suisse, qui est plus foncée car je n'ai pas de troupes limitrophes qui me permettraient de voir ce qui s'y passe.

La seule province conquise par la Belgique, c'est Koln.

De guitt


c'est ce que je pensais au début mais j'avais de gros doute vu la ressemblance des 2 couleurs!

De boudiboudi

CAMPAGNE PRINTEMPS/ETE 1949

Avril/Septembre 1949

« Réflexions d’un homme de guerre…»



Varsovie, le 13 septembre 1949

Ma tendre épouse,

Quelle erreur fondamentale ai-je donc bien pu commettre ? Le front craque de toutes parts. L’armée rouge est à l’offensive sur tous les théâtres d’opérations : Balkans, Grèce, Pologne. L’état de nos armées est dramatique : nos divisions sont décimées, nos hommes sont épuisés, en fuite.

Pourtant, le printemps s’annonçait comme excellent, compte tenu du départ des 1 500 000 soldats britanniques du territoire polonais. Alors que Staline avait en conséquence les coudées franches pour nous repousser jusqu’au Rhin, le mois d’avril devait être marqué au contraire par un spectaculaire succès de nos forces armées : la libération de Varsovie !

Ô certes, la conquête de la capitale polonaise s’est faite dans la douleur.

La 1ère décade d’avril, l’initiative a d’ailleurs sans conteste appartenue aux soviétiques. Leurs troupes ont mené un redoutable assaut sur Cracovie. Seul l’afflue de renforts a permis à la ville de tenir et de repousser les hordes écarlates.

Cet assaut repoussé, nous avons sans aucun doute grandement surpris l’état-major ennemi en reprenant l’initiative par une offensive sur Budapest. Nos chars défilent dans la capitale hongroise libérée le 9 avril, tandis que nos alliés espagnols, épaulés par quelques unités américaines marchent sur les côtes adriatiques de la Yougoslavie. Réussiront-ils ?

Tous mes officiers constatent que si le combattant espagnol est valeureux, son équipement et son encadrement laissent grandement à désirer. Les unités de milices ne peuvent pas grand chose face aux T34, et leurs « divisions blindées » se limitent à des régiments équipés d’auto-mitrailleuses dont le blindage est aussi épais qu’un biscuit militaire, mais nettement moins dur ! Les corps espagnols et vénézueliens ne remplaceront jamais l’armée anglaise ! Les américains bénéficient par contre d’un matériel très moderne, mais leurs effectifs ne dépassent pas 6 divisions en Europe.

Je ne te cache pas que Budapest est devenue un enjeu entre le camp soviétique et le nôtre. Les assauts ennemis seront inlassablement repoussés 6 jours durant, au prix de pertes humaines et matérielles impossibles à compenser.

C’est le 21 avril que j’ai lancé le gros de mes troupes sur Varsovie. La ville ne devait être conquise que le 26, au prix de sacrifices énormes. Certaines de mes unités ont été purement et simplement anéanties, notamment les unités hispanophones. D’autres ont subi des pertes à 80%. Chaque quartier, chaque avenue, chaque rue pouvait receler un danger : T34 embusqué, nid de mitrailleuse, canon anti-chars derrière des sacs de sable, soldats de l’armée rouge aux fenêtres prêts à lancer des cocktails molotov sur nos halftracks. Sur 6 blindés ayant donné l’assaut aux troupes communistes retranchées dans la Diette, 5 étaient hors de combat après 10 mn de conflit : chenille explosé au bazooka, tourelle ou moteur en flammes. Mais Varsovie est libre !

Galvanisés par cette si importante victoire, nous parvenons alors à faire reculer cette si puissante armée rouge sur tous les fronts pendant les 60 jours de mai et juin.

Conquête de Torun, Elbing en Pologne, puis Kaliningrad, portant ainsi le combat sur le territoire soviétique lui-même,

Conquête de Veszprem, Pecs en Hongrie,

Lucenec en Slovaquie,

Zagreb, Novi-Sad en Yougoslavie. Nous sommes alors aux portes de Belgrade.

De Grèce, nous obtenons aussi la rupture du front et prenons Skopje et Pristina.

Un débarquement de forces motorisées et mécanisées est réussi à Dubrovnik. Les troupes débarquées libéreront même Sarajevo.

Mais la plus grande surprise pour Staline a du être sans conteste notre débarquement, organisé dans le plus grand secret, à Léningrad. La métropole prise, nos blindés défilaient devant le plais d’hiver le 21 juin, Bel été qui s’annonçait !

Mais l’arrivée de juillet devait marquer la fin de nos réussites. Mes services de renseignements, mes unités infiltrés en territoire ennemi n’ont pas su m’avertir de l’imminence du danger : les russes, par un flot ininterrompu de trains venus de l’Oural, acheminaient la plus formidable machine de guerre de tous les temps : fantassins par centaines de milliers, nouveaux chars surclassant les nôtres, batteries de canons lourds et de Katiouchas, aviation reconstituée et même renforcée.

Juillet, août et septembre, sous une chaleur torride, les 40° étant couramment atteints, devaient sonnet l’heure de la reconquête pour les bolcheviks. Tous nos points d’appuis devaient céder les uns après les autres : Léningrad, Budapest…

Malgré une opposition farouche, nous sommes en cette fin d’été à nouveau expulsés de Hongrie et de Yougoslavie. Pire ! Profitant d’une incroyable erreur de positionnement de nos défenses, les rouges se sont emparés de Ionina, en Grèce, non sans encercler et massacrer 16 de nos divisions ! Ils ont alors déferlé sur toute la Grèce et viennent de s’emparer d’Athènes, notre joyaux.

Aujourd’hui, sur tous les fronts, ,nos forces sont épuisées, décimées. Rien ne semble plus capable d’empêcher les communistes de franchir la Vistule, de nous repousser à travers l’Allemagne.


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Quelles erreurs ai-je donc commises ? Certes, nos chars sont déjà d’un modèle ancien, mais la recherche nucléaire a accaparé beaucoup de ressources. Nos recherches en matières de fusées ont aussi beaucoup coûté. J’ai ordonné un abandon provisoire de ces recherches afin de nous recentrer sur l’amélioration de nos blindés (chars lourds de type III, canon de 90mm) de notre infanterie (fusil d’assaut de type II, mines à effet dirigé) et de notre artillerie (doctrine de l’artillerie synchronisée, canon anti-chars de 100mm, artillerie de campagne de 200mm, obusier d’infanterie de 150mm).

Mais le facteur démographique a aussi énormément joué. L’insuffisance démographique de notre pays nous a empêché de reconstituer nos divisions et d’en créer de nouvelles, alors que les russes disposent de cette ressource à l’infini.

Malgré ce constat terriblement douloureux, sache que je fais tout mon possible pour freiner l’ennemi le temps nécessaire à la réorganisation de nos défenses.

Charles de Gaulle.


De jmlo


quel est le rapport de force entre l'armée des ouvriers et paysans et les AAB ( Armées alliers bourgoises ) ?


De Slammer


Passionnant

De boudiboudi


“ Une arme terrifiante…”


Septembre 1949 / Février 1952


Journal de guerre du Général Leclerc de Hautecloque.

Depuis 2 ans et demi, Soviétiques et alliés, Français en grosse majorité, se font face. Seule l’Oder sépare les deux belligérants.

C’est durant l’automne 1949 que nous avons du abandonner les provinces occidentales de la Pologne à l’ennemi. Depuis janvier 1950, nous sommes campés sur nos positions, sur les rives gauches de l’Oder, frontière naturelle entre l’Allemagne et la Pologne.


Depuis, un véritable mur de fer s’est abattu sur l’Europe, la coupant en deux. A l’ouest, les démocraties occidentales se sont regroupées au sein d’une nouvelle organisation militaire, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), remplaçant le défunt SHAFE.

A l’est de l’ODER, les démocraties populaires, sous régime socialiste, ont placé leurs forces sous un commandement intégré baptisé « Pacte de Varsovie ».

Nos forces terrestres se font face depuis deux ans, sans qu’une offensive générale n’ait pu être organisée, de part et d’autre. Seule l’aviation se révèle extrêmement active, avec des bombardements incessants de l’armée rouge sur nos positions. La stratégie ennemie est toutefois maintenant contrecarrée, grâce à la production en série de nouveaux chasseurs, classifiés « intercepteurs de type II » qui sont venus remplacer nos vieux D.501 inopérants, en service dans l’armée de l’air depuis 1936 !

Notre pays a, il est vrai, réalisé un considérable effort technologique depuis 2 ans, et ce dans la plupart des domaines :

infanterie : C3I de terrain moderne, fusil d’assaut II,
Blindés : chars lourds III 90mm,
Electronique : calculateurs électromécaniques,
Industrie : craquage catalytique fluide,
Fusées : Mise au point d’une fusée,
Energie nucléaire : Test de la bombe atomique
Artillerie : canon de 120mm( pour nos futurs blindés super-lourds), DCA 30mm automoteur…
Chasseurs : Chasseurs III.
Doctrines terrestres : tests des combats de la fin de la guerre.

Ce n’est que fin 1951 qu’une terrible bataille s’est déroulé sur la province de Landsberg, derrière l’Oder, que nous avions très provisoirement conquise. Les russes ont mis à profit leur formidable avantage numérique pour reprendre la province. Nous avons du lâcher prise après une dizaine de jours d’intenses combats. Ce n’est qu’au regroupement de nos forces derrière l’Oder que nous avons alors pleinement pris conscience des pertes subies. L’armée française, qu’un long développement de 2 ans avait hissé au quatrième rang mondial, rétrogradait alors loin derrière des pays comme l’Italie ou l’Australie, au 8ème rang mondial.

Notre seul espoir d’en finir est sans doute le développement de la bombe atomique.

Les américains s’en sont déjà servi à cinq reprises depuis 1950. Quatre fois sur des villes tenues par les forces soviétiques, la dernière sur Tokyo.

Image

Budapest, Sofia, Karkov notamment ont été la cible des ces bombes effroyables. Leur efficacité est terrible. Tout est anéanti sur la province touchée.

Mais au delà de l’aspect purement militaire, l’être humain a-t-il le droit d’utiliser cette arme sur un autre être humain ? En tranchant les premiers, les Etats-Unis d’Amérique ont pris une lourde responsabilité face à l’Histoire de l’Humanité !



Posted on: 11:58 am on Aug. 16, 2003

De boudiboudi

“ Message de Radio France du 7 janvier 1954 à 08h20”




Crouic crouic (parasites radios) Chers auditeurs,

Nous sommes contraints d’arrêter la diffusion de vos programmes habituels pour vous donner l’information suivante :

Il y a un petit peu plus d’une heure, ce matin à 07h00, la France a utilisé pour la 1ère fois l’arme atomique dans le conflit qui l’oppose à l’Union Soviétique. D’après nos premières informations, une bombe a été larguée dans la région d’Oppeln (Opole), sur la rive droite de l’Oder. Nous avons en ligne notre correspondant permanent auprès de l’Etat-major des forces aériennes à Berlin, en compagnie du Maréchal Vuilemin, chef d’Etat-major. A vous Berlin, vous m’entendez ? crouic crouic…

Oui Paris, j’ai donc effectivement à mes côtés le Maréchal Vuilemin qui a supervisé l’opération. Maréchal, vous nous confirmez les faits ?

Je confirme qu’une bombe utilisant les propriétés de fission de l’atome, chargée d’uranium 239, a été larguée ce matin à 07h00 sur les forces soviétiques stationnées sur la ligne de front, derrière le fleuve Oder, dans la région d’Oppeln.

Quels sont d’après vos premiers renseignements les résultats obtenus ?

Il est encore très tôt pour tirer des conclusions définitives mais d’après nos avions d’observation les troupes ennemies cibles du largage ont été totalement annihilées.

Vous avez une idée des pertes de l’ennemi ?

Les Russes stationnaient approximativement 50 divisions sur la zone de largage, on peut donc estimer que dans cette opération l’ennemi a perdu 20% de ses matériels et effectifs, soit environ 750 000 hommes.

Maréchal, qu’est-ce qui a poussé la France a utiliser l’arme atomique à ce moment précis ?

Cette arme a été mise au point tout récemment. Par ailleurs, vous n’ignorez pas le danger réel de voir le Kominterm imposer sa suprématie au monde, eu égard à ses inquiétants succès en Inde, pratiquement totalement conquise. Nous ne pouvions nous même espérer une quelconque offensive sur le front polonais tant que l’ennemi maintenait des effectifs trois fois supérieurs aux nôtres à la frontière. L’anéantissement de près de la moitié des forces soviétiques stationnées sur l’Oder nous a d’ailleurs permis de lancer une offensive générale qui se déroule actuellement, avec un franc succès d’après les observateurs présents sur le terrain.

Comment cette opération a-t-elle été préparée ?

Nous avons du acheminer par convoi spécial et dans le plus grand secret la charge atomique sur l’aérodrome de Breslau où étaient stationnées nos forces aériennes stratégiques. Nous avons dû au préalable engager le combat dans le ciel d’Oppeln avec 6 escadrons de chasse afin d’être sûr qu’aucun intercepteur ennemi ne serait à même d’abattre le bombardier porteur de la bombe. Le ciel un fois vide d’avions ennemis, plus rien ne s’opposait au largage.

La France a-t-elle demandé le feu vert à ses alliés, notamment américains ?

Notre pays est totalement indépendant quant à l’utilisation de sa force de frappe nucléaire. Il n’a donc d’autorisation à demander à quiconque. Toutefois, nous avons informé les instances dirigeantes de l’OTAN à Bruxelles 10 mn avant le largage.

A-t-on une estimation des pertes civiles et quelle est la position de la France vis à vis de la Pologne ?

Contrairement aux précédentes opérations américaines, ce sont des cibles militaires qui ont été choisies, et non des centres industriels civils. Je suis convaincu que le gouvernement polonais en exil à Berlin, et le peuple polonais dans son ensemble, comprendront que c’était le seul moyen d’aboutir à la libération de la Pologne dans un premier temps, puis à la destruction totale du régime soviétique. Quant aux civils présents dans la région au moment de l’explosion, nous les estimons de 50 000 à 80 000, pas plus, compte tenu que la plupart avaient fui cette zone de combats intenses depuis de nombreuses années.

Maréchal, y aura-t-il d’autres largages ?

Tant que le Maréchal Staline n’aura pas accepté nos clauses d’armistice, soit une capitulation sans condition de toutes les forces armées soviétiques, nous nous réservons le droit d’utiliser toutes les armes en notre possession.

Merci Maréchal Vuilemin, à vous Paris !


De guitt
qu'une chose à dire: (suivent des emoticons sanguinolents non récupérables)


boudiboudi

Ton commentaire est largement explicite !!

Avec l'arme nucléaire, les victimes vont grimper de manière exponentielle !


dede


Commentaires du Kamarrade Maurice Thorez, Secrétaire Général du PCF en exil à Moscou, ou il occupe le poste de "Cher Dirigeant Bien Aimé" du Gouvernment prolétarien anti-fascisto-capitaliste libre et démocratique français :
"C'est loin Pékin?"


jmlo


T'as plus qu'ésperer que les russes ne ripostent pas avec du nucléaire

De boudiboudi


La bombe ayant fortement amoindri le dispositif défensif soviétique, nos divisions franchissent l’Oder avec les rives de la Vistule pour objectif. Le front est rapidement percé, avec les conquetes de Landsberg, Poznan, Bydgosziz. Au sud, un autre corps d’armée s’empare d’Oppeln (les radiations sont un concept absent dans HOI ) et fonce de toute la puissance de ses moteurs sur Czestochowa et Cracovie. Ce sont sans doute ces conquêtes rapides qui poussent les norvégiens à rejoindre l’OTAN en août 1954.

Pourtant, la libération rapide des plaines polonaises, de grandes villes comme Poznan ou Cracovie ne suscitent plus l’enthousiasme de la population polonaise comme naguère. Certains groupes se montrent même hostiles à nos troupes, en brandissant des pancartes « Non à la bombe atomique », « Vous avez massacré nos fils et nos filles ». Ne comprennent-ils pas que c’était là le prix à payer pour leur libération ?

Mais nos forces armées n’ont que faire de l’ingratitude polonaise, car le corps d’armée nord franchit la Vistule, atteinte en quelques semaines, traverse Torun et rejoint la mer baltique à Elbing. Par cette manœuvre, 90 divisions russes sont piégées à Stettin et Danzig. Nous décidons de les écraser immédiatement.

Les forces ennemies retranchées dans Stettin sont alors attaquées simultanément par nos forces présentes à Rostock, Berlin et Landsberg. C’est une formidable bataille qui s’engage alors, 80 divisions de part et d’autres s’affrontent dans des duels d’artillerie, des charges de blindés, à la baïonnette parfois en milieu urbain. Après quelques jours d’intenses combats, les russes abandonnent la province et rejoignent une dizaine de divisions retranchées dans Dantzig. Le moment est venu de porter l’estocade. Si nous prenons Dantzig, les russes, acculés à la mer, sans marine pour les évacuer, n’auront d’autres choix que de se rendre.

A nouveau, l’offensive est menée de toutes les provinces adjacentes. Mais très vite, nous constatons que les russes vont nous faire payer chèrement leur vie, grâce d’une part à leurs effectifs supérieurs aux nôtres, 90 divisions, ce n’est pas rien, d’autre part grâce à la nature du terrain, les marécages de Dantzig nuisant à notre offensive.

Les heures deviennent des jours, et nous devons envisager de rompre le combat, celui-ci tournant nettement à l’avantage des soviétiques, certainement ravitaillés de nuit par la mer.

C’est la prise d’Elbing par des renforts ennemis , rompant ainsi l’encerclement de Dantzig, qui nous conduira à stopper notre offensive. La mine défaite, nos soldats se replient en bon ordre sur leurs bases arrières.

Ce recul marque à contrario le début de la contre-offensive ennemie. Grâce à de nouveaux renforts acheminés par chemin de fer, les russes ont reconstitué leurs effectifs. De provinces en provinces ils nous repousseront à nouveau derrière l’Oder, nous ramenant à nos positions initiales.

C’est ainsi que la détermination des hordes staliniennes nous oblige à lancer une nouvelle bombe atomique le 22 septembre 1954 au petit matin sur Stetting. Ce faisant, 32 divisions rouges sont vaporisées.

Ignorant les vives protestations du gouvernement polonais en exil en commission exécutive de l’OTAN , nous nous empressons de profiter du nouveau trou béant occasionné à la défense soviétique.

En quatre mois d’hiver 54/55, nous reprenons les plaines polonaises coincées entre Oder et Vistule, à l’exception, bien provisoire nous n’en doutons pas, de Dantzig.

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Ce 18 janvier 1955, nous préparons une nouvelle grande offensive, dans le but de libérer tout l’est polonais jusqu’à la frontière soviétique.

Nous disposons pour cela d’une nouvelle arme déterminante : de supers chars lourds dotés d’un canon de 150mm, soit le meilleur matériel blindé au monde. Les russes vont bientôt les découvrir !

C’est ce 18 janvier qu’est guillotinée Yvette Bouchu, traître à la nation


Posted on: 12:13 pm on Aug. 22, 2003

FranceLibre

De Jean Bond, ambassadeur extraordinaire, Washington, D.C.
A Général de Gaulle, commandant en chef des forces de l'OTAN

Mon Général,

Bien que (provisoirement) expatrié afin de mener en votre nom de cruciales négociations avec nos alliés américains au sujet de l'accroissement de leur effort de guerre en Europe, je suis avec passion les évènements du front.
Comme prévu, l'arme nucléaire a changé le visage de la guerre et la victoire sempble nous sourire à nouveau. Je forme des voeux pour que l'atome ne se retourne pas un jour contre nous.

Cependant, afin d'écourter ce conflit désespérant et d'atténuer les souffrances et sacrifices qu'il impose à nos héroïques soldats, je vous supplie, une nouvelle
fois de me laisser proposer aux Américains leur intégration au commandement unifié. Ils sont prêts, je le sens, à fournir l'effort nécessaire pour terminer enfin ce conflit et vous portent, soyez-en sûr une admiration profonde qui pourrait sans nul doute aller jusqu'à placer sous votre commandement leurs forces militaires, le Japon semblant marquer le pas dans le Pacifique (peut-être est-il repus, cet autre ogre). Ils n'ont pas oublié Lafayette, non plus que Foch qui mena jadis en 17 leurs boys à la victoire commune.

je sais votre réticence à solliciter quoique ce soit, particulièrement aux anglo-saxons, mais, mon Général, l'intérêt supérieur de la, que dis-je, DES nations doit à présent commander.

Attendant vos directives, avec le secret espoir d'un accord de votre part sur cette question primordiale, je demeure, mon Général, votre éternellement dévoué serviteur.

Jean

PS : J'ai également appris l'exécution de la traîtresse ci-devant Bouchut. Ce n'est que justice. Cette félonne scélérate m'avait récemment dévorer un plan d'épargne-logement tout entier pour un soi-disant "nid d'amour" en Macédoine. C'était un piège grossier : les T34 bolcheviks l'ont réduit en poussière la jour prévu pour mon arrivée. Je n'ai du mon salut qu'à un providentiel retard de paquebot. Niais que je suis ! Mais, pour être aussi homme, vous le savez, mon Général, la gueuse avait des arguments ... comment dire ... allêchants.


De boudiboudi


CAMPAGNE 1955/ PRINTEMPS 1956

Janvier 1955 / Juin 1956


Après l’anéantissement de dizaines de divisions soviétiques dans le feu nucléaire, nous comprenons que la possession unilatérale de cette arme dévastatrice sonne le glas de l’empire soviétique.

Nos forces sont alors divisées en 2 groupes d’armée inégaux :

Un groupe d’armée nord (GAN) destiné à libérer l’est de la Pologne et à conquérir les plaines de l’Oural. Le GAN concentre 90% de nos forces.

Un groupe d’armée sud (GAS) destiné à libérer la Hongrie et les balkans du joug soviétique. Le GAS dispose à l’origine de 8 divisions de chasseurs alpins.

GROUPE D’ARMEE NORD

1er trimestre 1955 « La Pologne libérée »


L’objectif initial assigné au GAN est la libération totale du territoire national polonais avant le 30 mars.

Le 27 janvier, les forces ennemies sont expulsées de Dantzig, leur dernier point d’appui à l’ouest de la Vistule. Ceci obtenu, l’objectif prioritaire devient évident : Varsovie doit être libérée.

L’attaque sera menée simultanément par les provinces de Lodz et Radom. Malgré la neige tourbillonnante, le froid terrible qui transit nos hommes sous leurs épais manteaux, Varsovie sera libérée le 5 février. Elle était occupée par les russes depuis 1949.


Le blizzard cloue alors sur place notre armée trois semaines durant. Trois semaines durant lesquelles les russes concentreront des forces importantes sur Lublin. Ils ne nous laissent pas le choix. Cette concentration de troupes sera atomisée par une nouvelle bombe atomique le 26 février au petit matin, lancée pour la première fois par un V1 équipé d’une tête nucléaire. La Pologne proteste à nouveau vigoureusement.

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Tout peut alors aller très vite. Le blizzard tombé, nos forces entament un mouvement en arc de cercle à partir de Varsovie et occupent successivement Ostroleka (01/03), Suwalki (08/03), obliquent à l’ouest et prennent Königsberg (13/03). La Baltique est ainsi atteinte, coupant toute retraite aux forces ennemies stationnées sur Elbing et Torun.

Après la chute d’Elbing, le drame sera dénoué par la reddition de 12 divisions soviétiques encerclées dans Torun le 22 mars.

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Lublin occupée le 12 mars, (HOI ignore les radiations :bonnet), Grodno le 26, l’objectif initial est alors malgré tout non rempli, Wilno, Lwow, Bialystock, Brzesc nad Bugiem entre autres étant encore aux mains de l’ennemi.

Le blizzard dans un premier temps, puis le beau temps revenu les bombardements incessants des soviétiques ont considérablement ralentis les opérations.

Nous terminons malgré tout l’hiver en beauté, par la prise de Minsk le 29 mars. Nous sommes alors en territoire soviétique !

2ème trimestre « Tintin aux pays Baltes »

Le reste de La Pologne attendra. Ignorant les protestations de celle-ci , nous fonçons sur les pays baltes, pourvus de garnisons moins importantes.

Wilno, province polonaise la plus septentrionale, conquise le 18 avril, sera notre point d’appui pour libérer tous les pays baltes.

Des chocs frontaux contre les fortifications ennemies de Memel et de Kaunas, capitale lituanienne, ayant été des boucheries inutiles, nous décidons une nouvelle manœuvre d’encerclement. Par un brusque virage sur l’ouest, nous entrons en Lituanie, nous nous emparons de Siauliai, et de là passons la frontière lettonne pour occuper Daugavpils, puis Liepaga. La vitesse de nos blindés et de nos troupes fortement motorisée a surpris l’ennemi, qui est alors encerclé dans Memel et Kaunas. Les deux villes seront prise le 26/04 et le 15/05, avec des milliers de prisonniers russes à la clef. Le front nord s’établi alors de part et d’autre de la Dogava.

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Cette rivière sera franchie le 02 juin, par une percée en territoire soviétique. Pskov (02/06)et Velikije Luki (09/06)sont alors conquises, tandis que notre aviation stratégique bombarde les zones industrielles de Minsk, occasionnant 8PP de dégâts à l’ennemi.

3ème trimestre « Visite du Plais d’Hiver »

L’été marque la libération complète de la Lettonie et de l’Estonie. La Dogava est définitivement franchie, Tallin est occupée le 30/08, Riga le 02/09.

Nous nous enfonçons un peu plus en territoire soviétique, l’ennemi combat maintenant sur ses terres. C’est le 12 septembre qu’une importante victoire est acquise : la prise de Leningrad. Ses importantes fortifications, qui auraient pu soutenir un long siège, n’étaient en fait défendues que par 2 divisions d’infanterie désorganisées. Un grand défilé des troupes française est organisé le long du Palais d’Hiver.

Novgorod étant entre nos mains, Moscou se révèle à portée de nos bombardiers atomiques. Allons-nous raser la capitale soviétique ? C’est tout à fait hors de question, la ville recèle trop de joyaux. Vitebs paiera le prix de ce choix, en étant transformée en no man’s land radioactif le 14 septembre. Une nouvelle fois, ce sont des cibles militaires qui étaient principalement visées.

4ème trimestre : automne 1955 « Moscou est belle sous la neige »

Le GAN ne poussera pas plus loin au nord, en direction de la Finlande. Le cap est mis à l’est, le bras supérieur de la Volga et le grand lac de Rybinskije sont atteints fin octobre.

Le 06 novembre 1955, une nouvelle attaque nucléaire anéanti un important corps d’armée ennemi à Petrozavodsk, sur la frontière finlandaise, au nord de Leningrad.

L’hiver russe est à nouveau là. Le froid va à nouveau gêner notre mobilité. Toutefois, Kalinin, dernière étape à l’ouest de Moscou, est prise le 21 novembre.

Le 25 novembre, Giraud lance un premier assaut sur Moscou, mais ses divisions mécanisées butteront sur d’importantes fortifications. Mais l’excitation est immense dans nos rangs ! Nous sommes aux portes de Moscou ! Même si nous savons déjà que Staline a transféré son gouvernement, son haut état-major à Stalingrad, le symbole reste immense.

Ce sera finalement le 05 décembre que Moscou sera conquise, pratiquement abandonnée par ses défenseurs. L’histoire retiendra que la capitale soviétique s’est rendue à un obscure officier, le Général Prioux, illustre inconnu, à la tête de seulement 2 divisions de chasseurs alpins et d’une division de cavalerie, la seule unité montée encore en service dans nos rangs !

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Un énorme défilé est aussitôt organisé sur la Place Rouge. Les principaux généraux de l’Etat-Major allié ont pris place sur le Mausolée de Lenine, dont la dépouille a été bien sûr emmené par les soviétiques, certainement à Stalingrad.

Mais la guerre continue. A travers Kaluga, le site stratégique de Smolensk est pris le 17/12. Un gigantesque encerclement est en cours, nous tentons de prendre dans une nasse les nombreuses unités russes en défense à l’ouest du Dniepr, à Minsk, Mogiljov, Brobusk.

Des bombardements massifs réduisent à néant les zones industrielles ennemies de Volodga, au nord de Moscou, et Gomel, au sud de Smolensk.

1er trimestre 1956 “La Pologne doit être nettoyée »

L’hiver russe est terrible. Nous nous rendons compte à quel point ce pays est immense, les distances à parcourir sont énormes. Nous nous inquiétons d’ailleurs car nos stocks de pétrole diminuent, nos chars super-lourds, notre armée ultra motorisée consomment beaucoup d’essence, et les puits de la mer noire sont encore à des milliers de kilomètres.

Si notre industrie bénéficie d’un potentiel immense, les hommes nous font cruellement défaut, nous obligeant ainsi à miser essentiellement sur la production de divisions blindées. A l’inverse, nous commençons à voir apparaître dans l’armée ennemie de nombreuses unités de milices. Retranchées dans les marais, où nos blindés s’embourbent, leur nombre nous pose un réel problème.

Paradoxalement, si Moscou est prise, les provinces polonaises à l’est de la Bug sont toujours occupées par l’ennemi. L’hiver 1956 sera mis à profit pour libérer Lwow (29/02) et Byalistock (13/03)

2ème trimestre 1956 « contre-attaque soviétique »

La campagne polonaise continue. Nous libérons successivement Brzesc nad Bugiem (03/04), Pinsk (11/05). Toutefois, Brzesc nad Bugiem sera reprise par l’ennemi le 04/06, pour être à nouveau libérée le 19/06. Les forces russes prouvent qu’elles sont restées dangereuses.

D’ailleurs, une contre-attaque soviétique cloue depuis avril nos forces au sud de Moscou. Nous tentions un formidable encerclement des forces russes autour des marais de Minsk, par une tentative de jonction entre le GAN et les éléments les plus septentrionaux du GAS, stationnés à Budapest. Les russes réussiront à briser notre manœuvre, à nous repousser sur nos positions moscovites. A ce jour, 30 juin Minsk et sa région sont sauvées pour l’ennemi.

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GROUPE D’ARMEE SUD

Si Rijeka, en Croatie, est libérée le 25/02/55 par nos chasseurs alpins, force est de constater que les opérations se débloqueront vers septembre 1955, alors que le GAS bénéficie de nouvelles unités motorisées, mécanisées et blindées.

Zagreb est conquise le 23/09,Osijek, ville ouverte, est occupée le 1er octobre. La rive nord de la Drina est alors tenue par nos forces.

Bratislava est libérée dans la liesse générale le 25/11. Malheureusement, un assaut qui durera 5 jours sur Belgrade sera impitoyablement repoussé par l’ennemi. De nombreux chasseurs alpins resteront sur le terrain à cette occasion.

La libération de la Tchécoslovaquie nous réussi mieux, par la prise de Lucenec le 25 février 1956. Ceci permet la libération de la capitale hongroise, Budapest, le 06 mars, une nouvelle fois dans l’enthousiasme de la population locale.

Bien plus importante est la prise de Belgrade, après maints assauts repoussés, le 12 avril 1956. Les forces ennemies stationnées dans les Balkans sont alors coupées en deux, de part et d’autre de la Drina et du Danube. Pecs tombe, privée de l’approvisionnement belgradois tombe entre nos mains le 22 avril, concluant ainsi l’encerclement de 9 divisions russes positionnées à Szeged. Nous maintiendront alors le siège tout le mois de mai, jusqu’à ce que la garnison se rende d’elle même.

La reddition ennemie de Szeged libère des forces importantes que nous lançons au sud, sur la Bosnie-Herzégovine. Osijek traversée, Sarajevo est libre le 09 juin, la forteresse de Banja Luka et ses mosquées magnifiques le 13 juin. Enfin en Croatie, le port de Split est atteint le 22 juin, au terme d’une « Blitzkrieg » yougoslave rondement menée.

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Posted on: 4:52 pm on Aug. 30, 2003

De jmlo


De Mike Myers, MI6
A Wiston Churchill, 1er Ministre du Royaune-Uni

Après analyse de documents saisies par nos alliers à la loubianka : Il existe une bonne possibilité que le Maréchal Staline soit décédé en 1953.

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boudiboudi


Jmlo, tu n’as pas tord de souligner que le petit père du peuple est en théorie décédé depuis 3 ans.

Mais HOI ne gère pas ces fallacieux détails. Dans mon AAR, il y a une tripoté de généraux qui sont morts (Leclerc est mort depuis presque 10 ans , en 1947 !), ou qui ne devraient plus être en service actif depuis longtemps ! (on imagine les divisions commandées par des vieillards en chaises roulantes…)

J’y peux rien, moaaaah !!


Lettre de Jean Pierre Marielle, conseiller auprès du Général de Gaulle, à Jean Bond

Ben alors, mon petit Jean, ça va pas la tête ? Proposer au Général de travailler main dans la main avec les américains ? Remettez-vous mon p’tit vieux ! C’est le soleil de Floride qui vous a tapé sur la tête ?

Allez, j’vous envoie un colis de galettes de Pont-Aven, et pis j’vous fourgue un lot de parapluies qui me reste, tiens, ça débarrasse !


De von Aasen


On va dire que Staline aurait eu a subir une pression nerveuse un peu moins intense sans les Allemands devant Moscou et Leningrad
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
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Boudi
Khan Océanique
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Message par Boudi »

De FranceLibre


De Jean Bond, ex ambassadeur extraordinaire aux Etats-Unis
A JP Marielle, conseiller du Général de Gaulle

Bonbonbonbonbon ... moi ce que j'en disais, c'était pour causer, hein ! Pissqu'on ne veut pas des Cainscains (d'ailleurs on n'en a manifestement pas besoin : boum, quand votre coeur (nucléaire) fait boum...), moi je rends mon tablier et je rentre revoir ma Normandie : j'ai du courrier en retard, mon jardinet dépérit et j'ai un abri anti-atomique à finir ! De plus, je me dois de consacrer plus de temps à Melle Cunégonde Bouchut, pauvre orpheline de 18 ans dont j'ai fait ma pupille depuis la fin tragique de sa mère...
Aussi, mossieur Marielle, voudrez-vous bien transmettre ma démission au Général : je me place dorénavant en réserve de la Nation et, tel Achille, me retire sous ma tente.
(.... et te souhaites, boudi, une excellente fin à cette passionnante partie : là, ça commence quand même à sentir la fin !)


De jmlo


c'est la limite du mods no limite
le jeu s'arrète en 48 normalement .

De boudiboudi



H E L P !!!

Bon là, les gars, je fais une pause dans la partie pour demander du secours.

Je suis en septembre 1957 et les russes, après avoir conquis la norvège, sont en train de me repousser en Pologne.

Ils ont reconquis Moscou, Leningrad, foncent à travers la Bielorussie et l'Ukraine.

J'y comprends rien moi ! Ya un bug, c'est pas possible !

J'ai une économie qui fait dans les 510-520 PP, le russe ne dépasse pas 60 PP, et ils me créé des divisions en veux-tu en voilà !

Je lutte maintenant dans les combats à 1 contre 10 ! Même mes chars super lourds avec leurs canons de 150mm se font hacher menus !

RAS-LE-BOL de cet AAR ! J'en voie plus la fin !

Ya un bug, c'est pas possible. Je me suis logué sur une copie du fichier de ma partie, en prenant le russe.

Il n'a plus de caoutchouc, plus de pétrole, un manpower à 3, et il a 115 divisions en redéploiement stratégique dans sa pile !

Plus celles sur le terrain ,il doit être à 300 div, moi j'atteins à peine 60.

Je pensais que mon aviation (bombardier tactique III, tout de même !) allait me sauver, car l'aviation demande peu de manpower, ma seule faiblesse.

Rien n'y fait, mes avions se font abattrent comme des mouches !

La mort dans l'âme, je crois que je vais, comme le suggère France Libre, faire appel aux ricains...

Fait chier, merde (excusez-moi, je ne me contrôle plus) pas moyen de gagner une WWII sans les ricains ?

Ma fierté franco-française en prend un sacré coup !


De Leaz


Effectivement y a de la tricherie la dessous

Essaie de modifier la save ou vire lui des unités meme si c'est de la triche face a sa je voit pas ce que tu peut faire la...

Encore un bel exemple que l'Ia en plus d'etre nulle triche ;o)


De dede


A la vache!!!!

Y te reste pas quelques bombinettes A??? histoire de pulvériser les hordes bolchéviques....
Sinon, effectivement, je ne vois qu'une seule explication à cette renaissance : y triche!!!!, à moins qu'il ai produit ces divisions en 46 et qu'il les aient gardées de coté, en cas de coup dur, comprends po....


De jmlo


Hum , l'IA triche peut-être mais à çe point là j'ai jamais vue , mais quel-est l'effet réel des Bombe A dans le jeu ? les unitées sont peut-être en reconstruction ou en redéploiment stratégique (au lieu d'être atomisées )

Une question : le russe a-t'il beaucoup de milice ? (généralement quand ça commence à sentir de roussi ,l'IA fabrique de la milice à tour de bras)

boudiboudi


Février 1958


Nous sommes revenus à la case départ, sur une ligne de front derrière la Vistule.

Varsovie est à nouveau soviétique.

Les balkans sont toujours en notre possession, grâce à un solide retranchement entre les positions italiennes en Tchécoslovaquie et en Roumanie.

Nous avions lancé la construction de fortifications sur cette ligne dès que la guerre a tourné en faveur des russes, elles seront prêtes dans quelques jours.

Nous avons lancé la production d'unités pourvues de brigades de génie, meilleures en défense, mais le manpower nous limite considérablement.

Seules bonnes nouvelles :

Nous sommes donc bien retranchés,
Nous disposons de 7 escadrilles de bombardiers tactiques III qui pillonnent le moindre assaut ennemi

Nous construisons de nouveaux bombardiers à réaction,
Nous préparons la bombe A au tritium (efffet...inconnu)
Nous disposerons bientôt de missiles balistiques intercontinentaux pour écraser n'importe quelle cible dans le monde.

En face, l'armée rouge semble avoir 30 ans de retard. Mais elle dispose de 320 divisions, dont 180 infanterie et 120 milice, le reste étant blindé ou mécanisé. Elle n'a plus d'aviation.

Notre espoir reste la bombe A, mais sa production est faible, 2 par an, en juin et décembre.


Posted on: 8:12 am on Sep. 2, 2003

De Sentenza


Note de A.Einstein, retrouvée dans sa poche arriere de pantalon par sa femme de menage :


" Liste de courses :
- 1kg de carottes
- 1 bouquet garni
- Une bombe au tritium met 3 mois a se preparer
- 1 pot de graisse de canard
- 1 caisse de champagne
- [illisible]"

boudiboudi


Bien reçu, concernant la bombe au tritium.

Le Gouvernement de la République Française décerne la Légion d'honneur avec palmes à la femme de ménage d'Albert Einstein, pour service rendu à la nation.

Sentenza, ton post est une bouffée de bonheur dans un océan de désespoir...

Vive la République !

Allons enfants de la Patrie...


adandigne


Le gouvernement panameen fait savoir que son illustre roi, alejandro el buffon, est de retour apres 25 annees d'exil et qui se range a la cause francaise, en lui faisant parvenir 3 chalutiers ainsi que ses felicitations pour avoir eradique la menace nazie et pour donner son sang pour sauver le monde civilise, menee par notre glorieuse nation, de la deferlante sanglante.

El gouvernemiento del Real Panama

PS, en gros bravo ;-)


boudiboudi

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Le Gouvernement Français remercie officiellement le Gouvernement Panaméen et son illustre roi, alejandro el buffon.

Les 3 chalutiers sont magnifiques et sont bien rangés à quai dans le port de Dieppe.


Général De Gaulle.

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DE De Gaulle à JP Marielle, proche conseiller :

Qu'est ce qui veut qu'on en foutte de ses chalutiers qui puent la morue ?

Ah, diplomatie, diplomatie...


De madmartial

Télégramme de Madéotti von McRuskof

Tres cher ami français, glorieux général qui fait de la France une fierté mondiale et un solide contrepoids face à la puissante et arrogante Union Soviétique;

Depuis peu à la tete du CNOUT (Comité National d'Océanie pour l'Unité Territoriale) apres les succesifs echecs de l'ONU (Org. Nationale Urugayenne), de la SACD (Société Anarchico-Communiste du Daghestan) puis du CNED (Communauté des Nippons des Etats Démocatriques) sans parler du CEDJ (Centre Equestre de la Diplomatie Japonaise, issue d'une cission du CNED aprés 1954), je pense être parfaitement capable d'apporter une aide importante à la France face aux dangers qui la menacent. J'ai déjà aidé, il y a de cela pres de 15 ans, vos prédécesseurs, jusqu'à ce qu'une vague rumeur, ô combien infondée, ne m'ait associé au sinistre pouvoir nazi, m'obligeant à une certaine retraite au sein d'organismes internationaux que je dirige succesivement depuis.

Vous n'êtes pas sans savoir que le CNOUT s'est opposé aux premiers essais que vous avez fait il y a de cela quelques années dans les atolls d'Océanie, et c'est avec grand plaisir que nous vous avon vu continuer ces essais non plus à proximité de notre belle barrière de corail, mais dans les dunes de vos possessions d'Algérie.

Aussi, face à cet effort trés louable de vos services (Sonia mon chou, s'il y a quelques longueurs, n'hésitez pas à couper, ce vieux crouton a parait il tendance à s'endormir au bout de 5 lignes) nous souhaiterions partager nos connaissances avec vous. Aussi nous vous envoyons le mode d'emploi de la toute nouvelle arme mise au point par notre mouvement, à savoir de la Vodka non frelatée. Les rouges, désormais habitués à se saouler à l'antigel, semblent avoir perdu le goût de la vrai vodka, dont l'ingestion rapide provoquerait au bout de quelques minutes un effritement des paroies du foie, entrainant une mort atroce et soudaine. Nos simulations indiquent que l'Armée Rouge pourrait perdre l'équivalent de 17 divisions par jour suite à ces ingestions. Bien entendu, ces stocks de vodka vous seront livré pour une somme trés modeste, considérant que cela vous permettra de gagner la guerre. La mise à prix est donc de 1250 F par bombonne de vodka. Veuillez trouver si joint le premier élément de cette bombonne, (à assembler facilement, 4.99 F le premier numéro) ainsi qu'une radio des foies de singes sur lesquels ont été lancés les premiers essais (Sonia à ce propos, donnez moi vite la radio de votre foie, que je l'envoie en même temps que cette lettre)

Sinon, un proche conseiller a émis l'idée de ne plus lancer une bombe tous les 3 mois, mais d'attendre d'en avoir un stock suffisant pour les lancer simultanément sur les différentes positions russes tout le long de la zone de combat, afin d'éliminer toute défense pendant quelques temps et les empecher ainsi de faire passer des troupes d'une province à l'autre...

PS: J'en profite également pour saluer le glorieux dictateur du Panama, Juan Antonio Adandignito, qui apres une longue absence, a enfin lancé lui aussi sa propre action d'aide à destination de votre magnifique et puissant pays.

(Sonia, vous me mettez les formules de politesses et tout le tintouin, et preparez moi un verre de scotch je vous prie. Non, juste un doigt...)

De dede


La CPPR (Communauté des Petites Principautés Rigolottes), qui regroupe Andorre, Monaco, Saint Marin, le Vatican et le Liechtenstein se joint à votre glorieux combat.

Andorre va dépécher sa 1ere compagnie de montreurs d'Ours, Saint Marin son 3985ème bataillon de Pizzaiolo d'assaut, Monaco sa compagnie de Croupiers d'élites, le Vatican son 777ème bataillon de bonnes soeurs de combat et le Liechtenstein sa 12ème compagnie d'acrobates skieurs.
Nous esperons que ces unités pourront etre rapidement intégrées à une grande unité française.
Le cardinal Reigner Von Carpaccio, Chef du CPPR Joint Military Command for Poland pense que votre développement de bombes A à truites (ou un truc comme ça) doit se poursuivre, quitte à abandonner un peu de territoire, tout en limitant les pertes et les contre attaques (quitte, également à évacuer les balkans pour rameutter des troupes fraiches). Ceci vous permettrai de mettre en oeuvre des bombardements atomiques massifs comme l'a suggéré M. von McRuskof, éminent ex-diplomate de la Wilhelmstrasse.

PS : nous avons bien reçut votre ordre de virement sur le compte 18061940. Vous etes toujours le bienvenu au casino de Monaco, vos cigarettes vous seront livrées au Havre par le cargo "Prestige du Poumon" sous peu.
Cordialement.

boudiboudi

A vous lire, il faut que je me retienne pour pas pouffer de rire, j'suis au travail là.

boudiboudi

Télégramme adressé à Madéotti von McRuskof,
Président du Comité National d'Océanie pour l'Unité Territoriale.


Cher Président,

Nous avons bien reçu le premier morceau de bombonne en kit, ainsi qu’un radiographie du foie d’un singe en phase terminale évoquées dans votre courrier.

Nous sommes quelque peu circonspects sur les nouvelles armes que vous proposez d’utiliser, mais nous ne saurions mettre en doute vos capacités militaires.

Nous tenons toutefois à vous exprimer notre étonnement suite à la remarque écrite d’une certaine « Sonia », se présentant secrétaire de direction, qui nous explique abréger dans ses propos car « ce vieux crouton », c’est à dire nous, « aurait tendance à s’endormir au bout de 5 lignes ».

Nous vous laissons appliquer la sanction appropriée.

(Jean-Pierre, je vous laisse rajouter les formules d’usage… et servez moi donc un peu de ce Dom Perignon que j’affectionne tant, non juste un doigt merci…)


Général de Gaulle.


Lettre adressée à la Communauté des Petites Principautés Rigolottes (CPPR)

Chers amis principautaires,

Nous avons reçu comme il se doit les troupes expéditionnaires que vous avez eu la gentillesse de dépêcher en Pologne.

Toutefois, nous sommes au regret de vous annoncer qu’ils n’ont pas eu l’effet escompté, les hallebardes des gardes suisses vaticantaux étant d’une toute relative efficacité face aux blindés lourds soviétiques de 60 tonnes. Les autres troupes dépêchées ont eu guère plus de bonheur…

Nous notons que vous soutenez la proposition de Madéotti von McRuskof concernant le stockage de nos bombes au Tritium afin que plus tard, le feu d’artifice n’en soit que plus réussi.

Malheureusement, et face à l’agressivité bolchevik permanente, nous ne pouvons nous permettre provisoirement ce luxe.

Je vous informe qu’effectivement la protection des balkans commence à nous coûter chère face aux assauts incessants des suppôts de Staline.

A titre personnel, il me serait agréable que vous ne fassiez point référence à mes petites transactions financières dans vos courriers officiels, on ne sait jamais.

Au plaisir de vous relire,

Patati patata.

Général de Gaulle,
Une flûte de Dom Perignon à la main.


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FranceLibre


De Jean Bond, ex ambassadeur, ex compagnon de la libération, ex agent secret, ex commando et ex...trêmement content d'être ex.

Cher vieux Charles,

tu ne peux imaginer, mon général, combien je suis aise d'avoir retrouvé la doulce France et de me prélasser dorénavant sans gêne en caleçon à fleurs sur le devant de ma garçonnière Normande (et sur le derrière de ma filleule parisienne, aussi).
Adieu veau, vaches, cochons, panzers et corned-beef. La PAIX ! aaah ... quel plaisir ! Mes vieux os craquent de bonheur à la douce chaleur du printemps renaissant.
Mais, qu'apprends-je stupéfait ? Tu rencontrerais de nouvelles difficultés à l'Est ? ben mon vieux au train où vont les choses, tu vas bientôt avoir besoin de ressusciter Jeanne pour terminer cette guerre de 100 ans ! D'où les Russkofs sortent-ils ces quantités d'hommes ?? Cela aurait-il un lien avec la chute de ce curieux astéroïde, tu sais, il y a 4 mois de ça, dans la région de Rosswellensk ? Ou alors le docteur Saroumanski (pas celui-qui-cherchait-une-route-qu'il-ne-trouva-jamais, l'autre) a-t-il fini par mettre au point ses "cocons reproducteurs Ouroukaïs" ? Je m'interroge...
Sache que, même s'il m'en coûterait prou de quitter ma douillette retraite, je reste à ta disposition et à celle de la [trompettes] Nation, si je puis t'être utile.

Fidèlement tien
Jean

PS: on les aura !
PPS : et, nan, je ne parlerai pas des Cainscains, nan ...

boudiboudi


Cher Jean Bond,

Votre missive prouve que la rudesse de notre proche conseiller JP Marielle ne vous a point offusqué. L’homme est un peu rude, rapide à s’emporter, mais il n’est pas à craindre.

Nous pensons que la reproduction rapide de l’hommos ruskis pourrait venir d’une modification du patrimoine génétique des mâles reproducteurs, suite au déferlement de nos bombes atomiques. D’après nos premières études in vitro, leurs spermatozoïdes permettraient de concevoir un nourrisson en 3 mois au lieu de 9…

Les études sont toujours en cours…


30 juillet 1958

De février à avril 1958, les assauts russes sur notre ligne de défense ont été incessants. Maintes fois nos troupes ont été au bord de rompre le combat, sous les attaques de marées humaines, l’ennemi ayant pour stratégie d’attaquer par paquets d’au moins 40 divisions, 600 000 hommes !

L’assaut de début mars a été sans conteste le plus palpitant, dans la mesure où nos fortifications n’étaient pas encore achevées. Pour quelques jours seulement de travaux de bétonnage, allions-nous tout perdre ? Par bonheur, l’afflux de renforts composés de divisions lourdes reconstituées dans leurs effectifs, pourvues de brigades de génie, et combiné à des raids incessants de nos bombardiers tactiques modernes, nous ont permis de refouler l’ennemi.

Une bombe atomique larguée sur les ruines de Varsovie nous a donné quelques répits. Les protestations polonaises sont virulentes.

Un changement total de notre stratégie s’est opéré début mai, un peu à notre corps défendant. Faute de manpower, nous ne pouvions affecter les ressources astronomiques de notre industrie (+ de 600 PP !) à la constitution de nouvelles unités.

Compte tenu des progrès réalisés, la recherche accapare beaucoup moins de ressources, de l’ordre de 60 PP.

Aussi, nous avons été bien obligés d’affecter nos PP au ravitaillement de nos armées, stratégie donc plus forcée que désirée. Bien évidemment, nos stocks de supplies sont rapidement devenus énormes, près de 80 000 tonnes de denrées et de munitions diverses dans tous le pays. Mais qu’allions nous donc faire de tout cela ?

C’est alors que nous nous sommes souvenus d’un conseil donné par Morpeus il y a près de 10 ans déjà, en novembre 1948. L’économie britannique venait de s’écrouler, les troupes de sa majesté avaient une organisation ramenée à zéro :

« Hep la morpeus a la rescousse !

Fais un convoie de ravitaillement vers l'ile britanique et achemine du materiel !

Le probleme c'est que sa va te couter d'entretenir 2 armées... »

Ce conseil, irréalisable à l’époque faute de supplies, est évidemment la solution à nos problèmes. C’est donc mis mai qu’un immense cordon ombilical est mis en place entre Calais et Douvres. 1000 cargos font l’aller/ retour dans la manche, chargés de ravitaillement. En quelques semaines, la population britannique qui connaissait la disette est à nouveau nourrie et repue, les troupes anglaises à nouveau en état de combattre.

L’efficacité du dispositif est telle que nous divisons par 2 le nombre de cargos au bout de quelques semaines. Les stocks de supplies, loin de s’effondrer, se maintiennent, notre économie est donc capable de soutenir le choc. Début juin, l’organisation des troupes anglaises est remontée à 90.

Ces effectifs sont alors rapidement acheminés dans le port de Dantzig grâce au nombre pléthorique de cargos de la Royal Navy.

Début juillet 1958, nous sommes alors en mesure de lancer une grande offensive. Elbing est prise au bout de 3 jours de combats engageant plus de 30 divisions de part et d’autre. Une bombe atomique est larguée dans le même temps sur Torun pour empêcher l’ennemi d’acheminer des renforts. Le gouvernement polonais proteste vigoureusement .

Fin juillet, la prise de Lublin et de Königsberg (Kaliningrad) sonne l’heure de la reconquête de la Pologne orientale.

Toutefois, un bémol est nécessaire au sujet des balkans, la prise imminente de Munkacs par l’ennemi libérant un boulevard pour celui-ci, lui permettant à priori de déferler en Hongrie et en Yougoslavie, où nos troupes sont absentes.


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Posted on: 1:53 pm on Sep. 5, 2003

boudiboudi

30 décembre 1958


L’été à fait place au terrible hiver russe. Toute offensive est bloquée depuis plusieurs semaines. Les rares tentatives se sont soldées par le massacre de nos forces, paralysées par le froid et la neige. Consigne a donc été donné d’attendre une prochaine accalmie avant d’avancer encore en territoire ennemi. Quand viendra-t-elle ? Sommes-nous bloqués jusqu’au printemps, synonyme de fonte des neiges, mais aussi d’une boue terrible qui bloque les mouvements de nos chars ? Nul ne le sait.

Nous avons cependant bien mis à profit les beaux jours d’été et d’automne.

Le front s’étire sur 9000 km, de Leningrad aux côtes orientales de la mer noire.

Sur le front nord, nous avons repris nos positions exactes d’avril 1957, avec la conquête de Leningrad le 27 novembre.

La libération des pays baltes s’est soldée par la perte de 26 divisions pour Moscou, encerclées dans Tallin, la capitale estonienne.

Notre avancée en Biolorussie, et surtout en Ukraine, a été fulgurante, se soldant là aussi par des encerclements de forces soviétiques, acculées à la reddition. Les quelques forces aériennes ennemies reconstituées ont été rapidement anéanties par notre chasse supérieure quantitativement et qualitativement. Seules les conquêtes des grands centres urbains de Minsk et Kiev ont été l’objet de véritables grandes batailles, contre des forces d’élites, retranchées, motivées. Ces deux objectifs nous ont coûté à eux seuls la moitié de nos pertes.

L’ennemi a bien tenté quelques contre-attaques, parfois loin dans notre territoire, puisque l’une de ses percées l’a emmené jusqu’à Poznan, mais ces forces vite coupées de leur base ont été rapidement stoppées, puis réduites.

Si Moscou est toujours aux mains de l’ennemi, notre avancée en Crimée est nettement plus importante que lors de notre première campagne en territoire soviétique. Nous avons atteint à notre grande satisfaction les premiers champs pétrolifères de Makjop et Tbilisi, à l ‘est de la Mer Noire. La Mer Caspienne n’est plus très loin.

Notre grande inquiétude concerne nos stocks de ravitaillement. Ceux ci sont passés de 80000 tonnes à 46000 tonnes en 5 mois. Il convient absolument de réaffecter des ressources au ravitaillement, et de diminuer sans doute les convois entre la France et l’Angleterre, en surveillant de près le niveau d’organisation de nos alliés britanniques.

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boudiboudi

Octobre 1959


Voilà, c’est fini, les armées soviétiques viennent de déposer les armes, la capitulation est générale.

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Des prisonniers russes, sur la place rouge, emmenés par un officier écossais

L’armistice est officiellement signé le 09 octobre, au Kremlin. Par cet acte, l’URSS conserve son indépendance, mais devient un état vassal de la République Française.

Dès décembre 1958, nous sentions bien que l’armée russe ne complétait plus les pertes subies. Celle-ci est passée durant le 2ème semestre 1958 de 370 divisions à 320.

A la fin de l’été 1959, notre ennemi ne disposait plus que de 110 divisions, y compris une quarantaine de milices.

C’est au début de l’été 1959 que nous sommes parvenus à encercler totalement Moscou, sans l’occuper, la ville était trop bien défendue par 40 divisions. Mais cet encerclement a eu un effet inattendu : les unités russes en dehors de Moscou ont vu leur organisation descendre jour après jour… facilitant ainsi nos combats dans toute l’URSS.

Notre principal ennemi est vite devenu en fait l’immensité du pays et son niveau d’infrastructure désespérément bas, au-delà de Moscou, sur les territoires de l’extrême nord et ceux situés à l’est de l’Oural.

Plusieurs de nos divisions ont été perdues par mégarde, car les infrastructures ne permettaient plus leur approvisionnement.

De plus en plus souvent, il fallait un mois pour déplacer nos unités pourtant motorisées d’une province à l’autre.

Or, pour abattre l’URSS, il fallait conquérir certaines provinces très éloignées, telle Vladivostock.

Pour ce faire, nous avons du nous résoudre à bâtir très vite des unités parachutistes et des avions de transport.

Ces unités ont libéré en totalité la Norvège, puis ont atteint l’extrême est sibérien, mettant ainsi fin à notre campagne soviétique.

Seules la Mongolie et Tuva restent nations du Komintern, mais des divisions du Maréchal De Lattre foncent à travers la Sibérie pour écraser ces derniers bastions. Elles seront au combat en avril 1960, pas avant !

Mais notre dernier ennemi à abattre digne de ce nom est maintenant le Japon ! Déjà, par ses troupes stationnées en Mandchourie, celui-ci attaque les provinces d’URSS, remonte vers le Nord, et n’en doutons pas s’apprête à traverser la Sibérie pour atteindre Moscou !

Nous avons fait le choix de déplacer nos divisions d’URSS vers Lille, par convois ferroviaires. Le but est d’embarquer nos forces sur des cargos construits à la hâte, de rejoindre Saïgon dans un premier temps, puis de là conquérir les Philippines puis le Japon tout entier, sans s’occuper pour l’instant des forces ennemies en territoire Mandchou et soviétique.

Déjà, des unités parachutistes ont conquis une petite île des Philippines, ceci n’ayant qu’une valeur de test réussi !

Posted on: 12:52 pm on Sep. 9, 2003

FranceLibre

Allez Charles, encore un effort et tu n'auras plus qu'à envahir les Etats-Unis (que tu n'apprécies guère, si j'ai bonne mémoire) pour être sacré empereur-maître-dieu Boudiboudor Ier !
Champagne, baguette et béret pour tout le monde !


FranceLibre


Et, à propos, EXCCCELLENTE la photo !
J'imagine que c'est un montage ... Certes nos amis Russes se sont un peu décongelés depuis leur accession au paradis capitaliste , mais quand même !...
allez, je m'en vais me jetter une petite mousse à la santé de nos communes cicatrices de 40 (ça fait un bail ...)

Je t'embrasse fraternellement
Jean (et Cunégonde aussi, mais elle ne peut pas te parler, elle est très polie et adonc, ne parle pas la bouche pleine...)


boudiboudi


Cher Jean Bond from Bayonne,

Je vous informe, comme je l'ai expliqué au sieur Madéotti von McRuskof dans une autre missive (NDLR : Topic AAR multi GPO couche tôt), cette photo n'est absolument pas un montage.

C'est une photo réellement prise en octobre 1959 par notre service de presse des armées, lors de la capitulation finale des forces bolcheviks.

Pour l'anecdote, si tout le monde rit autant, c'est parce que le photographe a eu la présence d'esprit de crier "Oustitisex" avant la prise de vue, afin qu'avec le mouvement des lèvres occasionné par cette prononciation, tout le monde sâche qu'il fallait sourire ou à défaut être passé par les armes.

Bien cordialement,

Charles de Gaulle,
Futur porte-avions.

FranceLibre

Ben alors, ça ...

Drôlement seyant, en tout cas, le nouvel uniforme des officiers d'infanterie Russes !! Quoiqu'ils doivent lui trouver nettement moins d'attrait en hiver, par - 450°.
Or donc, je m'interroge :
- Commande à JP Gaultier ? il prends les roubles maintenant ou c'est pour faire plaisir à Madonna ?
- Les evzones grecs auraient-ils fait des émules ?
- "Highlander" et/ou "Braveheart" ont été diffusés en Sibérie ? (côté doublage, ça doit être savourant et croustilleux)
- Madame de Corvée de Chiottes de Bonne-heure est devenue le designer officiel de l'Armée Russe (mais alors où sont le collier de perle, les gosses en Cyrillus, le chihuhua ?...)
- C'est une photo de la Gay-pride ?
- C'est un remake du "joueur de flûte" et il va les noyer dans la Volga ?
- les bidasses sont tellement saouls qu'ils pensent que c'est une Suédoise en mini-jupe ?
- Ils sont tous habillés comme ça depuis toujours mais, lui, il a oublié son manteau ?

Hmmm ?...

boudiboudi

Octobre 1959- Août 1960

Le Japon à l’agonie…



Grâce à la mobilisation massive de nos chantiers navals, Brest, St-Nazaire…) la marine nationale dispose rapidement de cargos aptes à envoyer un premier contingent d’une dizaine de divisions blindées à Hanoï. Hélas, les distances sont immenses ! Il faut franchir l’Atlantique du Nord au Sud, traverser l’Océan indien, remonter la mer de Chine méridionale…Tant et si bien, que compte tenu de la nécessiter de laisser nos divisions se réorganiser, nous ne pouvons envisager sérieusement une offensive avant le début de l’année 1960. Nos unités aériennes sont bien sûr à pied d’œuvre plus rapidement. Nos unités de chasseurs ainsi que nos bombardiers tactiques vont se révéler un soutien efficace à nos unités terrestres durant toute cette campagne asiatique, se révélant même l’élément déterminant de la victoire.

Les premiers combats seront d’ailleurs aériens. 120 bombardiers navals et avions torpilleurs japonais n’ont pas hésité, manœuvre surprenante, à prendre à partie et à descendre en flammes une escadrille de nos avions transporteurs au dessus de la mer des Célèbes, au sud des Philippines. Une divisions entière de parachutistes est perdue à cette occasion. Nous dépêchons rapidement à Borneo une force impressionnante de chasseurs franco-anglais. Les combats seront rapides et propres. Faute de Zéros sur place, la totalité des appareils nippons seront abattus. Nos propres pertes sont négligeables.

Le ciel étant nettoyé, les forces terrestres sont rapidement mises à contribution pour conquérir les Philippines. La résistance japonaise est symbolique. Leurs effectifs réduits sont noyés sous les bombes avant d’être finalement exterminés (les japonais refusent de se rendre) par nos blindés. Fin Janvier 1960, les Philippines sont totalement libérées.

Remontant vers le Nord, nos troupes rencontreront guère plus de résistance à Formose. Toutefois, un premier assaut sur Takao, envahie par la jungle, défendue par 8 divisions japonaises, sera repoussé par l’ennemi. Mais un bombardement inlassable une semaine durant par 240 bombardiers franco-britanniques, un blocus strict de la province permettront finalement à Weygand d’écraser l’ennemi.

La conquête des îles Ryukyu fin mars marque notre entrée sur le territoire national japonais, sans que la résistance ennemie soit bien plus grande. Seule leur chasse essaie de prendre à partie nos bombardiers. Mais leurs vieux zéros sitôt détectés sont aussitôt abattus par nos chasseurs, bien supérieurs technologiquement et bien plus nombreux.

Nous constatons cependant que l’avancée de l’armée impériale japonaise en Sibérie orientale est bien plus rapide que prévue. Parties de Corée et de Mandchourie, les troupes japonaises occupent toutes les provinces russes de la mer d’Okhotsk et s’enfoncent jusqu’à la frontière nord de la Mongolie. Cette percée ne nous inquiète guère cependant, les forces soviétiques marchant rapidement à la rencontre de l’ennemi.

C’est début Avril que commence l’attaque de Honshu, l’île principale japonaise, la conquête de Shikoku n’ayant été qu’une formalité.

C’est à cette époque qu’interviendront les premières attaques de ce que nos marins appelleront L’ESCADRE FANTOME. Début avril, une flotte hétéroclite de nos sous-marins, destroyers, et surtout de deux cuirassés, sera prise à partie par 60 navires japonais, dont il est vrai de très nombreux cargos. Nous subirons une défaite cuisante, nos vaisseaux étant coulés en moins de trois heures.

Retenant cette dure leçon, nous protégeons une expéditions de 12 cargos chargés de troupes et de blindés à destination d’Hiroshima, par l’élite de notre marine, une douzaine de cuirassés et croiseurs datant il est vrai de 1936. Hélas, cette flotte n’aura pas plus de succès que la précédente, nos cuirassés étant rapidement envoyés par le fond, avec nos cargos et nos précieuses divisions blindées. Il est tout de même incroyable qu’une flotte de cargos accompagnée de destroyers, si importante soit-elle, 60 bâtiments, puisse couler si aisément nos cuirassés, Rois des mers…

ESCADRE FANTOME… L’appellation n’est pas surfaite. Toutes nos patrouilles aériennes chargées de débusquer celle-ci seront incapables de la déceler. En conséquence, la mer du Japon est interdite à nos escadres.

Qu’à ce la ne tienne ! L’invasion de Honshu se fera par l’Océan Pacifique, par des troupes déplacées de Koshi sur Osaka. Des renforts amenés par cargos complètent rapidement le dispositif. D’Osaka, Hiroshima, non défendue par les nippons, est rapidement atteinte. A contrario, d’importantes forces ennemies se massent dans Tokyo pour en assurer la défense.

Mais Tokyo, ou plutôt les cendres de Tokyo, car ne l’oublions pas, la ville a fait l’objet d’un bombardement nucléaire américain en 1950 (lire les précédents épisodes ) n’est en rien notre objectif prioritaire. Les montagnes du nord sont notre cible immédiate, avant que l’ennemi n’ait la présence d’esprit d’y masser des forces importantes indélogeables.

C’est de fin avril à début août que seront ainsi successivement conquises Kanasawa, Nagoya, Nigata, Fukushima, Akita et Sendaï, toujours selon la même tactique.

En première vague, 240 bombardiers pilonnent la ou les deux, voir trois divisions japonaises présentes, pendant 1,2 ou 3 jours s’il le faut. En deuxième vague, nos blindés super lourds nettoient les miettes qui restent, généralement lors d’engagement de quelques heures seulement. Au final, au 15 août, Tokyo est entièrement encerclée par nos blindés, avec 17 divisions nippones retranchées dans ses cendres.

Concomitamment, avec de nouveaux cargos produits en 1 mois, nous dépêchons des forces franco-britanniques en Corée. Les 7 provinces formant le sud de la péninsule seront libérées sans effort, la résistance ennemie n’étant que symbolique. O certes, trois divisions d’infanterie et une unité de cavalerie chargeront une de nos divisions blindées stationnée sur Genzan, mais ces unités seront taillées en pièces alors que nous perdrons de notre côté 1% de nos forces.

Enfin, signalons l’annexion de Tuva par l’URSS, Tuva pourtant libérée par les forces françaises du Maréchal De Lattre. La conquête n’aura pourtant pas été facile, la seule force militaire ennemie étant solidement retranchée dans sa capitale montagneuse. La Mongolie, faible adversaire, reste l’unique représentant du Komintern.


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boudiboudi

Août 1960- Octobre 1960

Et la paix revint sur la Terre…


C’est seulement 8 jours après son encerclement total, le 23 août, que nous donnons l’assaut aux forces ennemies retranchées dans Tokyo.

Ces unités étaient bien mal en point, puisqu’un bombardement, massif il est vrai, organisé en seulement trois vagues successives, a ramené rapidement l’organisation de ces troupes à un niveau dérisoire.

En conséquence, nos blindés s’engouffrent dans ce qui reste de Tokyo, éliminent les quelques points d’appuis japonais à coups de 150mm, et pour finir pénètrent dans le parc de ce qui fût le Palais Impérial.

Le 23 à midi, tout est consommé, la reddition japonaise est signée, le pays devient un état fantoche de la France.

Dès lors, les troupes de De Lattre, stationnées à Irkoutsk, les troupes soviétiques et japonaises attaquent la Mongolie, dernière nation ennemie.

Seules les distances conséquentes, le terrain montagneux ou désertique, l’absence d’infrastructure, permettent aux mongols de tenir jusqu’en octobre 1960. La maigre résistance de deux divisions d’infanterie est nettoyée sans combat terrestre, uniquement à l’aviation.

Le 29 octobre 1960, tout est fini, la Mongolie est annexée par l’URSS.

Enfin la paix règne sur le monde.

La France est restée en guerre de manière ininterrompue durant exactement 20 ans.

Certains jeunes, enrôlés à 18 ans en 1940, en ont aujourd’hui 38. Ils ont bien mérité maintenant de rentrer chez eux…


F I N



NB :

Bisque, rage ! Je n’ais pas pu aller en fait jusqu’à la reddition mongole. A partir du 9 octobre 1960, le jeu plante abominablement, je ne peux pas joueur plus d’une minute avant un retour windows.

Mais l’issue de la partie ne laissait plus de doute ( ) ! (La Mongolie seule contre un empire allant de Biarritz à Tokyo, en passant par Moscou !)

Oulan Bator était conquise par les forces reconstituées de De Lattre dès début octobre.

Posted on: 11:38 am on Sep. 19, 2003

FranceLibre


Boubiboudulysse rentrer maison !
Ses aventures vont bien me manquer...
Sur ce, je n'ai qu'un commentaire à formuler :

etc, etc...


Leaz

J 'imagine pas le trou démogrpahique dans la france aprés :p

Mais bon ressortir de la 2nd guerre en tant que 1ere puissance mondiale sa aurais pus etre simpa

Braov boudi pour avoir tenus aussi longtemp !
Putain 1960 quand meme..


dede


Je n'aurai qu'un mot : chapeau Boudi!!!


madmartial


Au Général Boudi, pour faits d'armes héroïques ayant amené à la destruction de la moitié de l'humanité, nous décernons la médaille de l'ordre du Boudi d'or avec glaive et feuille de salade.

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La patrie reconnaissante et sous perfusion...


En quelques photos, la vie du général Boudi:

Naissance à Quimper en 1897. On remarque les usines de la ville au 2nd plan.


Le lieutenant Boudi montant au front, Verdun, 1915. On remarquera que l'armée française portait à cette époque là un uniforme bien trop voyant pour les tireurs ennemis.


Le colonel Boudi, promu général, inspectant la ligne Maginot (non daté, mais à la vue du Cheval Moyen II selle 80cm, on peut extrapoler et avancer la période de novembre 1941)


Le Général Boudi recevant la médaille de la campagne française. (mairie du 16ème arrondissement, 17 octobre 1960)


boudiboudi


Soufflé !!

Toi, mon petit doigt me dit que tu es allé visiter Versailles, notamment la galerie des batailles, il ne doit pas y avoir bien longtemps !

Au moins virtuellement, sur le net...

En tous cas, elle est belle, la médaille, tiens , je la mets avec une fierté non dissimulée, empreinte d'émotion, en papier peint sur mon bureau, au travail.

Si on me pose des questions, je répondrai que c'est pour "services rendus à la nation".


-
boudiboudi


J'imagine pas le trou démogrpahique dans la france aprés

...ayant amené à la destruction de la moitié de l'humanité...
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Quelle image l'humanité va-t-elle retenir de moi ?

Un libérateur ayant anéanti des dictatures dans le monde ?

Un fou sanguinaire ?

Mon dieu, mon dieu...

Pour te répondre, Leaz, la France proprement dite, (sans les territoires annexés), en octobre 1960, compte 24 millions d'habitants, dont :

2 millions d'enfants de moins de 18 ans,
21,9 millions de femmes,
0,1 millions d'individus masculins de plus de 18 ans.

Bref, 219 femmes pour 1 homme.


Chal



Ce qui à mon avis va terminer d'achever la gente masculine.

Leaz

J'imagine pas l'enfer ( le rève ? ) 219 femmes pour 1 hommes


A mon avis on retiendra de toi le sauveur supreme de la france et de la culture francaise... en france
Et dans le reste du monde un horrible dictateur opprimeur de peuple.. ( surtout au Jap je pense )

FranceLibre


Extrait du Nouveau Code civil dit "Code Boudi" - Editions Dalloz, 1960

"Et le 7eme jour ... ils se reposèrent".

Ben oui, quoi, on a beau être Français, 1 femme (différente) à satisfaire chaque nuit, ça use, ça useee ... et ça vaut bien un dimanche pastis-pétanque-bulle-rires gras entre mecs-bière devant la téloche...

Originales et romantiques, d'ailleurs, les nouvelles relations amoureuses dans le Boudiland :
"Alors ... heureuse, Béatrice ??"
-"oh, oui, mon chaton, mais, moi c'est Catherine, les "B" c'était le mois dernier ...
- ah ben oui, où avais-je la tête ...
- sur ma poitrine, je pense ...
- moui, moui ... bon [baillement] on se rapelle, hein ?
- oh oui mon roudoudou, c'était si bon ! Comme j'ai hâte d'être à l'année prochaine ..."

Enfin, qu'il me soit permis d'avoir une pensée émue pour Jean Bond, qui, à la fin de la guerre, a hérité de 6 générations de femelles Bouchut, à entretenir et à combler, y compris mémé Rosalie (108 ans) et tatie Gertrude (108 kg). Quelques mois avant de mourir d'épuisement, il écrivait encore à son vieux camarade de Gaulle, ces mots en forme d'appel au secours : " je t'en supplie, Charles, déclare la guerre aux Etats-Unis, au Libéria, à Monaco, à qui tu veux : je n'en peux plus, je veux partir au front !"
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
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Un petit calcul, et on s’en va !
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griffon
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Re: AAR FRANCE 1936 II (remis en forme)

Message par griffon »

j'avais jamais lu celui la ! :shock: :ko:
SOL INVICTVS

Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien

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Leaz
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Meilleur jeu 2009 : Company of Heroes 1
Meilleur jeu 2010 : Dawn of war 2
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Re: AAR FRANCE 1936 II (remis en forme)

Message par Leaz »

Pfiu ça fais déjà 5 ans :surrender:

Sauver du plus profond de Benzo, il y a même mon tout premier pseudo internet, Morpeus ! :lolmdr:
La Vérité sur les crimes de Staline..

"La table est l'autel des Français. L'élément sacré de Noël en France, c'est la gastronomie et pas la religion. "
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Boudi
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Re: AAR FRANCE 1936 II (remis en forme)

Message par Boudi »

Ah c'était toi Morpeus, j'avais oublié le rapprochement ! Ca nous rajeunit pas tout ça. :?
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
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Un petit calcul, et on s’en va !
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