GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

lemarseillais
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par lemarseillais »

Les folles aventures autrichiennes – Episode 7
(1576 – 1615)


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Venez, n’ayez pas peur ! Approchez vous et prenez place près du feu ! C’est une belle nuit propice aux récits héroïques et légendaires. Connaissez vous la formidable histoire d’Isabelle de Castille ? Isabelle éta…..

Bouhhhhhhhouhhhhh c’est nul !!!!!!

Ah….euh…..*toussotte*…..vous avez raison. Ce récit n’est pas approprié pour une telle soirée. Il nous faut plus grand encore, plus fort ! Charlemagne !

Bouhhhhhhhhhhhh on connaît par cœur !!!!!!

Euh….Scipion l’Africain ?

Bouhhhhhhhhhhh

César ? Auguste ? Trajan ? *en sueur et stressé*

Bouhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh t’es trop nul comme aede.

Mais que voulez vous à la fin ? Il n’y a plus rien de passé qui en valent la peine *désemparé*

LA VITA IMPERATORI !
LA VITA IMPERATORI !
LA VITA IMPERATORI !


Mais..mais…*perplexe* c’est trop pour un seul homme. Même le grand Homère n’aurait pu mémoriser toute sa vie.

NOUS VOULONS LA VITA IMPERATORI !
NOUS VOULONS LA VITA IMPERATORI !


Bien bien, je vais vous raconter sa jeunesse ou du moins ce que j’en ai retenu. Installez vous bien car on en a pour des heures de légende !

OUAISSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS !!!



L'enfance de l' Imperator

Tout commença en Provence, un duché de l’Empire situé aux confins de la plaine du Pô, de l’autre côté des Alpes, du côté des françois.
Les gens de là-bas sont chaleureux comme le Soleil. Ce sont d’inlassables travailleurs et ils possèdent les qualités des méditerranéens (charme, bravoure, honneur, ruse) sans en avoir les tares (sanguin, supérieur…). De fait, ce peuple est parfaitement adapté à son territoire qui est à son image.
C’est en l’an de grâce 1569 que naquit l’Imperator dans la belle cité de Massilia. On dit qu’un ange serait descendu du ciel et aurait inspiré un songe de l’impératrice mère : « Dieu te donne le 1er génie des terres du Soleil. Le second naîtra dans 200 ans à quelques kilomètres de là, sur une île. Ton fils doit ouvrir la voie du Ciel ». Bouleversée, la jeune mère confia ses songes à son confesseur qui, y décelant l’inspiration divine, conseilla à la mère de les garder pour elle jusqu’à la majorité de son fils. Alors, la destinée pourrait se produire et sa langue se délier.
Dès le plus jeune âge, l’Imperator se distingua de ses pairs. Il n’était ni le plus grand, ni le plus fort, il était juste idéalement proportionné. Mais ses actes étaient déjà frappés du sceau du génie. Il fallait le voir téter le sein impérial avec une telle ingéniosité, une telle prestance. A 9 mois, il sauva de la noyade une fillette. Non pas en nageant (il n’avait que 9 mois voyons) mais en allant chercher des secours avec une telle célérité que beaucoup se demandèrent comment ils avaient pu parcourir ces 3 km en si peu de temps…..surtout à 9 mois. Grâce à des dessins sur le sol, il su se faire comprendre avec brio et la fillette fut sauvée juste à temps.
Beaucoup commencèrent à murmurer qu’il avait du sang divin. C’est probablement de cette époque que naquit l’idée commune selon laquelle la déesse Gloire en personne fut sa protectrice pendant son enfance avant de devenir son amante.

Bref, je ne pourrai vous compter ici tous les hauts faits de l’Imperator enfant. Disons qu’entre autres choses, il terrassa le terrible lion à 3 têtes qui terrorisait la vallée du Rhône ; il démontra que les dinosaures avaient existé avant les hommes et non pas en même temps comme beaucoup de films le montraient à l’époque ; il multiplia la soupe au pistou pour nourrir un troupeau de pèlerins affamés échoués sur la plage du Prado ; il calma les ardeurs de la Méditerranée qui coulait trop de navires en hiver ; etc…



L'entrée dans le monde adulte de l'Imperator
Devenu jeune adulte (à l’âge de 11 ans en fait), il décida de parfaite sa culture pourtant déjà digne d’un universitaire et étudia pendant de longues années tout en apprenant l’art de la guerre. Il développa ainsi en harmonie son corps et son esprit. Cet équilibre parfait, divin, collait parfaitement à ce génie. A 16 ans, il était arrivé à maturité et son père, dans sa grande sagesse, comprit qu’il était temps pour lui de laisser l’Etre Suprême prendre les reines de l’Autriche.

En même temps qu’il recevait les insignes de la fonction archiducale, l’Imperator prit pour épouse la sublime princesse polonaise Magalaï. Aucune cour d’Europe n’adressa ses félicitations pour ce mariage car tous, sans exception, jalousaient maladivement l’Imperator d’avoir conquis le cœur de la plus belle et de la plus grande femme d’Etat de son siècle. C’était en effet elle qui avait prodigieusement redressée la Pologne misérable et ruinée en qlq années au pouvoir, son père lui ayant confié mandat pour réparer ses erreurs en quelque sorte. Elle obtint le plus gros coup diplomatique en faisant reconnaître à la Lithuanie les légitimes revendications polonaises à la succession au trône lithuanien. Une grande puissance européenne venait de naître subitement. Déjà, de formidables réformes étaient amorcées et auraient probablement transfiguré cet Etat pour en faire une super puissance. Malheureusement pour eux, le père de l’Impératrice voulu alors reprendre les reines et détruisit en quelques années ce qu’elle avait bâti. L’Imperator, étant au fait de tous ces éléments, décida alors qu’il était temps de sauver sa future femme et de lui offrir une plus grande destinée en concluant les noces.

Les grandes mesures ne se firent pas attendre. L’Imperator qui n’était pas encore empereur trouvait ridicule que la maison autrichienne, la plus puissante de toutes les maisons du SERG, la plus honorable aussi, ne soit pas détentrice du titre impérial. Il fait à cette occasion le premier de ses grands discours. Il nous interrogea de la sorte : « N’était-ce pas nous qui avions réglé le cas des différends religieux en Europe en montrant l’exemple de la tolérance ? N’était-ce pas nous qui avions stoppé puis repoussé l’Infidèle ? N’était-ce pas nous qui par nos actes illustres au quotidien incarnions de facto le pouvoir impérial ? ». L’auditoire était attentif. Il suffit de ces quelques mots pour qu’il s’emballe (la 1er des 10 citations légendaires de l’Imperator) : « Aut Cæsar, aut nihil » (Empereur ou rien). Après quelques secondes de silence, il enchaîna par un retentissant "Austria Est Imperare Orbi Universo" (L'Autriche doit commander au monde entier). Nous étions tous estomaqué. Quel génie oratoire ! L’auditoire était en délire. L’Autriche allait rayonner sur le monde avec un tel chef. Nous en étions tous convaincu.

Et de fait, nous n’eûmes pas longtemps à attendre pour voir que l’Imperator était homme de parole. Quelques mois après ce célèbre discours, l’Autriche prit la stature impériale. Elle multiplia les prises de position et les actes :
- l’Autriche assurera la sécurité de tous les membres du SERG. Plus aucun Etat ne sera laissé seul face à la voracité de ses ennemis. Etrangement, le nombre de guerre passa du triple au simple.
- l’Autriche interviendra dans tous conflits mêlant un ou plusieurs membres du SERG si l’intégrité territoriale d’un membre du SERG est menacée
- l’Autriche n’acceptera pas de nouvelles soumissions d’Etats membres du SERG. La France et l’Espagne reçurent le message 5 sur 5 puisqu’elles ne bougèrent plus le petit doigt.

La diplomatie autrichienne montra toute sa valeur en plusieurs opérations menées avec respect des peuples et des biens et un maximum d’efficacité :
- Elle guerroya pour rendre sa liberté au Bade, au Munster, à Gênes, à Modène
- Elle montra l’exemple en recréant, à partir de territoire qu’elle avait hérité, des duchés ancestraux du SERG comme Mantoue, l’Odenburg
- Elle menaça la France de guerre si celle-ci ne faisait pas immédiatement une paix blanche avec Cologne. La France céda.
- Elle usa de sa sagesse, de son prestige pour résoudre diplomatiquement le conflit entre la Suisse et la Savoie. Là où le Roi de France n’était parvenu qu’à envenimer les tensions
- Elle terrassa l’ogre milanais en le ramenant à des proportions raisonnables. Là où la France avait encore abandonné devant l’entêtement de son vassal.
- Elle soutint les légitimes demandes du Brandebourg vis-à-vis de la Pologne
- Elle reconnu le légitime héritage de Klèves par le Brandebourg
- Elle garantit les biens, la liberté de culte et l’égalité de traitement des sujets catholiques de sa maison

L’armée autrichienne ne fut pas en reste en terme de prestige. Outre ses multiples exploits lors d’interventions armées évoquées ci-dessus, elles terrassèrent par 2 fois les armées polonaises et permirent à l’Autriche de s’agrandir vers l’Est avec les gains plusieurs centaines de km2 de terres. Elles suscitèrent suffisamment de crainte au roi du Suède pour lui ôter toute idée de poser le pied sur le continent. Mais leur plus grand exploit resta la victoire contre les redoutables armées ottomanes.



La 3e guerre Austro-Ottomane

Le contexte était différent des précédents conflits. L’Autriche ne pouvait plus compter sur le soutien de l’Espagne. En avait-elle encore besoin ? Les Ottomans étaient les plus nombreux, de loin, puisqu’ils alignaient plus de 250000 hommes quand nous n’étions qu’à 150000. Mais nous pouvions compter sur des officiers de talent et Dieu. Nos armées, en outre, n’étaient certainement pas de moins bonne qualité que celles ottomanes. Toutefois, il n’était pas question de se lancer la fleur au mousquet.
La diplomatie autrichienne fit encore merveille. Le Tsar nourrissait en effet quelques ambitions mégalomaniaques et désirait ardemment s’étendre vers le Sud au détriment donc de l’Empire Ottoman. L’Imperator, ce génie, entra en contact avec le Tsar et lui proposa une entente mutuelle. L’Autriche soutiendrait les demandes russes sur la Crimée, vassale du Turque, et en contre-partie le Russe entrerait en guerre contre l’EO si celui-ci nous agressait avant que nos armées soient prêtes. Autant dire que l’accord n’était véritablement avantageux qu’à sens unique. L’espoir secret que nous caressions était de diviser les armées ottomanes en 2 pour pouvoir nous battre à quantité égale sur notre front et les écraser.
Dans un 1er temps, tout se passa comme prévus puisque l’EO ne bougea pas, nous permettant ainsi de reconstituer une armée d’invasion. Celle-ci prête, la Russie déclara publiquement ces intentions de guerre contre la Crimée. L’Autriche annonça soutenir diplomatiquement les revendications russes. Le Sultan ne se démonta pas, du moins en apparence comme nous allions le voir, et entra en guerre contre la Russie. L’Autriche déclarait donc à son tour la guerre à l’EO.
C’est à ce moment que les choses ne prirent pas la tournure prévue. Le Sultan, sournois, décida d’abandonner à son sort la Crimée et de ne pas opposer de résistance sérieuse au russe. L’armée ottomane n’avait qu’un but unique : l’Autriche.
Nos troupes, en large infériorité numérique, durent subir les agressions perpétuelles de masses grouillantes d’infidèles, qui puis est en terre ennemi puisque nous nous étions lancer dans une guerre de conquête.
Les affrontements se multiplièrent dans les Balkans. Nous percions au Nord quand nous reculions au Sud. Nous avancions au Sud et nous étions repoussés au Nord. Le Russe avait déjà fait la paix de son côté et nous étions officiellement seul (ce qui ne changeait rien pour nous au demeurant). Certaines provinces turques tombèrent, d’autres furent reprises. La situation changée constamment. Les 2 armées s’épuisaient. Les Ottomans subissaient de redoutables pertes lors d’affrontement. Les Autrichiens souffraient énormément de l’usure. A ce petit jeu, les Turcs avaient l’avantage du nombre. L’Imperator ne voulait pas la mort de tant de braves et il réfléchissait sérieusement à l’opportunité d’offrir généreusement la paix aux turcs. C’est alors que Dieu envoya un signe. Il frappa d’infamie l’Empire Turc qui devint soudainement très instable. Les révoltes, fléau de cet empire aux pieds d’argiles, étaient notre porte de sortie. Plus la guerre durait, plus l’avantage numérique turc devenait décisif mais plus les révoltes éclataient chez lui.
Dépassait, résignait, sublimait par le génie de l’Imperator, le Sultan accepta de considérer la paix en échange de Banat mais il demandait en échange de son offre généreuse, de l’or autrichien. Il avait entendu dire qu’un bain d’or autrichien pouvait guérir de la stérilité un homme. Foutaises colportées par de petits esprits bien sur. L’Imperator, aimablement, lui envoya 400 pièces du plus bel or (pas celui espagnol de moindre qualité) sorti tout droit de nos mines de Steiermark.

Les armées autrichiennes rentraient au pays auréolées d’une gloire nouvelle que leurs ancêtres n’avaient jamais eu malgré tout leur courage : ils avaient été de cette Autriche qui, seule, avait vaincu l’Empire Ottoman. L’Imperator, généreux, les fit défiler à Vienne à l’instar des triomphes antiques avec la légère nuance qu’il ne se mit pas en avant mais laissa ses hommes en recueillir toute la gloire. Cette attitude ne changea rien à la fidélité de l’armée à son Imperator, acquise depuis le premier contact, mais elle sublima cette fidélité par un amour profond et inébranlable en la personne de l’Imperator. Jamais l’armée ne reculerait sans l’ordre de l’Imperator.



L'élévation à la dignité impériale de l'Imperator
Cette grande victoire militaire ne pouvait s’accompagner que d’une récompense à la hauteur de celle-ci : le titre impérial. Sous la pression, de plus en plus forte, des princes électeurs du SERG, l’empereur paresseux dû abdiquer et laisser sa couronne à l’Imperator, le vrai, l’unique. Le discours qu’il tint à cette occasion entra dans la légende : «

Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de l’Empire. Le sentiment me l'inspire aussi bien que la raison. Ce qu'il y a en moi d'affectif imagine naturellement l’Empire, tel le prince des contes, comme voué à une destinée éminente et exceptionnelle. J'ai d'instinct l'impression que la Providence l'a créé pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S'il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j'en éprouve la sensation d'une absurde anomalie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que l’Empire n'est réellement lui-même qu'au premier rang : que seules de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même. Bref, à mon sens, l’Empire ne peut être l’Empire sans grandeur.
Mais parce que l’Empire est grandeur ; ses ennemis sont nombreux. Tels les loups, ils attendant dans la pénombre, en meute, prêts à fondre sur lui au moindre signe de faiblesse. Tant que nous serons forts nous n’aurons rien à craindre. Mais il convient d’entretenir cette force. Beaucoup d’entre vous à cet instant doivent penser à notre redoutable et fière armée impériale. Ils font erreurs. Bien sur, elle est le bras armé de l’Empire. Son épée et son bouclier. Mais elle n’en demeure pas moins mortelle. Non ! Je vous le dis mes frères. Concordia civium murus Imperium
(La concorde entre les sujets, voilà les murailles de l’Empire) et ubi concordia, ibi victoria (et là où il y a concorde, il y a victoire).
J’accepte donc l’immense honneur que vous me faîtes en m’élevant à la dignité impériale. A mes détracteurs qui prétendent qu’un roi catholique serait plus à même de ceindre cette couronne, je réponds ceci : Aquila non capit muscas (L’aigle ne prend pas les mouches). Je ne serai pas de ces monarques fainéants qui considèrent leur sacre comme une fin en soi. Decet imperatorem stantem mori (Un empereur doit mourir debout). Mon dur labeur commence maintenant pour la grandeur de l’Empire. »
Modifié en dernier par lemarseillais le lun. déc. 13, 2010 8:46 pm, modifié 2 fois.
Votre empire est une vieille catin habituée à se faire violer par tout le monde [...] Vous oubliez que la France est victorieuse (Napoléon aux plénipotentiaires autrichiens)
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1602- Le traité de Caporetto


L’Archiduc d’Autriche et le Roi de France se sont engagés par le présent traité sur les modalités suivantes :

- Recréation des royaumes de Gênes et de Modène, qui ne seront vassalisés ni par Vienne ni par Paris.
- L’Autriche s’engage à respecter les frontières nouvelles de Milan ainsi que l’alliance du dit Royaume avec la France grande et belle.
- L’Autriche s’engage à respecter les frontières de la Lorraine ainsi que l’alliance du dit Royaume avec la France grande et belle.
- L’Autriche s’engage à restituer le Piemont à la Savoie.
- La France et l’Autriche s’engagent à faire pression auprès de la Savoie pour obtenir de cette dernière la restitution de la province de Suisse au royaume du même nom.

Traité signé pour une durée de 22 ans.
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1576- 1590. L’équilibre rétabli aux Amériques


La paix signée en 1570 ne réglait rien au problème fondamental : le blocage systématique des côtes par l’Angleterre, via de petits établissements misérables de 100 colons, continuait à rendre impossible toute colonisation durable française aux Amériques :? . Londres s’obstinait ainsi à maintenir une situation qui ne pouvait que déboucher sur une nouvelle guerre dont elle allait porter, comme pour la première, toute la responsabilité. L’Angleterre était de plus complètement fermée à toute diplomatie mais cela n’était heureusement pas le cas des autres pays...

A la grande surprise du Roi de France, les propositions allaient en effet affluer à Paris, sans qu’il ait même rien demandé à quiconque : le jusqu’au-boutisme délirant anglais, les insultes incessantes de ses diplomates, tout cela avait suscité en Europe un vaste mouvement de solidarité envers la France, victime principale des incessantes agressions anglaises. Il restait à faire un choix parmi les innombrables propositions qui lui étaient parvenus et le Roi de France porta finalement celui-ci sur l’Espagne et ce pour deux raisons principalement. D’une part, l’Espagne était le pays le plus proche de la France au niveau doctrinal : c’était ainsi le seul pays catholique parmi tous ceux qui offraient leur soutien. D’autre part, Madrid seule offrait ce qu’il manquait réellement à la France pour espérer triompher de l’Angleterre : une flotte de guerre puissante et bien commandée :clap: .

Diverses dons permirent à la France de rembourser l’intégralité de ses emprunts souscrits lors de la longue guerre de 29 ans en moins de quatre années et, dès 1583, la mobilisation fut lancée : il importait de frapper sans attendre afin de ne pas laisser perdurer le blocage systématique des Amériques, cause de la guerre. En effet, plus le temps passait et plus l’Angleterre félonne pourrait y renforcer ses positions. La guerre fut ainsi déclarée dès 1584, moins de 15 ans après la fin du conflit précédent. Mais, cette fois, la France n’était plus seule… :twisted:

Largement surclassée en nombre et en qualité, la Marine Royale Française ne pouvait lutter contre la Royal Navy : elle s’attacha donc à suivre la marine de guerre Espagnole, qui avait remporté, seule, un premier succès devant le Cornawall. Le seçond choc eu lieu en Manche, les forces catholiques désormais unies avaient à présent une supériorité numérique non décisive, de l’ordre de 40% à peine, et ce qui devait arriver arriva : la supériorité des marins anglais était telle qu’ils emportèrent facilement la bataille :evil: .

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Mais Londres avait commis une erreur fatale : son Roi était en effet tellement occupé à vociférer sur l’injustice, selon lui, de cette guerre, dont il était pourtant le seul responsable par son blocage systématique des côtes d’Amérique ainsi que sa présence coloniale sur le TOT espagnole (sans même parler de son inaptitude diplomatique totale) qu’il avait tardé à réagir. Quand la Royal Navy pointa enfin son nez en Manche, Henry IV pour le corps expéditionnaire Français, Farnese pour l’armée d’invasion Ibérique, avaient déjà débarqués. Là aussi, les choses ne furent guère aisé et Henry IV échappa de peu au désastre au Wessex. L’absence totale de renforts rendait en outre la situation de la force d’invasion fort difficile, la situation pouvait basculer d’un instant à l’autre. Le génie de Farnese permit cependant aux forces catholiques de repartir en avant et Londres tombait, une fois de plus, dès 1585 :clap: .

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La même année, les pertes terrestres étant très lourdes pour les forces d’invasion, la marine Espagnole tenta d’amener des renforts, mais elle fut écrasée par Drake, terrible marin qui poursuivit sans relâche les Ibériques écrasés. Madrid vit alors le spectre de la déroute devant ses yeux. Un seul espoir : faire intervenir la Marine Royale Française. Sans hésiter un seul instant, le Roi de France répondit présent à l’appel de son noble allié Ibérique : les navires sortirent en Manche affronter leur destin :goutte:

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Les forces catholiques, malgré leur supériorité numérique, furent écrasées, mais le but était atteint : l’arrivée des navires français avait permis aux Ibérique de résister suffisamment longtemps pour leur permettre de se réfugier à l’abri dans les ports de France. Et en Angleterre, tout allait pour le mieux : les provinces tombaient les unes après les autres. Fidèle à sa délirante politique jusqu’au-boutiste, le Roi d’Angleterre refusait cependant toujours la paix. Une nouvelle sortie navale fut donc décidée en 1586 pour le ramener à la raison : une fois de plus, malheureusement, la Royal Navy emporta assez facilement la décision, prouvant par là même qu’aucun pays n’était capable de rivaliser avec elle sur le plan naval. Pour vaincre la flotte d’Angleterre, il fallait l’union de deux pays minimum et encore cela ne suffisait-il toujours pas, comme les forces catholiques en firent l’amère expérience :sad:

La lente réaction de Londres au début de la guerre allait finalement se montrer décisive : ce seul débarquement réussi permit aux catholiques d’achever, dès 1587, la conquête totale de l’Angleterre, qui, complètement conquise et son armée entièrement anéantie, se rendit enfin à la raison et céda, en 1588, deux villes coloniales à l’Espagne, autant à la France et quelques pitoyables colonies insignifiantes sans valeur aucune. De fait, l’équilibre était rétabli aux Amériques et tant Madrid que Paris le firent savoir à Londres : la fin de la colonisation anglaise sur le TOT espagnol pour le premier, la fin du blocage total des côtes pour le seçond, mettait fin aux tensions entre les trois pays. La paix pouvait à présent régner, le contentieux des Amériques avait trouvé une solution équitable.

De façon inattendue, l’empire colonial anglais se retrouvait isolé dans les terres d’Amérique et, à Paris, le Roi de France prit la décision de restituer un port à Londres afin de faciliter les mouvements coloniaux anglais et sceller la réconciliation Franco-Anglaise. Une ère de paix et de prospérité allait pouvoir commencer aux Amériques et, déjà, la France tournait son regard vers l’Europe et notamment vers Milan, qui vivait sous la menace de l’Archiduc d’Autriche. Après les guerres à but coloniale, l’heure était venue de passer aux guerres pour rétablir l’équilibre en Europe :twisted: , où l’Archiduc avait vassalisé la quasi totalité du SERG. Mais, contre toute attente, l’Angleterre, incapable de se remettre en question, allait choisir une délirante fuite en avant et agresser une fois de plus la France, comme elle le faisait depuis quasi un siècle déjà….

A suivre
Danton
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Message par Danton »

1591 – 1601. Nouvelle agression Anglaise


Des ambassadeurs Français et Autrichiens se réunissent afin de discuter de l’Italie, mais il apparaît très vite que le blocage est total : si les deux pays sont d’accord au sujet de l’indépendance des peuples Italiens et de leurs droits à l’autodétermination, il y a un profond désaccord quant aux moyens de régler le problème des pays sauvagement annexés. L’Empereur d’Autriche, qui annexe sauvagement dans tout le SERG :? , est il est vrai très mal placé pour parler d’indépendance des peuples. Militariste et agressif, il menace Paris de guerre, mais la France grande et belle n’est pas comme ces innombrables nations du SERG que Vienne écrase honteusement sous sa botte : elle refuse de céder devant les menaces et ordonne la mobilisation :tongue:. L’Autriche fait de même et les arsenaux des deux pays tournent à plein régime : la guerre va sous peu dévaster l’Europe, avec la France comme défenseur des peuples :clap: et l’Autriche comme sauvage qui ne rêve qu’annexions.

Mais en 1593, la Russie déclare la guerre à la Crimée et un jeux d’alliance se met en place : l’Empire Ottoman vole au secours de son allié, ce qui déclenche l’inattendue intervention de l’Autriche. Paris incrédule apprend que les armées Impériales partent à marche forcée non pas vers l’ouest et Milan, mais bien vers l’Est et la Hongrie :shock: . Si aucune demande d’intervention n’arrive de Constantinope, les ambassadeurs d’Espagne, eux, ne cessent de débouler avec de biens étranges nouvelles : l’Angleterre prépare la guerre :goutte: . A Paris, nul ne veut y croire : d’une part le différent d’Amérique est résolu, la France l’a clairement spécifié, ainsi que son intention de se tourner désormais vers l’Europe, mais d’autre part quel espoir de victoire pourrait animer Londres quand l’Autriche est en guerre contre l’Infidèle et l’Espagne résolument rangée aux côtés de son frère catholique de France ? Seul un Fol pourrait entrer en guerre dans des conditions pareilles.

En 1596, alors que l’Empire Ottoman, qui a cédé face à la Russie, contre-attaque avec force les Impériaux, mis en péril, des nouvelles alarmantes parviennent à Paris : les rumeurs de guerre se précisent en effet. Bien que toujours sceptique, le Roi de France ne peut écarter complètement l’idée d’un acte irrationnel du Roi d’Angleterre, dont la santé mentale a souvent semblé plongé vers la folie et qui semble incapable d’appréhender les réalités politiques. Il ne peut non plus mettre en doute les paroles du Roi d’Espagne, qui a souvent fait preuve d’une grande sincérité, trait de caractère propre aux vertueux catholiques :mrgreen: . Or, les alertes émanant d’Espagne se multiplient. Un corps expéditionnaire de 25.000 soldats part pour les Amériques, sait-on jamais, mais la France n’arme pas sa flotte, refusant toujours de croire à une action aussi incohérente.

Et pourtant, contre toute attente, en 1598, le Roi d’Angleterre, complètement déconnecté de la réalité et incapable de se remettre en question, choisit la fuite en avant la plus folle qui soit : Londres déclare la guerre à la France. Raleigh, brillant homme de guerre, mène l’assaut en Amérique et enlève rapidement plusieurs provinces, profitant de l’effet de surprise. Ainsi, Londres dans sa folie a de nouveau décidé la guerre… Soit, elle aura à faire face aux conséquences de son agression gratuite. Dès 1599, Raleigh se heurte à Manhattan au corps expéditionnaire français et est facilement écrasé.

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La déroute commence déjà pour Londres et s’amplifie avec la déclaration de guerre Espagnole, qui n’est une surprise pour personne, le Roi d’Espagne a toujours été fidèle à sa parole et ses engagements. Aux Amériques, l’armée Royale Française est déjà passée à la contre-offensive et pénètre en territoire anglais : on se demande réellement par quel miracle le Fol d’Angleterre espérait l’emporter, même sans l’intervention espagnole.

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Aucune demande de paix blanche n’arrive de Londres, malgré la médiation autrichienne à laquelle les coalisés catholiques, victimes innocentes de la folie belliqueuse anglaise, avaient pourtant accordé leur bénédiction. Décision est alors prise de retourner en Angleterre même puisque seule la prise de Londres semble de nature à faire comprendre au Roi d’Angleterre toute l’étendue de sa folie (il est prévu de faire accompagner les armées par les meilleurs médecins de France). Les flottes Franco-Espagnoles se réunissent au large des côtes de la Galice, mais une mauvaise surprise les y attend : la Royal Navy. Bien que dominée par le nombre, elle dispose toujours des meilleurs marins d’Europe. Aucune marine n’est capable de lutter seule contre cette flotte terrifiante :goutte: . Les Franco-Espagnols subissent une lourde défaite, mais se replient facilement dans les ports d’Espagne et assistent au départ de la Royal Navy, contrainte de retourner dans ses ports du fait de l’attrition.

Les catholiques décident de mettre à profit ce calme relatif pour discuter de leurs buts de guerre, l’Angleterre s’obstinant à refuser la paix blanche. Si la France ne cache pas qu’elle n’a plus aucune revendication à l’égard de l’Angleterre, avec laquelle elle espérait bien désormais vivre en paix, il n’en va pas de même pour l’Espagne, qui revendique les Flandres. Or, fin du 15° siècle, la France et l’Autriche avaient signés un traité qui mettait fin au problème de la succession de la Bourgogne : la Franche-Comté, l’Artois, le Brabant et le Luxembourg passaient légitimement à la France alors que les provinces Hollandaises, dont les Flandres alors anglaises, passaient sous contrôle Habsbourg.

A la mort de Charles Quint, l’Espagne avait hérité des provinces Hollandaises et repris à son compte le traité signé par l’ancien monarque d’Autriche et d’Espagne. Madrid reconnaissait toujours la suzeraineté française sur les provinces citées ci-dessus et avait des droits légitimes sur les Flandres, qu’elle entendait bien à présent faire respecter, avec la bénédiction de la France grande et belle. Ainsi fut fixé le but de guerre des coalisés catholiques victimes de l’agression anglaise : le centre de commerce des Flandres pour l’Espagne.


A suivre
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1602- 1615. La chute de Londres


La guerre avec l’Angleterre mobilisant tous les moyens de la France, qui projette notamment un audacieux débarquement, Vienne en profite pour revenir à l’assaut au sujet du Milanais et menace ce dernier de guerre. Les négociations reprennent donc et, finalement, un accord est trouvé et le traité de Caporetto est signé, qui règle le cas de l’Italie :o:

Alors que les diplomates Franco-Autrichiens s’activent, les flottes Franco-Espagnoles, elles, repartent courageusement vers la Manche et arrivent à déjouer la vigilance de la Royal Navy : pour la deuxième fois, Henry IV débarque en Angleterre à la tête d’un puissant corps expéditionnaire et se précipite vers Londres, après avoir écrasé l’armée Anglaise. L’orgueilleuse capitale tombe dès 1602 :clap: , aucune capitale d’une grande nation n’est tombée aussi souvent : la France grande et belle s’en est emparée trois fois déjà, l’Espagne une fois, peut-être serait-il judicieux de déclarer Londres ville ouverte :chicos: ?

Le Roi d’Angleterre gratifie alors le monde d’une ultime prestation délirante, accusant ainsi la France de chercher à nuire volontairement à son pays (le Fol oublie complètement qu’il est l’agresseur et la France la victime… :ko: ) puis, incapable de renoncer à ses délires, l’esprit complètement en dehors de la réalité, se poignarde sauvagement. Ainsi disparait, pathétiquement, la dynastie des Pepsor, qui a conduit l’Angleterre au bord du gouffre. De Madrid à Stockholm, en passant par Constantinople et Vienne, tous poussèrent un immense soupir de soulagement, l’Europe allait enfin retrouver la Raison et la Sérénité. Seul le Roi de France ne cacha pas se déception : les actions délirantes de l’Angleterre, faites d’insultes et de mythomanie, avaient été du pain béni pour la diplomatie française.

Les Flandres passèrent comme prévu sous contrôle Espagnol et Paris décide de se lancer dans une oeuvre majeure nouvelle : répandre la Vrai Foi :o: . Les Indiens Hurons sont ainsi annexés puis convertis au Catholicisme pur et bon, les provinces de France gagnées à la Réforme sont sillonnées par de pieux hommes d’église qui ramènent ces brebis égarées dans le chaud bercail de la Religion Catholique Romaine. A la mort d’Henry IV, en 1610, le bilan à tirer pour ce Souverain parle de lui-même : les étendards français ont flottés sur Londres, la base coloniale des Amériques est plus solide que jamais et l’unité religieuse du royaume est quasi acquise. La France n’a pas à rougir de ses succès et c’est avec fierté qu’un nouveau Roi monte sur le trône, Louis XIII de France, bien décidé à poursuivre la politique qui est celle de la France depuis presque 150 ans : Honneur et Gloire :clap: .

En Europe, un autre trône reçoit un nouvel occupant : la dynastie des Ohémiens :mrgreen: prend en effet le pouvoir en Angleterre. Plus rusée, plus expérimentée, mais surtout plus rationnelle que la précédente : une nouvelle page dans les relations Franco-Anglaises va pouvoir commencer.
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par lemarseillais »

MERDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE j'ai effacé l'épisode 6 des aventures autrichiennes en mettant par dessus l'épisode 7. Quel con !

Bon beh, remontez de qlq posts pour trouver la suite de l'aar
Votre empire est une vieille catin habituée à se faire violer par tout le monde [...] Vous oubliez que la France est victorieuse (Napoléon aux plénipotentiaires autrichiens)
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par lemarseillais »

TEST : est ce qu'il y a des gens qui nous lisent régulièrement ? Est ce la peine de continuer ce modeste récit de nos aventures ?
Votre empire est une vieille catin habituée à se faire violer par tout le monde [...] Vous oubliez que la France est victorieuse (Napoléon aux plénipotentiaires autrichiens)
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par rooom »

Je pense avoir tout lu.
L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde
Frédéric Bastiat

Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par DrFlump »

La même.
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par lemarseillais »

Bien, alors pour nos 2 lecteurs fidèles on va continuer :chicos:
Votre empire est une vieille catin habituée à se faire violer par tout le monde [...] Vous oubliez que la France est victorieuse (Napoléon aux plénipotentiaires autrichiens)
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par Danton »

Moi je passe systématiquement les récits autrichiens, fades et surtout mensongers, mais je lis tout le reste, avec un plaisir certain, surtout pour les récits de la France :o:
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griffon
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Re: GPO Nostalgie ** AARs et Diplomatie **

Message par griffon »

moi aussi

c'est dommage que les AARS EU

ne soient pas en "frontpage"
SOL INVICTVS

Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien

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