Le grand questionnaire qgéen

[von Aasen]

Alors que je voulais me battre "comme un homme" j'empale un manant a trois metres de distances

Hé, parfois il faut une 2e, 3e, 4e charge, et alors c'est moins rigolo si ta lance est à moitié inutilisable

[LeRenard]

bon je me lance a mon tour

1. Qu'est-ce que l'armée pour vous ?

a. Le corps de citoyens courageux qui défend les doux foyers de mon peuple

2. L'uniforme lors de la bataille ...

a. Devrait laisser le plus de liberté de mouvement possible à son porteur

3. La musique est-elle nécessaire sur le champ de bataille ?

c. Oui, elle est nécessaire pour maintenir l'ordre de la formation

4. L'ennemi doit être combattu :

a. A distance, par la poudre et le feu

5. Le commandant en chef ...

c. Est un homme comme un autre

6. L'élément essentiel de l'art de la guerre est ...

c. Le moral

7. Fuir ....

a. Est une option comme une autre dans les finesses du combat

8. Les prisonniers ennemis sont ...

d. Des soldats formés à recruter !

9. Qu'espérez-vous du reste de votre peuple ?

d. Qu'il s'engage totalement dans le processus de guerre

10. Et finalement : La guerre est ...

f. Un acte politique[/quote]

[von Aasen]

[align=center]Eugen Sentheim

Chasseur tyrolien (1916)


[/align]

Jamais il ne quittera ses montagnes natales du Tyrol, jamais il n'admettra qu'on lui ôte le rude vent, le soleil brûlant et les rocs qui ont marqué sa jeunesse ! Cela ne le dérange même pas trop d'avoir été appellé à servir dans l'armée, bien qu'il ne veuille pas trop l'admettre. Les visées expansionistes italiennes, signifiant la destruction du petit rêve que constitue sa demeure, valent bien la peine de transgresser son jugement moral sur la guerre. Avec son peloton, il ne cesse de harceler les troupes italiennes qui parfois s'aventurent au-dela de leurs positions. L'éclaireur du groupe est toujours au courant de tout, et des embuscades sont rapidement préparées par ces hommes qui connaissent le terrain comme leur poche. Fins tireurs, ils font mouche à chaque coup, et ne cessent de tirer qu'a partir du moment où l'ennemi fuit dans une panique monumentale, incapable de repérer l'origine des coups de feu. Quand l'ennemi devient trop menacant, arrive en force avec un bataillon entier à l'appui, il se retire avec son peloton un peu plus loin dans les montagnes, et tente dans les semaines à venir de reprendre le petit bout de son Tyrol natal que veulent s'accaparer ces rénégats de l'Empire. Il faut plus qu'une Grande Guerre pour briser des hommes comme Eugen !

[von Aasen]

[align=center]Tibauld Gérard Xanthéas

Mercenaire français (1620)

[/align]


Roublard de la pire espèce, pilleur invétéré et amateur de filles faciles, Tibauld n'a pas de besoin plus pressant que la dépense immédiate de sa solde dans la plus proche taverne lorsqu'il est en campagne. Il se bat contre ces imbéciles de protestants bohémiards là, par exemple, ou comment qu'ils s'appellent, on s'en fout après tout, ils ont de la bière et c'est tout ce qui importe. Dommage que la gente féminine locale ne tienne pas toutes les promesses qu'on lui avait faites en Italie, lorsqu'il a accepté de s'engager. Bah, ce sera pour une autre fois, c'est pas comme si les guerres manquaient. La bataille ? Ah oui cela arrive aussi, mais son quotidien est surtout marqué par la recherche constante de nourriture. Le chef du régiment, un obscur baron de Styrie, autopromu colonel, est un jean-foutre sans pareil, et refuse d' soccuper du ravitaillement. Donc, on s'aide comme on peut quand on passe dans le prochain village ... Deus lo vult machintruc quoi, devraient être contents qu'on se batte pour eux, ces chiens. La seule personne à laquelle il fait confiance, c'est sa rapière, Rodrigue. Une belle pièce d'Espagne ouais, prise à un estropié qui n'avait plus la force de le poursuivre. Elle ne l'a jamais abandonne sur le champ de bataille (contrairement à bon nombre de ses collègues), et elle n'a pas son pareil pour ouvrir les bourses des cadavres. Le truc pour survivre, c'est de faire semblant de ne pas fuir, mais de ne pas se mettre en avant pour autant. Qu'importe la réputation ! Ils sont bien lotis ces courageaux sous six pieds de terre, et ce n'est pas comme s'il courrait le risque de ne plus se faire engager. C'est ce qui se passe après la bataille qui importe, voyons !

[nominoë]

1. Qu'est-ce que l'armée pour vous ?

a. Le corps de citoyens courageux qui défend les doux foyers de mon peuple

2. L'uniforme lors de la bataille ...

e. Devrait me camoufler au mieux

3. La musique est-elle nécessaire sur le champ de bataille ?

a. Oui bien sur, elle inspire les combattants à des actes glorieux

Charger l'ennemi sur l'air de "Carmina Burana" ça peut aider.

4. L'ennemi doit être combattu :

d. Aussi loin que possible, l'artillerie est la déesse du champ de bataille

Celui qui a une plus grande portée de tir que son ennemi est quasi invincible.

5. Le commandant en chef ...

a. Est l'autorité suprême et ses ordres doivent être exécutés sans sourciller

6. L'élément essentiel de l'art de la guerre est ...

c. Le moral

J'aurais dit l'économie. Après l'économie, le moral est la denrée la plus précieuse pour emporter la victoire.

7. Fuir ....

a. Est une option comme une autre dans les finesses du combat

8. Les prisonniers ennemis sont ...

a. Des esclaves à revendre


9. Qu'espérez-vous du reste de votre peuple ?

a. Qu'il vous soutienne moralement


10. Et finalement : La guerre est ...

f. Un acte politique