Les piémontais en profitent pour ravager le milanais.
Des navires anglais qui viennent relacher à Raguse nous signalent qu'ils ont croisé une importante flotte française à l'entrée de l'Adriatique...
Le 13 février, un certain Garibaldi prend le pouvoir dans le royaume des deux siciles (Sicile et Sardaigne) et appelle à l'unité italienne....
Nous avons d'autres chats à fouetter.
Les forces ennemies entrent dans les provinces de Brescia et Verone.
Le 1er corps de cavalerie évacue Bergame pour ne pas se faire encercler. Nous préférons perdre un peu de terrain que des unités.

Notre but est de laisser l'ennemi se dispérser tout en concentrant nos forces. Ainsi nous le frapperons brutalement.
Toutes les divisions sont rappelées. Nous avons manifestement sous estimé l'ennemi. Les 11 divisions qui restaient stationnées à l'Est se dirigent maintenant vers Udine et Linz pour se rassembler. 3 divisions de reserves sont levées à Vienne. Une autre est formée en de Roumains en Transylvanie.
Le 4 mars, des ambassadeurs piémontais, par l'intermediaire de la Suisse, nous proposent la paix si nous leur abandonnons la Lombardie. Nous les éconduisons : jamais nous n'abandonnerons un pouce de l'Empire. Les piémontais méritent une leçon : ils l'auront. (ceci dit, ce refus me coute - 200 en prestige!!!!!)

Ils paieront le prix fort.
Le mois d'avril voit la chutte de Milan et Bergame. Vu que ces villes n'étaient pas défendues, c'était prévisible.
Début mai, la flotte française se présente devant la lagune de Venise! Les français débarquent aussitot et la ville tombe le 16 mai. Nos troupes n'ont pas eu le temps d'atteindre la ville pour s'y rassembler. elles stationnent à Udine (6 divisions).
14 divisions stationnent maintenant à Bergame.
L'heure de la contre-attaque a sonné.
La bataille de Bergame s'engage. Nos 14 divisions fondent sur 6 divisions sardes solidement retranchées.
Parallélement, 6 divisions attaquent 1 divisions française à Venise, bientot renforcée par 3 autres fraichement débarquées.
Les combats sont extremement violent.

Un corps Sarde, profitant profitant du fait que toutes nos unités ne sont pas encore arrivées, s'engoufre dans un "trou" dans nos lignes et occupe le Trentin et fonce sur Bolzano, coupant nos 14 divisions qui combattent à Bergame...
Un corps de 4 divisions se rassemble à Linz pour contrer ces avancées ennemies.
Le 20 juillet, nous repoussons les français et reprenons le controle de Venise. Les franco-sardes fuient démoralisés et en désordre vers Padoue. Les effectifs sont recomplétés et nos 6 divisions talonnent l'ennemi.
La bataille de Bergame, particulièrement sauvage, et un moment indécise, commence à basculer en notre faveur, l'ennemi a un meilleur moral mais nous sommes plus nombreux....
Le corps de Linz (40 000 h)repousse les Sardes de Bolzano et s'aprete à reprendre le controle du Trentin. Ainsi, le risque de voir nos 14 divisions de Bergame prisonnière disparait...

Le 15 aout, Padoue repasse entre nos mains, les franco-sardes, sur ce front, sont en pleine débandade. Nos troupes, 100 000 h, sures d'elles, et recomplétées en permanence, prennent le direction de Verone.
Le 16 aout, la bataille de Bergame est gagnées! Les troupes sardes sont soit détruites (au moin 3 divisions), soit en fuite. Nous n'avons perdu aucune division, les effectifs sont immédiatement recomplétés. Il est possible que le sort de la guerre se soit joué ici...
Mais les hostilités continuent, les sardes savent que le chatiment sera terrible...ils ont raison.
Le 27 septembre, la bataille de Verone s'engage, 100 000 autrichiens, sous les ordres du general comte Urialassy attaquent les 50 000 franco-sardes qui se sont retranchés dans la ville...